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De notre correspondant à Brest, Michel PALUD


Tribute to The Beatles : The Rabeats
- 5 mars 2008

Do you know The Beatles ? Yes, bien sûr.

Do you like The Beatles ? Yes, en principe. Encore que, j’en connais…

Bon alors, maintenant, more difficile : do you know The Rabeats ? No ? You are consternants. Really. But it’s not very grave, I’m going to raconte you something about them. I am là pour ça, finalement.

Un mot sur le nom du groupe, tout d’abord.

Pour bien comprendre, petit rappel historique sur les Beatles, dont le nom est en fait un jeu de mots concocté par John Lennon. En ce début des années 60, l’époque est aux noms pluriels : The Crickets, Rory & The Hurricanes, The Shadows, Gerry & The Pacemakers (plus tard, The Byrds, The Beach Boys, The Rolling Stones, etc.). En France, Les Chaussettes Noires ou les Chats Sauvages, par exemple. A Liverpool, John et Paul font dans l’insecte. Le scarabée, plus précisément : beetle (sur la version française du premier album des Beatles – Numéro 1 – des scarabées sont dessinés).

The Beetles, ça sonne déjà bien. Et puis ça colle à la mode. Peut mieux faire cependant, juge John. Le style musical du coin, c’est le « Mersey Beat » : Mersey, pour la rivière de Liverpool et Beat, littéralement « battement », pour le son. Nos Liverpuldians adoptent donc la contraction habile du scarabée avec le rythme local.

Simple, no ?

Les Rabeats ont naturellement suivi le même cheminement. Pourquoi changer, il est vrai, une recette efficace dès lors que l’on souhaite surfer sur l’hommage aux Quatre ? Donc, on prend un lapin, « rabbit » in english, et on conjugue avec le «beat» susvisé, pour un résultat à nouveau habile : « Rabeats ».

Pour le nom : 10/10.

The Rabeats exploite clairement le créneau « Tribute to… » (hommage à). Visuellement, l’illusion est quasi parfaite. Le style est bien là, parfaitement maîtrisé, la gestuelle, sobre forcément, la scénographie. Et puis les Rabeats sont quatre (rigolez pas, j’ai déjà vu un groupe « Tribute to … » à cinq. Ca gâche un peu, quand même). Seul défaut visuel : le bassiste est droitier. Moins pratique pour chanter à deux sur un même micro !

Pour l’habillage : 10/10, aussi.

Quoi d’autre ? Ah yes, la musique. Ben ouais, quand même, The Rabeats se veulent une « reproduction » à l’identique de l’original. C’est pas le tout de trouver un nom, de revêtir des costumes sans cols, de chausser des boots pointues et d’arborer l’inimitable (pas tant que ça puisqu’ils l’ont fait !) coupe de cheveux inventée par Astrid Kirchherr, l’amie photographe des Beatles, encore faut-il assurer sur le plan musical. Nouvelle (très) bonne surprise : nos Rabeats sont à la hauteur de leur ambition et de notre exigence. Le talent musical est incontestablement présent. Tout est là : harmonies, rythmiques, mélodies maîtrisées, phrasé impeccable. Le répertoire est parfaitement visité, des débuts au crépuscule, toujours avec la même aisance.

Pour la musique : 10/10.

J’entends d’ici les grincheux. Et là, je dis attention, les gars : si vous voulez du Beatles, écoutez du Beatles. Et passez votre chemin. Maintenant, si vous désirez du dépaysement sur scène, en vous offrant un voyage de 40 années en arrière, avec l’illusion d’être devant le plus grand groupe de rock de l’Histoire, les Rabeats sont pour vous. En prime, je vous garantis l’absence de milliers de jeunes filles en pamoison, et leurs hurlements insupportables. Avec, en corollaire, une meilleure reproduction du son Beatles que par les Beatles eux-mêmes, tant ceux-ci n’entendaient parfois pas ce qu’ils jouaient ! Une des raisons pour lesquelles ils ont d’ailleurs renoncé à la scène.

Les Rabeats sont produits par « Ginger », qui diffuse et produit des spectacles en Picardie et dans toute la France depuis bientôt dix ans. Ginger a notamment travaillé avec Yannick Noah, Jean-Louis Aubert, Pascal Obispo, Ray Charles ou Charles Aznavour.

Un dernier détail, The Rabeats nous propose un single produit par Krish Sharma, le producteur du dernier album des Stone. Au programme « Twist and Shout » et une création Rabeats, « I just can’t get enough ». A découvrir (et commander) sur www.ginger.fr

Les dates de la tournée 2008

19/01/08 MENNECY - Espace Culturel
22/01/08 VILLEPARISIS - CC J. Prévert
26/01/08 BORDEAUX - Base sous-marine
02/02/08 THIAIS - Théâtre René Panhard
09/02/08 AIX-LES-BAINS - Théâtre du Casino
08/03/08 ROUEN – Zénith
21/03/08 LA FORET-FOUESNANT - Centre culturel
29/03/08 LILLE - Le Sébastopol
11/04/08 SAINT-GILLES - Le Sabot d\'or
12/04/08 MEAUX - Théâtre Luxembourg
16/04/08 MAISONS ALFORT - Théâtre Debussy
18/04/08 St-GERMAIN EN LAYE - Théâtre A. Dumas
26/04/08 MARSEILLE - Palais des congrès
29/04/08 LIMOGES - Grand Théâtre
07/05/08 MOULINS - Théâtre
09/05/08 CHATELAILLON-PLAGE - Beauséjour
17/05/08 TOULOUSE - Casino Théâtre Barrière
22/05/08 SCHILTIGHEIM - Salle des fêtes
23/05/08 CLERMONT-FERRAND - Maison des congrès
24/05/08 VARADES - Espace A. Gautier
30/05/08 LUDRES - Espace Chaudeau
05/06/08 SOISSONS - Le mail (complet)
06/06/08 SOISSONS - Le mail
30/11/08 LYON - Bourse du travail

Pour découvrir les sons des Rabeats :
www.rabeats.com et http://www.myspace.com/therabeats



Michel PALUD
 



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