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- COMORES
(LES)
-
- Nom officiel
- Le
nom officiel du pays, depuis 2002, est l'Union
des Comores (en français), Udzima wa Komori (en
comorien) ; Jumhuriyat al Qamar al Muttahidah (en
arabe)
- Administration
- L'archipel
des Comores se compose de 4 îles dont seules les
3 premières se sont regroupées pour former la
République fédérale islamique des Comores,
membre de la Ligue arabe : Ngazidja (ancienne
Grande Comore), où se trouve la capitale Moroni
; Moili (ancienne Mohéli) ; Ndzouani (ancienne
Anjouan). La quatrième île, Mayotte , est
située à 70 kilomètres au sud-est. Restée
sous souveraineté française, l'île de Mayotte
forme un territoire d'outre-mer à statut
spécial. Situées à l'entrée du Canal du
Mozambique, à la hauteur de la frontière entre
la Tanzanie et le Mozambique, elles représentent
un point de passage stratégique pour le trafic
pétrolier international.
- Capitale
- Moroni
- Chronologie
politique
Lieu d'escale pour les Anglais,
Français et Néerlandais, qui se rendent en Inde
par la route du canal du Mozambique, les Comores
sont envahies par les Malgaches côtiers
(Betsimisaroakas) qui occupent l'île de 1785 à
1820, dans le but de capturer des esclaves
destinés à être revendus aux Mascaraignes.
L'île sert également de repères aux pirates
européens chassés des Caraïbes. Ramanetaka,
chef mérina, qui a conquis Mobéli, livre une
guerre sans merci au sultan d'Anjouan.
1803 : Le Premier Consul Napoléon
Bonaparte fait déporter à Mutsamudu (Anjouan)
le général Rossignol et ses compagnons accusés
d'avoir préparé un attentat .
1816 : Le sultan Abdallah Ier, qui a
construit la forteresse de Mutsamudu (Anjouan),
pour se défendre contre les incursions
malgaches, se rend à Bourbon pour solliciter la
protection de Louis XVIII.
1828 : Ramanateka, un Hova, vient, après
la mort de Radama Ier se réfugier à Anjouan,
avec une centaine de compagnons. Le sultan lui
permet de s'installer à Moheli.Ramanateka y
prend le pouvoir et, converti à l'Islam, en
devient le sultan, sous le nom d'Abderahmane.
Avril 1841 : Mayotte est conquise par
les Français, conquête reconnue officiellement
en 1843. En riposte à la conquête de Mayotte
les Anglais installent un consulat à Anjouan.
1886 : Protectorat français sur les 3
îles de Mobéli, d'Anjouan et de la Grande
Comore.
1953 : Visite du Général de Gaulle.
1912 : Abolition du protectorat français.
Les îles sont rattachées à Madagascar.
25 sept. 1942 - 13 oct 1946 : Les forces
britanniques envahissent les Comores et
Madagascar pour renverser le pouvoir de Vichy qui
s'y trouvait, et restituent quelque temps plus
tard les îles au gouvernement du général De
Gaulle.
1946 : Les îles des Comores sont dotées
du statut de territoire d'outremer et disposent
à partir de 1961 d'un statut d'autonomie interne
élargie en 1968.
1958 : Les Comoriens se prononcent au
référendum du 28 septembre pour le maintien de
l'archipel au sein de la République française.
1963 : Un Mouvement de Libération des
Comores, basé à Dar-es-Salaam, lance le mot
d'ordre d'indépendance pour l'archipel. La
revendication est reprise par différents
mouvements politiques.
1963 : Le président du Conseil du
gouvernement écrit au général de Gaulle
affirmant que "lEtat comorien doit
être créé".
1968 : Création du premier drapeau
comorien.
1972 : Les îles des Comores demandent leur
indépendance.
22 décembre 1974 : Les Comores proclament leur
indépendance par référendum avec 94 % des
suffrages. Seule Mayotte refuse et reçoit
l'appui du parlement français pour obtenir un
statut particulier.
7 juillet 1975 : Ahmed Abdallah n'accepte
pas ce statut et proclame l'indépendance de
l'ensemble des îles des Comores, formant ainsi
l'Etat des Comores.
5 août 1975 : Ahmed Abdallah est
renversé par un coup d'Etat de mercenaires
français mené par Bob Denard et remplacé par
Ali Soilih, chef du Front national uni. Bob
Denard prend la direction de la garde
présidentielle
1975 : Admission des Comores à lONU.
Février 1976 : Lors d'un référendum
contesté par la communauté internationale, le
maintien de Mayotte comme territoire français
est confirmé.
12-13 mai 1978 : Des mercenaires, sous le
commandement de Bob Denard, débarquent
secrètement, arrêtent Ali Soilih, l'abattent au
cours d'une tentative de fuite. Une junte
constituée pour l'occasion rappelle l'ancien
président destitué, Ahmed Abdallah.
30 septembre 1984 : Ahmed Abdallah est réélu
pour un nouveau mandat de 5 ans avec 99 % des
voix.
26 novembre 1989 : Ahmed Abdallah est
assassiné par les mercenaires de Bob Denard,
chef de la garde présidentielle. Il se réfugie
en Afrique du Sud.
1990 : Premières élections démocratiques
aux Comores. Said Mohamed Djohar est élu
Président. L'opposition conteste les résultats.
1995 : Said Mohamed Djohar est déposé par
un coup d'état mené par Bob Denard et ses
mercenaires. Le Président est exilé à la
Réunion.
1996 : Nouvelle tentative de coup d'Etat
mené par Bob Denard. Echec grâce à
l'intervention des forces françaises.
16 mars 1996 : Mohamed Taki Abdoulkarim
est élu président. Il fait réécrire une
nouvelle constitution, qui élargit les pouvoirs
du président et établit le régime sur la base
de l'Islam.
Août 1997 : Proclamation de
l'indépendance d'Anjouan, condamnée par la
communauté internationale.
1998 : Mohamed Taki Abdoulkarim meurt
officiellement des suites d'une crise au moment
ou il revenait de voyage. Selon certaines
rumeurs, sa mort serait due un empoisonnement.
Aucune autopsie n'a été faite sur le corps.
L'Intérim est assuré par Tadjidine Ben Said
Masonde.
23 avril 1999 : Accords dAntanarivo
sous linitiative de lOUA, la
délégation anjouanaise ne signe pas et cherche
dabord à consulter la population de
lîle.
30 avril 1999 : Coup d'Etat militaire du
Colonel Assoumani Azali - Instauration d'un
régime militaire pour rétablir l'ordre après
les manifestations violentes.
6 Mai 1999 : Charte constitutionnel
énonçant que chaque île est placée sous
lautorité dun gouverneur nommé par
le chef de lEtat.
26 Août 2000 : Signature des accords de
Fomboni par les trois île. Relance du processus
de réconciliation nationale.
23 décembre 2001 : Referendum sur la
constitution de lunion des Comores, qui
mettra fin à la République Fédérale Islamique
des Comores.
Lundi 11 mars 2002 : Les élections
présidentielles ont été annulées au dernier
moment hier dans l'île de la Grande Comore, 8
des 9 candidats ayant annoncé le boycott du
scrutin à cause des fraudes massives qui ont
été découvertes. Près de 20 000 bulletins
auraient disparu. Le scrutin est reporté à
mercredi. (Source : Fil-info-France)
Mardi 19 mars 2002 : Le colonel
Azali Assoumani a remporté le premier tour de
l'élection présidentielle de dimanche. (Source :
Fil-info-France)
7 avril 2002 : Election
des présidents des îles autonomes de Mwali et
de Ndzouani.
14 avril 2002 : Assoumani Azali est élu
président.
Mardi 16 avril 2002 : Le colonel
Azali Assoumani a été réélu président avec
56,25 %. Le scrutin a été émaillé de nombreux
incidents, qui ont fait 5 blessés, et de
fraudes. Les rivaux du colonel Assoumani, le
colonel Madahi et le prince Said Ali Kemal
avaient appelé au boycott de l'élection. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 22 avril 2002 : Le premier
tour de l'élection présidentielle a été
annulé à Moroni dans l'île de la Grande
Comore. (Source : Fil-info-France)
19 mai 2002 : Election du
président de lîle autonome de Ngazidja. (Source :
Fil-info-France)
Mardi 21 mai 2002 : L'opposition
représentée par Abdou Soulé Elbak a remporté
l'élection présidentielle au détriment
d'Abdallah Boina candidat soutenu par le
général Assoumani, président de l'Union des
Comores. (Source : Fil-info-France)
Samedi 15 février 2003 : Echec jeudi
d'une tentative de coup d'état contre le
président de l'Union des Comores, Azali
Assoumani. Le président de la Grande Comore,
Abdou Soulé El'bak , est accusé d'être à
l'origine de ce putsch. Des différends
territoriaux opposent les deux hommes. Depuis
1975, date de l'indépendance, plus de 20 coups
ont été perpétrés aux Comores, dont 4 ont
réussi. 4 personnes, dont 2 ministres, ont été
arrêtées. (Source : Fil-info-France)
Octobre 2003 : Ouverture
de lUniversité des Comores.
Vendredi 28 novembre 2003 : Une
quinzaine de personnes a été blessée, dont 3
grièvement, mercredi par la police qui a ouvert
le feu sur la foule en colère qui marchait sur
le palais présidentiel de l'Union des Comores
où le président Azali Assoumani prononçait son
discours pour fêter la fin du Ramadan. Les
manifestants protestaient contre le discours
prononcé par le président de l'Ile de la Grande
Comore, Abdou Soulé Elbak, qui appelait la
population à se révolter contre la mainmise
d'Assoumani sur la Grande-Comore. (Source :
Fil-info-France)
Jeudi 18 décembre 2003 : Le ministre
des Finances de l'île de la Grande-Comore,
Younoussa Assoumani, a été arrêté lundi à
Moroni pour "escroquerie à
l'assurance". L'arrestation de M. Assoumani
intervient au moment où des scandales financiers
impliquant des proches du président de l'Union
des Comores, Azali Assoumani, ont été mis au
jour et alors que doit s'ouvrir samedi à Moroni
un sommet régional, en présence du président
sud-africain Thabo Mbeki, en vue de mettre un
terme à la crise politique (provoquée par la
sécession de l'île d'Anjouan et aggravée en
1999 par le coup d'Etat militaire du colonel
Azali Assoumani) qui secoue cet archipel composé
de trois grandes îles, Anjouan, Mohéli et la
Grande-Comore. (Source : Fil-info-France)
Samedi 20 décembre 2003 : Ouverture
samedi à Moroni d'un sommet régional visant à
mettre un terme à la crise politique qui touche
l'archipel depuis 1997. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 22 décembre 2003 : Lors du
sommet régional qui s'est tenu ce week-end à
Moroni, les représentants de l'Union des Comores
et ses 3 îles sécessionnistes (Anjouan, Mohéli
et la Grande-Comore) sont parvenus à un accord
visant à mettre un terme à la crise politique
qui paralyse l'archipel depuis 1997 et qui
préconise un partage du pouvoir et prévoit la
tenue d'ici avril 2004 d'élections législatives
anticipées, la mise en place d'une "douane
unique et commune" et le placement des
forces de gendarmerie sous le contrôle du
pouvoir central. (Source : Fil-info-France)
Mars 2004 : Elections
législatives.
Avril 2004 : Elections législatives de
lUnion des Comores.
Mercredi 13 avril 2005 : Le
gouvernement de l'Union des Comores prépare un
projet de loi qui permettra au président Azali
Assoumani de briguer un second mandat à
l'élection présidentielle prévue en avril
2006, au lieu de confier le pouvoir à la
présidence tournante entre les îles. L'Union
des Comores, ancienne République fédérale
islamique des Comores (RFIC), a été instaurée
en décembre 2001 et regroupe les 3 îles de la
Grande-Comore, d'Anjouan et de Mohéli, qui
disposent d'une large autonomie. Le président
Azali, qui était arrivé au pouvoir par un coup
d'Etat le 30 avril 1999, a été élu en avril
2002 pour un mandat de 4 ans. Depuis leur
indépendance de la France en 1975, les Comores,
à 400 km au nord-ouest de lîle de
Madagascar et à 300 km des côtes africaines, à
lentrée du canal de Mozambique, ont connu
une vingtaine de coups d'Etat ou tentatives, dont
4 réussis. (Source : Fil-info-France)
Lundi 17 avril 2006 : 117 000
électeurs sur les 270 000 habitants de
lîle autonome dAnjouan étaient
appelés aux urnes pour choisir sur une liste de
14 candidats celui qui se présentera le 14 mai
2006 à la présidence de l'Union des Comores,
qui regroupe 3 îles indépendantes de
lancienne colonie française, Grande
Comore, Anjouan et Mohéli. LUnion Africaine (UA) a
envoyé plus de 450 soldats pour assurer la
sécurité pendant le scrutin. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 15 mai 2006 : 310 000
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche
14 mai 2006 pour élire leur président. 3
candidats sélectionnés lors des primaires du 16
avril 2006 s'affrontent : le favori est le guide
religieux, islamiste modéré et chef
d'entreprise, Ahmed Abdallah Sambi, 48 ans,
surnommé "Ayatollah" par la
population, qui a notamment promis de lutter
contre la pauvreté et de rétablir la justice.
Il est opposé à Ibrahim Halidi, ancien
enseignant de philosophie. Il a été plusieurs
fois ministre et Premier ministre, il est soutenu
par 8 partis, dont la Convention pour le
renouveau démocratique (CRC) du président
sortant Azali Assoumani, qui ne
peut se représenter car originaire de la
Grande-Comore. Le troisième candidat est Mohamed
Djaanfari, 54 ans, retraité de l'armée de l'air
française devenu hommes d'affaires. Selon la loi
électorale, les résultats définitifs devront
être proclamés aux maximum 72 heures après le
scrutin, soit le 17 mai, mais ce délai avait
été largement dépassé lors des primaires. (Source :
Fil-info-France)
Mercredi 17 mai 2006 : La
Commission nationale des élections aux Comores
(CNEC) a annoncé mardi 16 mai 2006 que Ahmed
Abdallah Sambi a été élu président de l'Union
des Comores après l'élection présidentielle
qui s'est tenue dimanche 14 mai 2006 avec 58,14 %
des suffrages exprimés contre 28,11 % à Ibrahim
Halidi et 23,51 % à Mohamed Djaanfari. (Source :
Fil-info-France)
Jeudi 25 mai 2006 : La
cérémonie d'investiture du nouveau président
de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed
Sambi, aura lieu le 26 mai 2006 à Moroni. Pierre-André Wiltzer, ancien
ministre, Haut Représentant pour la sécurité
et la prévention des conflits, dirigera la
délégation française. (Source :
Fil-info-France)
Mardi 30 mai 2006 : Le
président Ahmed Abdallah Sambi, élu le 14 mai
avec 58,02% des suffrages, a prêté serment
vendredi 26 mai 2006 devant la Cour
constitutionnelle à Moroni la capitale en
présence de nombreux chefs d'Etat et de
gouvernement et d'une forte délégation
américaine d'une vingtaine de membres. Rappelons
que le gouvernement Bush a versé une aide d'1,8
millions de dollars aux Comores dans le cadre de
la lutte contre le terrorisme. Ahmed Abdallah
Sambi, 43 ans, a formé son premier gouvernement,
composé de 8 ministres. Il a confié le domaine
de la Défense, à son directeur de cabinet,
Mohamed Abdoulwaha. Une seule femme au sein de ce
gouvernement : Siti Kassim, est nommée à
lAgriculture, la Pêche, lIndustrie,
lArtisanat et lEnvironnement. (Source :
Fil-info-France)
Vendredi 4 mai 2007 : Le
gouvernement de lîle autonome comorienne
dAnjouan a fait savoir à la fin du mois
d'avril 2007 qu'il "n'acceptait pas" la
nomination par le président de lUnion des
Comores, Ahmed Abdallah Sambi, dun
nouveau chef de lexécutif à Anjouan,
après que la justice eût déclaré la vacance
du poste, estimant cette décision
"anticonstitutionnelle" à un mois des
élections (des présidents des îles de l'Union
des Comores). Le mandat du président d'Anjouan,
le colonel Mohamed Bacar, avait
expiré le 27 avril 2007. Mercredi 2 mai 2007,
l'armée s'est déployée autour des sites
stratégiques du ministère de l'Intérieur et
des Finances d'Anjouan, après des tirs à
Mutsamudu, capitale de l'île d'Anjouan. Selon le
représentant de l'Union des Comores, Anissi
Chamsidine, "des forces de gendarmerie
d'Anjouan, loyales au président sortant
d'Anjouan Mohamed Bacar, ont attaqué, à l'arme
lourde, le bâtiment abritant la représentation
de la présidence de l'Union à Mutsamudu". (Source :
Fil-info-France)
Mercredi 27 juin 2007 : Les
résultats de l'élection présidentielle qui se
sont tenues dimanche 24 juin 2007 sur l'Ile de la
Grande Comore et sur l'Ile de Mohéli ont été
confirmés mardi 26 juin 2007 par la Cour
constitutionnelle de l'Union des Comores.
L'ancien ministre Mohamed Abdouloihabi a été
élu à la présidence de l'île comorienne
autonome de Grande-Comore avec 55,05 % des voix
et l'homme d'affaires Mohamed Ali Said à la
tête de l'île de Mohéli avec 57,15 % des
suffrages. (Source : Fil-info-France)
Samedi 30 juin 2007 : Les
autorités fédérales de l'Union des Comores ont
demandé vendredi 29 juin 2007 à l'Union
africaine d'intervenir militairement
dans l'île d'Anjouan "pour rétablir
l'ordre et faciliter l'organisation rapide
d'élections libres et démocratiques". (Source :
Fil-info-France)
Vendredi 12 octobre 2007 : Le Conseil de paix et de sécurité de l'Union Africaine a
approuvé, jeudi 11 octobre 2007, des sanctions
individuelles à l'encontre des personnalités de
l'Ile d'Anjouan pour une durée de 45 jours. Le
colonel Mohamed Bacar, qui a
été réélu président de l'île le 10 juin
2007 à la suite d'une élection contestée à la
fois par l'Union africaine et les autorités
fédérales de l'Union des
Comores, rejette depuis la demande de ces
dernières d'organiser de nouvelles élections. (Source :
Fil-info-France)
Mercredi 7 novembre 2007 : L'Union
africaine a débuté samedi 3 novembre 2007 un
blocus de l'île d'Anjouan, une des 3 îles qui
forment l'Union des Comores, pour faire pression
sur le colonel Mohamed Bacar, réélu
en juin 2007, afin qu'il organise de nouvelles
élections, le scrutin ayant été contesté. (Source :
Fil-info-France)
Mardi 25 mars 2008 : Le
président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, a
annoncé lundi 24 mars 2008 dans un discours
télévisé en direct qu'il avait "donné
ordre à l'armée nationale de se joindre aux
forces de l'Union africaine pour rétablir la
légalité républicaine à Anjouan". Mohamed Bacar s'est
emparé du pouvoir sur la petite île d'Anjouan
à la suite d'une élection en juin 2007 jugée
illégale par l'Union Africaine. (Source :
Fil-info-France)
Jeudi 27 mars 2008 : L'armée
comorienne, sur l'ordre du président de l'Union
des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et les
troupes mandatées par l'Union Africaine, lors
d'une opération baptisée "Démocratie aux
Comores", ont repris le contrôle de l'île
d'Anjouan, la plus pauvre des trois îles de
l'archipel des Comores (Grande-Comore, Mohéli,
Anjouan) ,"pour rétablir la légalité
républicaine". Mohamed Bacar avait pris
le contrôle de cette île en juin 2007 à la
suite d'une élection jugée illégale par
l'Union Africaine. Mahomed Bacar se serait
réfugié dans l'île française de Mayotte où
il a demandé l'asile politique. Les autorités
comoriennes n'ont ni infirmé ni démenti cette
information. L'un des vice-présidents de
l'Union, Ikililou Dhoinine, a été nommé pour
administrer Anjouan. (Source : Fil-info-France)
Vendredi 28 mars 2008 : Les
autorités comoriennes ont demandé à la France
l'extradition du colonel Mohamed Bacar,
président de l'île d'Anjouan depuis 2002. Ce
dernier s'était enfui sur l'île française de
Mayotte lorsque les troupes comoriennes et de
l'Union africaine avaient repris le pouvoir à
Anjouan. La France a transféré jeudi 27 mars
2008 le Colonel Mohamed Bacar, et 23 de ses
fidèles, de Mayotte vers la Réunion. Il est
accusé d'entrée clandestine sur le territoire
français et détention d'armes. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 31 mars 2008 : Le
président déchu de l'île comorienne d'Anjouan,
Mohamed Bacar, et 23 de
ses hommes, ont été assignés à résidence
samedi à La Réunion dans une enceinte militaire
après que le tribunal correctionnel de
Saint-Denis ait déclaré nulle la procédure à
leur encontre. Ils étaient poursuivis pour
"séjour sans titre, importation, port et
transport d'armes prohibées", des faits
passibles de cinq ans de détention maximum.
Plusieurs centaines de manifestants comoriens qui
attendaient devant le tribunal ont dénoncé
cette décision, accusant la France "d'être
complice" de l'ancien président déchu. Lire l'édition de Fil-info-France
du 27 mars 2008 (Comores) (Source :
Fil-info-France)
Mardi 1er avril 2008 : Le
président de la cour dappel
dAnjouan, Lailizamane Abdou Cheik, a été
nommé lundi 31 mars 2008 président par
intérim, avec pour mission dorganiser de
nouvelles élections dici à 2 ou 3 mois,
après le renversement le 25 mars 2008 par les
troupes de l'Union des Comores appuyées par
l'Union africaine, du président Mohamed Bacar, dont la
réélection en juin 2007, avait été jugée
illégale. Mohamed Bacar est assigné à
résidence sur l'île française de la Réunion. (Source :
Fil-info-France)
Samedi 5 avril 2008 : FRANCE : LA
REUNION : Le parquet de la ville de
Saint-Denis-de la-Réunion a annoncé vendredi 4
avril 2008 que le président déchu d'Anjouan, Mohamed Bacar, et 21 de
ses hommes, ont été écroués vendredi suite à
"une demande d'arrestation aux fins
d'extradition" formulée par la justice
comorienne. (Source : Fil-info-France)
Samedi 26 avril 2008 : Le ministre
de la Justice de l'Union des Comores, Mourad Said
Ibrahim, a vivement dénoncé la décision de la
France d'accorder l'asile politique à 2 proches
de Mohamed Bacar, président déchu d'Anjouan
(Comores), jugeant que "les dés étaient
pipés" dans cette affaire. (Source :
Fil-info-France)
Vendredi 16 mai 2008 : FRANCE : La
préfecture de la Réunion a annoncé jeudi 15
mai 2008 que l'OFPRA (Office
français de protection des réfugiés et
apatrides) a rejeté la demande d'asile déposée
le 27 mars 2008 par l'ancien président déchu
d'Anjouan, le colonel Mohamed Bacar, tout en
excluant qu'il puisse être expulsé vers les
Comores en raison des risques de persécution. L'armée
comorienne, sur l'ordre du président de l'Union
des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et les
troupes mandatées par l'Union Africaine, lors
d'une opération baptisée "Démocratie aux
Comores", avaient repris le contrôle de
l'île d'Anjouan, la plus pauvre des trois îles
de l'archipel des Comores (Grande-Comore,
Mohéli, Anjouan) ,"pour rétablir la
légalité républicaine". Mohamed Bacar avait pris
le contrôle de cette île en juin 2007 à la
suite d'une élection jugée illégale par
l'Union Africaine. (Source : Fil-info-France)
Lundi 16 juin 2008 : 128 000
électeurs de l'Iles d'Anjouan étaient appelés
aux urnes dimanche 15 juin 2008 pour choisir leur
président parmi 5 candidats, à savoir l'ancien
député Bacari Abdou, l'ancien magistrat
Bastoine Soulaimana, l'ancien vice-président de
l'Assemblée locale, Mohamed Djaanfari, donné
favori, l'ingénieur en BTP, Moussa Toybou, et
l'homme d'affaires Soundi Abdou Latuf Soilih.
Cette élection intervient après le renversement
militaire du président en poste, Mohamed Bacar,
qui avait pris le pouvoir à la suite d'un coup
d'Etat en 2001. Il a été président élu en
mars 2002 et réélu en juin 2007. Sa
réélection avait été contestée et jugée
illégale par l'Union des Comores et l'Union
africaine. L'armée comorienne, sur l'ordre du
président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, et les
troupes mandatées par l'Union Africaine, lors
d'une opération baptisée "Démocratie aux
Comores", avaient repris, le 27 mars 2008,
le contrôle de l'île d'Anjouan, la plus pauvre
des trois îles de l'archipel des Comores
(Grande-Comore, Mohéli, Anjouan) ,"pour
rétablir la légalité républicaine". Mohamed Bacar avait pris
le contrôle de cette île en juin 2007 à la
suite d'une élection jugée illégale par
l'Union Africaine. (Source : Fil-info-France)
Lundi 30 juin 2008 : Le second
tour de l'élection présidentielle s'est
déroulé dimanche 29 juin 2008 sur l'île
d'Anjouan, la plus pauvre et la plus peuplée des
îles de l'archipel des Comores (Grande-Comore,
Mohéli, Anjouan) et oppose l'ancien
vice-président de l'Assemblée nationale,
Mohamed Djaanfari, à l'ingénieur en BTP, Moussa
Toybou.
Mardi 1er juillet 2008 : Selon des
résultats encore provisoires, Moussa Toybou,
ingénieur des travaux publics peu connu sur la
scène politique, aurait remporté l'élection
présidentielle qui s'est tenue dimanche 29 juin
2008 à Anjouan avec 52,37 % des voix, devant son
adversaire, l'ancien vice-président de
l'Assemblée nationale, Mohamed Djaanfari. (Source :
Fil-info-France)
Lundi 15 décembre 2008 : Lancien
premier ministre de l'Union des Comores, Hamadi
Madi Bolero, a été interpellé jeudi 11
décembre 2008 à laéroport de Fomboni sur
l'île de Mohéli. Un mandat darrêt avait
été lancé contre lui en janvier 2008. Il
aurait emporté avec lui du mobilier de
lEtat qui lui servait dans sa résidence de
fonction. Réfugié depuis 2006 en France, Hamadi
Madi Bolero raccompagnait dans son pays la
dépouille de son cousin, lancien sportif
Mohamed Soilihi, décédé la semaine dernière
dans la capitale française, Paris. (Reproduction
interdite)
Vendredi 17 avril 2009 : Le
président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, a
annoncé jeudi 16 avril 2009 que "le
référendum sur une réforme de la Constitution
des Comores sera organisé le 17 mai après
l'annulation par la Cour constitutionnelle d'un
décret fixant la consultation au 22 mars"
2009 estimant que le décret présidentiel était
"illégal pour vice de procédure". Le
projet de réforme constitutionnelle vise à
réduire les pouvoirs des présidents des 3 îles
de l'Union des Comores (Grande-Comore, Anjouan,
Mohéli) pour en faire des gouverneurs et
d'allonger d'un an le mandat de 4 ans du
président fédéral. Le texte propos"
également de faire de l'Islam la religion d'Etat
et donne le droit au président de l'Union des
Comores de dissoudre l'Assemblée. Copyright
www.fil-info-france.com/
Lundi 18 mai 2009 : Les
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche
17 mai 2009 pour se prononcer par référendum
sur une révision constitutionnelle visant à
prolonger de 4 à 5 ans le mandat du président
fédéral et de réduire les pouvoirs des
présidents des 3 îles de l'archipel
(Grande-Comore, Anjouan, Mohéli) qui
deviendraient des gouverneurs. L'opposition a
appelé au boycott du scrutin, accusant le
président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah
Sambi Sambi, islamiste modéré, de vouloir
rester au pouvoir après son mandat de 4 ans qui
s'achève en 2010. Blogger,
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Jeudi 21 mai 2009 : La Cour
constitutionnelle a proclamé mardi 19 mai 2009
les résultats du référendum organisé le
dimanche 17 mai 2009 portant sur une révision
constitutionnelle visant à prolonger de 4 à 5
ans le mandat du président fédéral et de
réduire les pouvoirs des présidents des 3 îles
de l'archipel (Grande-Comore, Anjouan, Mohéli)
qui deviendraient des gouverneurs. Le
"oui" a l'emporté avec 93,91 % des
suffrage. Le "non" a recueilli 6,09 %
des voix avec un taux de participation de 51,76
%. L'opposition avait appelé au boycottage du
scrutin. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mercredi 1er juillet 2009 : Un avion
Airbus A310-300 de la compagnie Yemenia Air, qui
effectuait la liaison, Sanaa-Moroni, s'est
abîmé dans l'océan Indien mardi 30 juin 2009
au large des côtes des Comores. Il transportait
153 passagers et membres d'équipage, dont 66
Français. Une adolescente de 14 ans serait la
seule survivante. Le secrétaire d'Etat français
aux Transports, Dominique Bussereau, a
indiqué que l'avion avait été
"exclu" du sol français "il y a
quelques années (...) parce que nous estimions
qu'il présentait un certain nombre
d'irrégularités dans ses équipements", et
la compagnie Yemenia était sous surveillance au
sein de l'Union européenne, la Commission ayant
décelé en juillet 2008 des
"manquements" à certaines normes de
sécurité. Blogger,
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Vendredi 3 juillet 2009 : Une des 2
boîtes noires de l'avion Airbus A310-300 de la
compagnie Yemenia Air, effectuant la liaison,
Sanaa-Moroni, qui s'est abîmé dans l'océan
Indien mardi 30 juin 2009 au large des côtes des
Comores, a été retrouvée. 153 passagers et
membres d'équipage, dont 66 Français, étaient
à bord. Une adolescente de 14 ans est la seule
rescapée. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?
Lundi 6 juillet 2009 : Le
président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah
Sambi, a annoncé un deuil national de 30 jours
après le crash de l'avion Airbus A310-300 de la
compagnie Yemenia Air, effectuant la liaison,
Sanaa-Moroni, qui s'est abîmé dans l'océan
Indien mardi 30 juin 2009 au large des côtes des
Comores qui a fait 152 morts. Une seule
survivante, une adolescente de 14 ans, a été
retrouvée. Blogger,
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Lundi 7 décembre 2009 : Les
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 6
décembre 2009 pour élire leurs députés à
l'Assemblée de l'Union des Comores et les
conseillers des 3 îles de cet archipel de
l'océan Indien, Anjouan, Grande Comore et
Mohéli. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Lundi 21 décembre 2009 : Les
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche
20 décembre 2009 pour le second tour des
élections législatives. Le parti présidentiel
est arrivé en tête du premier tour avec une
majorité de candidats en ballotage favorable. Le
chef de la Convention pour le renouveau des
Comores, Houmed Msaidié, a appelé samedi 19
décembre 2009 la commission électorale à
s'opposer aux "actes de fraude dans les
opérations de vote". Une délégation
d'observateurs civils de l'Union Africaine, dirigée
par Anyl Gayan, ancien ministre mauricien des
Affaires étrangères, est arrivée vendredi 18
décembre 2009 aux Comores. Blogger,
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Fil-info-France ?
Samedi 26 décembre 2009 : Des
affrontements ont éclaté vendredi 25 décembre
2009 sur l'île d'Anjouan entre la police et des
partisans de l'opposition, qui avaient érigé
depuis lundi 21 décembre 2009 des barricades sur
la route reliant la localité de Sima à
Mutsamudu, capitale de l'île d'Anjouan, pour
protester contre la défaite de leur candidat,
Mohamed Djaanfari, aux élections législatives
qui se sont tenues dimanche 6 décembre 2009,
lorsque les forces de l'ordre ont tenté de les
dégager. Des actes de vandalisme ont suivi ces
heurts. Blogger,
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Fil-info-France ?
Mardi 9 février 2010 : Alors que
les enseignants des cycles primaire, secondaire
et universitaire sont en grève illimitée depuis
plus de 3 semaines pour demander l'élaboration
des statuts particuliers des enseignants,
l'harmonisation et la régularisation de la
situation administrative des enseignants de
l'Université des Comores, plusieurs centaines
d'élèves et étudiants sont descendus dans les
rues de la capitale Moroni pour demander la
réouverture des écoles publiques. Blogger,
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Fil-info-France ?
Mardi 2 mars 2010 : Le
parlement a annoncé lundi 1er mars 2010 que
l'élection du président de l'Union des Comores,
ainsi que celle des gouverneurs des îles, auront
lieu le 27 novembre 2011. Les députés de
l'opposition de l'île de Mohéli, battue aux
législatives de décembre 2009, qui accusent les
autorités de vouloir prolonger le mandat du
président (originaire d'Anjouan) au-delà du 26
mai 2010, n'ont pas participé au vote. Blogger,
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Fil-info-France ?
Mardi 18 mai 2010 : Le chef
d'état-major de l'armée, le général Salimou
Amiri, et le chef du cabinet militaire de la
présidence, le colonel Abdoulbastoi Ahmed Abdou,
ont signé lundi 17 mai 2010, à Moroni la
capitale, en présence du chef de l'Etat Ahmed
Abdallah Sambi, un accord de
"réconciliation" pour rétablir
"la sérénité" au sein de l'armée.
Les 2 hommes se sont engagés à faire respecter
"l'obligation de réserve" et à
oeuvrer pour "la restauration de la
confiance au sein de l'institution
militaire". Le général Salimou Amiri avait
accusé dans un courrier daté du 27 avril 2010
et adressé le colonel Abdoulbastoi Ahmed Abdou,
et dont de larges extraits avaient été publiés
par les médias comoriens le 4 mai 2010, l'un des
collaborateurs militaires du président Ahmed
Abdallah Sambi "de vouloir l'éliminer
physiquement". Selon le texte de cet accord,
des mesures seront prises pour la
"réorganisation de la chaîne de
commandement" et "l'armée restera à
l'écart des influences politiques en ce qui
concerne le recrutement, l'intégration,
l'avancement et l'affectation" des
militaires". Blogger,
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Fil-info-France
Jeudi 27 mai 2010 : Le
président de l'Union des Comores, Ahmed Abdallah Sambi, dont le
mandat de 4 ans prend fin mercredi 26 mai 2010 à
minuit, a annoncé mardi 25 mai 2010 dans une
allocution à la Radio et à la Télévision
nationale, la formation d'un gouvernement par
intérim chargé de gérer le pays après
l'échec mardi d'un nouveau round de
négociations sur l'élaboration d'un nouveau
calendrier électoral à Moroni entre la
présidence et les représentants des 3 îles de
l'archipel (Grande Comore, Anjouan et Mohéli)
portant sur une réforme constitutionnelle et
visant à harmoniser l'élection du président de
l'Union avec celle des gouverneurs des trois
îles (Grande Comore, Anjouan et Mohéli) au 27
novembre 2011. La Cour constitutionnelle avait
prolongé en mars 2010 le mandat du président
Ahmed Abdallah Sambi jusqu'à la fin 2011
provoquant la colère de l'opposition et de la
population de l'île de Mohéli qui devait
assurer la présidence de l'Union des Comores, en
vertu du principe de la présidence tournante
entre les 3 îles. Blogger,
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Fil-info-France
Mardi 15 juin 2010 : Après
l'assassinat dimanche 13 juin 2010 de l'un des
plus hauts gradés de l'armée comoriennes, le
colonel Combo Ayouba, abattu à son domicile à
Moroni la capitale par plusieurs hommes armés
non identifiés, l'armée s'est déployée lundi
14 devant les ministères et les principaux
bâtiments administratifs de Moroni. Plusieurs
centaines de personnes, originaires de l'Ile
d'Anjouan comme le colonel Combo Ayouba, ont
manifesté et scandé des slogans hostiles au
président Ahmed Abdallah Sambi. Ils réclamaient
le nom des auteurs de ce crime. Blogger,
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Fil-info-France
Mercredi 15 septembre 2010 :11
candidats ont déposé leur dossier pour se
présenter à l'élection présidentielle prévue
le dimanche 7 novembre 2010. La cour
constitutionnelle a jusqu'au 30 septembre 2010
pour examiner ces dossiers et dresser la liste
définitive des candidats. 27 candidats ont
également déposé leur dossier au poste de
gouverneur des 3 îles, Anjouan, Mohéli et
Grande Comore, dont l'élection est également
prévue le 7 novembre 2010. Blogger,
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Fil-info-France ?
Mercredi 10 novembre 2010 : Election
présidentielle aux Comores : Le premier
tour de l'élection présidentielle s'est
déroulée dimanche 7 novembre 2010 sur l'île de
Mohéli. Pour la première fois, un ressortissant
de Mohéli doit prendre la tête de l'Etat,
après les îles de Grande Comore et d'Anjouan,
en vertu d'un système de présidence tournante
instauré par la Constitution de 2001. Selon des
résultats provisoires, Ikililou Dhoinine,
vice-président sortant, serait en tête, suivi
de l'ancien président de l'île de Mohéli,
Mohamed Said Fazul, opposant au pouvoir du
président comorien sortant, Ahmed Abdallah
Sambi. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Samedi 20 novembre 2010 : L'opposition,
regroupée en un collectif, dénonce auprès de
l'Union africaine, les "conditions
frauduleuses et honteuses" de l'élection
présidentielle : Après le premier tour
de l'élection présidentielle qui s'est
déroulé le 7 novembre 2010, 9 des 10 candidats,
qui se sont réunis en un "collectif des
candidats de l'opposition", ont adressé un
courrier au président de la Commission de l'Union Africaine, Jean Ping, pour
dénoncer les "conditions frauduleuses et
honteuses" de ce scrutin. Le Collectif a
affirmé qu'il "ne reconnaît pas les
résultats dudit scrutin (...) et ne reconnaîtra
pas les résultats du scrutin du 26
décembre" 2010, date du second tour.
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Fil-info-France ?
Lundi 27 décembre 2010 : Second tour de
l'élection présidentielle : Les
électeurs étaient appelés aux urnes dimanche
26 décembre 2010 pour le second tour de
l'élection présidentielle et départager 3
candidats arrivés en tête du premier tour qui
s'est tenu le 7 novembre 2010. Blogger,
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Fil-info-France
Mercredi 29 décembre 2010 :
L'opposition
dénonce des fraudes massives lors du second tour
de l'élection présidentielle : Après
le second tour de l'élection présidentielle qui
s'est tenue dimanche 26 décembre 2010, dans les
3 îles de l'Union, Grande Comore, Anjouan et
Mohéli, l'opposition a dénoncé des
"fraudes massives" qualifiant le
scrutin de "mascarade". Blogger,
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Fil-info-France
Jeudi 30 décembre 2010 : Ikililou Dhoinine,
actuel vice-président du pays et dauphin
désigné du président sortant Ahmed Abdallah
Mohamed Sambi, remporte l'élection
présidentielle : La Commission a
annoncé officiellement mercredi 29 décembre
2010 qu'Ikililou Dhoinine, actuel vice-président
du pays et dauphin désigné du président
sortant Ahmed
Abdallah Mohamed Sambi, a
remporté l'élection présidentielle qui s'est
tenue dimanche 26 décembre 2010 avec 61 % des
voix, contre 33 % à son principal rival, le
candidat de l'opposition Mohamed Said Fazul. Le
taux de participation a été de 52,8 %. Ikililou
Dhoinine devient ainsi le premier Mohélien à
prendre la tête de l'Union des Comores depuis
son indépendance en 1975. Blogger,
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Fil-info-France
Fil info du jeudi 11 août 2011 N°
2986/24382
COMORES -
Un boutre fait naufrage, au moins 55 morts
Vendredi 10 février 2012 N°
3143/24539
FIL INFO COMORES - L'ancien chef
d'Etat-major, Salimou Mohamed Amiri, et 12
co-accusés acquittés
Vendredi 17 février 2012 N°
3149/24545
FIL INFO COMORES - Le FMA allège de
50 % la dette des Comores
Climat
- Climat
humide et chaud dans les régions côtières.
Températures plus fraîches en altitude.
Précipitations abondantes, apportées par les
moussons d'origine indienne (entre novembre et
avril). Des cyclones tropicaux traversent
régulièrement l'archipel, provoquant
d'importants dégâts matériels.
- Code ISO
- KM
- Devise nationale
- Unité,
solidarité, développement
- Drapeau
-
Ancien drapeau et
nouveau drapeau des Comores
- Economie
- Bananes,
manioc, maïs, riz. Epices : poivre, cannelle,
clous de girofle). Plantes à parfum : vanille,
ylang-ylang. Tourisme.
- Fête nationale
- 6
juillet (1975, date de l'indépendance)
- Langue officielle
- Arabe
et français.
- Liens
Présidence de l'Union des Comores
Gouvernement d'Anjouan
Banque centrale des Comores
Comores Aviation Compagnie aérienne
de l'Union des îles Comores
Site de l'Office du tourisme des
Comores
Médias
- Censure
à la suite du coup d'Etat de 1990. Aujourd'hui,
libéralisation progressive des médias.
Al Watan : premier quotidien des
Comores
La Gazette des Comores
Offre n° 3
Monnaie
- Franc
comorien.
- Partis politiques
Rassemblement national pour le développement
Front national pour la justice
- Population
- Comoriens
- 752
438 habitants.
- Coréens
(100 %).
- Principales
villes
- Moroni,
Fomboni, Tsimbeo
- Offre
n° 4
Religion
- Musulmans
sunnites 98 % ; Catholiques romains 2 %
- Situation
géographique
- Etat
de l'océan Indien, constitué d'un archipel
volcanique situé entre le continent africain et
l'île de Madagascar, à l'entrée septentrionale
du canal de Mozambique, à la hauteur de la
frontière entre la Tanzanie et le Mozambique.
Les Comores représentent un point de passage
stratégique pour le trafic pétrolier
international.
- Statut
- République.
Président et chef du gouvernement : Ikililou
Dhoinin (depuis le 26 mai 2011).
- Superficie
- 2 236
km2
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
également l'espace webcam)
Offre n° 5
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