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- Doit-on
encore faire confiance à
nos ministres, qu'ils
soient de droite ou de
gauche ? - 10 août
2011
Après DSK, nous voilà
confronté dans une
nouvelle affaire, avec la
nouvelle présidente du
FMI Christine Lagarde.
N'y a til vraiment
que le sexe et l'argent
qui compte dans la vie
politique ? Il se
pourrait que pour
certaines catégories de
personnes, cela soit le
cas ! Opulence et droit
de cuissage font-ils
partie de la panoplie du
ministre ? En ce qui
concerne la confiance, le
FMI avait déjà
prétendu conserver la
sienne à DSK,
aujourd'hui c'est
vis-à-vis de Christine
Lagarde.
Après le sexe, l'argent
En théorie, il parait
difficile de concevoir
l'un sans l'autre
Complicité de faux et
complicité de
détournement de fond
publics, dans l'affaire
Bernard Tapie : Crédit
Lyonnais. S'il est
aujourd'hui grand temps
de mettre à jour les
diverses tricheries de
nos hauts fonctionnaires,
combien de temps encore
devrons-nous supporter
des ministres profiteurs
à l'extrême ? Un
procureur général
chargé de cette affaire,
ne peut s'engager dans ce
genre de poursuites, sans
conviction formelle.
Le proverbe reste égal
à lui-même, il n'y a
pas de fumée sans feu.
Aux lecteurs je fais tout
de même remarquer
qu'avant de se lancer
dans les divers délits
portant gain à la poche,
il faut, (tout comme la
plupart de nos ministres,
qu'ils soient de droite
ou de gauche), avoir
durant quelques années,
étudier et pratiquer le
droit. Muni de cette
parfaite connaissance,
l'instruction finira par
perdre de sa superbe tout
au long des années qu'il
sera nécessaire, pour
remettre le plus tard
possible, un éventuel
procès. Elle ne sera pas
la première à finir
dans les oubliettes par
un non lieu. Sa nouvelle
fonction (présidente du
FMI) n'est absolument pas
remise en question. Rien
n'empêche un ou une
ministre de faire
correctement son travail
et ce, peu importe la
nouvelle fonction qui lui
est allouée. Cela ne
l'empêchera pas, bien au
contraire, de pouvoir
faire du profit à l'insu
d'un peuple qui lui
accorde pratiquement les
yeux fermés, toute sa
confiance. Nous sommes
aujourd'hui, plongés en
pleine bataille navale.
Un coup lancé par la
droite, le porte-avions
DSK est touché. Riposte
par la gauche qui tire à
plein boulet sur le
porte-avions du chef
suprême du FMI, l'amiral
Lagarde. Finalement,
jusqu'à quel point ces
deux affaires
concernent-elles
réellement les
Français? Car il arrive
souvent que lorsque l'on
braque volontairement les
regards d'un côté à
grand coup de projecteur,
c'est qu'il se passe
quelque chose de beaucoup
plus grave de l'autre
côté. Nous connaissons
la méthode du divisé
pour mieux régner, mais,
connaissez-vous
l'histoire du regard
déporté? Je vous laisse
méditer.
Philippe PECCOLO
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