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De notre correspondant à Brest, Michel PALUD


Du rififi à La Passerelle
- 1er octobre 2008


La Passerelle. Spontanément, le mot inspire le passage. Entre ici et là. La transmission. En l’occurrence, s’agissant d’art contemporain, de l’expert au néophyte. De l’initié à l’ignare.

Cette fois pourtant, c’est bien la division qu’inspirerait La Passerelle, centre brestois d’art contemporain. Une artiste parisienne septuagénaire, Tania Mouraud, engendre la polémique avec son exposition « J.I.T. Just In Time », proposée jusqu’au 18 octobre. Au point de provoquer un début d’agitation du microcosme politique en la cité du Ponant.

Des bruits de couloir ? Pas tout à fait. De chiottes, plus exactement. Décryptage.

La rétrospective de Tania Mouraud propose donc notamment une partie ingénument nommée « Art Space n° 6, 1987 ». Jusqu’ici, ça va. De quoi s’agit-il, allez-vous me demander ? D’une pièce entière dont les murs en béton sont couverts de graffitis. A l’identique de ceux qui tapissent les toilettes publiques. Des « phrases de chiottes », de l’aveu même de l’artiste. Oui et alors ? Le problème est que l’œuvre a été réactualisée. Au détour d’un « Nique ta mère » de bon aloi, des inscriptions ont récemment été gravée pour coller à l’air du temps : « Carla, la putain du roi », « UMP FN » ou encore « Sarko facho ». Et une partie de la droite municipale, minoritaire, de monter en première ligne pour dénoncer de telles insanités dans une exposition subventionnée, « à une époque où les municipalités dépensent beaucoup pour nettoyer leurs murs » (Brigitte Hû – conseillère municipale et communautaire pour l’Union de la droite et du centre). La majorité, par la bouche de Gaëlle Abily, adjointe communiste à la culture, riposte en agitant la liberté de l’artiste. En appui feu, la chargée de communication de La Passerelle s’avoue surprise par ce début de polémique et clame bien haut que le message n’est pas politique. Merci de l’avoir précisé, si d’aventure des doutes étaient nés.

Dont acte.

Tous à La Passerelle pour y voir de plus près.

Jusqu’au 18 octobre, hein ? Pas après.



Michel PALUD
 



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