| |
Offre n° 1
|
| |
Combattre
le radon - 20
février 2007
La présente note est un
condensé d'études
circonstanciées
réalisées par le Centre
scientifique et technique
du bâtiment, la Direction
Générale de
l'Urbanisme, de l'Habitat
et de la Construction
Direction Générale de
la Santé et l'Agence
nationale pour
l'amélioration de
l'habitat (format
pdf). Nous conseillons
vivement de consulter ces
références.
Le radon est un gaz
naturel radioactif
faisant partie de notre
environnement. Il
provient de la
désintégration du
radium, lui-même issu de
l’uranium contenu
dans la croûte
terrestre. Produit
surtout par certains
sous-sols granitiques et
volcaniques, il peut
s'accumuler à
l'intérieur des
bâtiments suite à de
nombreux facteurs :
concentration dans le
sol, perméabilité et
humidité du sol,
présence de fissures ou
de fractures dans la
roche sous-jacente,
utilisation de certains
matériaux de
construction à teneur en
radium élevée (bétons
de schistes alunifères,
roche granitique?),
utilisation d'eau à
usage domestique
provenant de nappes
situées en zones
granitiques, système de
ventilation?
Le caractère
cancérigène du radon a
été établi, en tout
premier lieu pour le
cancer du poumon chez les
mineurs d'uranium. « En
revanche, il n’est
pas clairement établi
pour les personnes
exposées au seul radon
dans les bâtiments. Les
études qui ont été
menées ne permettent pas
toutefois de conclure à
l’absence de risque,
même si celui-ci est
minime.[...] Si les
preuves
épidémiologiques
directes de l’impact
sanitaire du radon aux
faibles concentrations
font l’objet de
débats, l’estimation
indirecte, mais
plausible, des risques
fondée sur l’extrapolation
des courbes doses-risques
établies aux fortes
expositions conduit à
attribuer au radon
plusieurs milliers de cas
annuels de cancer du
poumon en France liés à
l'exposition dans les
bâtiments. »
Les mesures effectuées
sur le territoire
français permettent de
conclure que la
concentration moyenne en
radon des habitations est
de l’ordre de 66
Bq/m³, les régions les
plus concernées étant
la Bretagne, la Corse, le
Massif Central et les
Vosges avec des moyennes
pouvant atteindre les 150
Bq/m³.
L'Institut de protection
et de sûreté nucléaire
estime qu'en France, 300
000 habitations
individuelles ont une
concentration de radon
supérieure à 400
Bq/m³, et 60 000
habitations, une
concentration supérieure
à 1 000 Bq/m³.
Le Conseil supérieur d’hygiène
publique de France
retient le seuil d'alerte
de 1 000 Becquerel par
mètre cube (Bq/m³) pour
la prise de mesures
correctives urgentes,
éventuellement
d'envergure, et le seuil
de 400 Bq/m³ pour la
mise en oeuvre d'actions
correctrices simples
(objectif de
précaution).
En ce qui concerne les
bâtiments à construire,
une valeur guide de 200
Bq/m³ sera prochainement
fixée par voie
réglementaire.
Les principales
techniques efficaces
mises en oeuvre pour
empêcher le radon d’entrer
dans une habitation et
pour l’en évacuer
consistent à :
- assurer l’étanchéité
des sous-sols, des vides
sanitaires, des murs, des
planchers et des passages
de canalisation ;
- aérer les pièces en
mettant en place, le cas
échéant, un système de
ventilation mécanique
double flux
(entrée-sortie) ;
- ventiler le
soubassement du bâtiment
(vide sanitaire, cave...)
par aération naturelle
ou par ventilation
mécanique. « Le
principe de réduction de
l'entrée du radon dans
les bâtiments le plus
efficace repose sur le
Système de mise en
dépression du sol
(S.D.S.). En effet,
l'objectif de cette
dernière technique
consiste à générer un
champ de pression dans le
soubassement inférieur
à celui régnant au
niveau du sol du
bâtiment, à un débit
le plus faible possible.
Pour cela, l'air du
soubassement est extrait
mécaniquement vers
l'environnement
extérieur où le radon
se dilue rapidement. On
empêche ainsi les
mouvements convectifs de
l'air contenu dans la
porosité du sol et
chargé en radon vers le
bâtiment. »
Leader européen dans le
traitement du radon et de
ses produits de filiation
dans l’eau et dans l’air,
la société Parad offre
des solutions afin d’isoler
les établissements et
les maisons de ces
émissions radioactives.
Ces procédés sont
brevetés et agréés par
des sociétés de
contrôle.
Le procédé Paradair
(extraction du radon
contenu dans l'air)
permet une réduction
jusqu’à 99% du taux
de radon. Ce système est
plus efficace qu’un
système de ventilation
dans la mesure où il n’importe
pas du radon de l’extérieur.
Il est également plus
silencieux et plus
économique. Il a été
mis en application dans
des centaines
d'installations, avec 100
% de réussite, dont la
plus grande surface
traitée en Europe (5 000
m²).
Le procédé Paradeau :
Parad est l'une des seuls
sociétés à procéder
à l'extraction du radon
contenu dans l'eau.
Parad est une société
de travaux qui intervient
en tant qu’entrepreneur
possédant notamment une
assurance de garantie
décennale.
Parad intervient dans la
gestion du risque radon
de plusieurs façons :
- réponse à un appel d’offre
;
- demande d’un
maître d’ouvrage
qui a effectué les
mesures réglementaires
dans un lieu ouvert au
public dans lequel le
niveau de radon est
supérieur aux valeurs
réglementaires
(400Bq/m³ dans l'air),
en mesure intégrée,
dans au moins une zone ;
- demande directe d’un
propriétaire pour
traiter une maison ou un
édifice non couverts par
la réglementation ;
- mesure dans le terrain,
avant ou après l’achat
: calcul du niveau
prévisionnel de radon
dans l’édifice ou
la maison et remédiation
;
- formation de
remédiateurs :
initiation des
professionnels du
bâtiment aux actions des
rayonnements ionisants
concernant notamment le
radon et aux moyens d'y
remédier, dans les
maisons individuelles,
les établissements
recevant du public ou
tous autres locaux.
Parad
BP 56
78960
Voisins-le-Bretonneux
Tél. 01 30 43 47 48 ?
courriel :
parad@club-internet.fr
Plus d'informations : http://www.paradfrance.com
- ARCHIVES
:
Offre n° 3
Financez
vos
travaux !
Offre spéciale
|
| LES
PAGES "INFO" vous
proposent les meilleurs
sites de leurs
catégories ! |
|
|
|
|
|
