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Le drapeau du Mali
 



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La situation géographique du Mali
 
Nom officiel
République du Mali
Administration
Le Mali est divisé en 8 régions : Gao, Kayes, Kidal, Koulikoro, Mopti, Segou, Sikasso, Tombouctou.
Capitale
Bamako.
Chronologie politique

1880 - 1898 : Colonisation française menée par Joseph Gallieni qui mène des combats meurtriers contre les troupes de Samory Touré, chef de guerre dioula et fondateur d'un empire théocratique dans le Haut-Niger, et contre les Toucouleurs, qui résistent au nord.

1898 : Le Mali, une partie de la Mauritanie, du Burkina Faso et du Niger actuels sont intégrés à l'Afrique-Occidentale française.

1904 : Ces territoires forment la colonie du Haut-Sénégal-Niger, avec pour capitale Kayes, puis Bamako en 1908.

1920 : La colonie du Haut-Sénégal-Niger devient le Soudan français après que la Haute-Volta (aujourd'hui Burkina Faso) en ait été détachée.

1956 : Le Soudan français accède à l'autonomie interne.

24 novembre 1958 : Le Soudan français devient une république au sein de la Communauté française à la suite d'un référendum.

17 janvier 1959 : Cette république se joint au Sénégal pour former la fédération du Mali.

20 juin 1960 : La Fédération du Mali se proclame indépendante.

20 août 1960 : Eclatement de la Fédération du Mali.

22 septembre 1960 : La République Soudanaise rompt tous ses liens avec la France et proclame son indépendance sous l’appellation de République du Mali, présidée par Modibo Keita, qui dirige le Rassemblement Démocratique Africain (R.D.A.). Le Mali devient membre de l'ONU. Modibo Keita instaure un régime socialiste : plan quinquennal, séparation avec la zone franc, accords financiers et économiques avec les pays de l'Est sans rupture avec l'Occident.

19 novembre 1968 : Coup d'Etat militaire mené par le lieutenant Moussa Traoré.

1979 : Moussa Traoré instaure un régime de parti unique et crée l'Union Démocratique du Peuple Malien (UDPM).

1968 à 1974, puis de 1983 à 1985 : Famines persistantes dues à la sécheresse.

1er juin 1984 : Le Mali intègre l'Union monétaire de l'ouest africain (UEMOA) qui lui permet d'intégrer la zone franc en adoptant le franc CFA.

1985 : Guerre des 6 jours avec le Burkina Faso. Différend avec le Burkina Faso portant sur la bande d'Agacher réglé en 1986 par la Cour internationale de justice.

9 juin 1985 : Le général Moussa Traoré est réélu pour un mandat de 6 ans.

Juin 1990 : Affrontements meurtriers entre l'armée et les Touaregs dans le nord-est du Mali, après le rapatriement de centaines de familles nomades venant d'Algérie.

6 janvier 1991
: Accords de Tamanrasset pour protéger les Touaregs.

21 et 22 janvier 1991 : Manifestations à Bamako après l'interdiction d'associations favorables au multipartisme par le président Moussa Traoré qui dégénèrent en émeutes violentes.

Mars 1991 : Nouvelles émeutes à Bamako, réprimées dans le sang faisant plusieurs dizaines de morts.

25 mars 1991 : L'armée renverse le général Moussa Traoré. Un Comité transitoire pour le salut du peuple, dirigé par le lieutenant-colonel Amadou Toumany Touré, est instauré. Les libertés publiques sont rétablies.

26 mars 1992 : Premières élections libres.

12 avril et 26 avril 1992 : Election présidentielle à 2 tours qui voit la victoire d'Alpha Oumar Konaré avec 60 % des voix.

Février 1993 : Le général Moussa Traoré est condamné à mort.

Mai 1997 : Alpha Oumar Konaré est réélu président avec 80 % des voix, ses principaux adversaires ayant boycotté le scrutin.

Mai 2002 : Le général à la retraite Amadou Toumani Touré est élu président.

Samedi 1er juin 2002 : A moins de 10 jours de son départ du pouvoir, le président Konaré a, comme il l'a promis dans sa campagne dans le but d'élaborer un processus de réconciliation nationale, grâcié son adversaire l'ex-président, le général Moussa Traoré et son épouse, détenus depuis plus de 11 ans dans un camp militaire près de Bamako. Moussa Traoré et son épouse ont été condamnés à la peine de mort pour crimes contre l'humanité et détournement de fonds publics, peine commuée en détention à vie. Les deux détenus n'ont pas voulu quitter leur cellule tandis que le nouveau président Amadou Toumani Touré n'aura pas pris le pouvoir. Rappelons que Toumani Touré a été l'auteur d'un coup d'état en 1992 contre Moussa Traoré, aux rênes du pays depuis près de 23 ans ! (Source : Fil-info-France)

Vendredi 12 décembre 2003 : Des millions de producteurs africains de coton sont menacés par la concurrence des pays riches et notamment des Etats-Unis. Lors d'une réunion informelle mardi à Genève de l'OMC, le président Amadou Toumani Touré a demandé des compensations financières pour combler le manque à gagner des producteurs de coton africains suite aux subventions accordées aux producteurs occidentaux par les pays industrialisés. Les Américains ont donné plus de 4 milliards de dollards de subventions à leurs producteurs ces dernières années faisant des Etats-Unis le plus grand exportateur mondial de coton au détriment des producteurs africains. (Source : Fil-info-France)

Vendredi 30 avril 2004 : Le ministre de l'Equipement et des Transports, Ousmane Issoufi Maïga, a été nommé jeudi Premier ministre en remplacement de Ahmed Mohamed Ag Hamani, qui a démissionné mercredi avec tout son gouvernement en poste depuis le 12 octobre 2002. (Source : Fil-info-France)

Samedi 3 décembre 2005 : Le Président français Jacques Chirac est arrivé vendredi à Bamako la capitale pour assister au 23e sommet Afrique-France qui se tient samedi 3 et dimanche 4 décembre 2005 avec pour thème la "Jeunesse africaine, sa vitalité, sa créativité, ses aspirations" en présence des représentants de 53 Etats africains, soit une soixantaine de chefs d'Etat ou de délégations et près de 3000 représentants. (Source : Fil-info-France)

Mardi 11 avril 2006 : Arrivé jeudi 6 avril 2006 à Bamako, la capitale, le Guide libyen et leader du Commandement populaire islamique mondial (CIPM), Mouammar Khadafi, dirigera mardi 11 avril 2006 à Tombouctou une prière à l'occasion de la célébration de l'anniversaire de la naissance du prophète Mahomet. Une prière collective sera organisée à cette occasion dans le stade municipal de la ville avec la participation de 30 000 à 40 000 personnes, notamment pour dénoncer les caricatures du prophète Mahomet publiées par le journal danois Jyllands-Posten. Mouammar Khadafi a posé samedi la première pierre de la grande mosquée de Ségou en présence du président malien, Amadou Toumani Touré. (Source : Fil-info-France)

Lundi 30 avril 2007 : 6,8 millions d'électeurs étaient appelés aux urnes dimanche 29 avril 2007 pour élire leur président parmi 8 candidats dont le président sortant, donné favori, Amadou Toumani Touré, ancien général putschiste qui a spontanément cédé le pouvoir aux civils en 1992 après avoir participé au renversement du dictateur Moussa Traoré (1968-1991), qui brigue un deuxième et dernier mandat de 5 ans. Plusieurs milliers d'observateurs internationaux sont présents pour veiller au bon déroulement du scrutin. (Source : Fil-info-France)

Lundi 14 mai 2007 : La Cour constitutionnelle du Mali a proclamé samedi 12 mai 2007 les résultats définitifs de l'élection présidentielle du 29 avril, remportée au premier tour par le chef de l'Etat sortant Amadou Toumani Touré avec 71,20 % des voix. (Source : Fil-info-France)

Vendredi 28 septembre 2007 : Le premier ministre Ousmane Issoufi Maïga, en poste depuis 2004, a présenté jeudi 27 septembre 2007 sa démission, et celle de son gouvernement, au chef de l'Etat Amadou Toumani Touré, qui l'a acceptée. Cette démission intervient à la suite de la mise en place de la nouvelle Assemblée nationale issue des élections législatives de juillet 2007. (Source : Fil-info-France)

Samedi 29 septembre 2007 : Le secrétaire général de la présidence, Modibo Sidibé, a été nommé vendredi 28 septembre 2007 premier ministre par le président Amadou Toumani Touré, en remplacement d'Ousmane Issoufi Maïga qui avait présenté sa démission jeudi 27 septembre 2007. (Source : Fil-info-France)

Lundi 10 décembre 2007 : Le Mali est devenu le 5ème pays de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'ouest (CEDEAO) à lancer un programme contre la prolifération des armes légères dans le pays après le Togo, la Sierra Leone, la Gambie et le Liberia. (Source : Fil-info-France)

Vendredi 9 mai 2008 : L'ancien ministre des Transports, sous la présidence d'Alpha Oumar Konaré, Ibrahima Siby, ancien membre du bureau politique du Rassemblement pour le Mali (RPM) de l'ancien premier ministre, Ibrahim Boubacar Kéïta, a annoncé jeudi 8 mai 2008 la création d'un nouveau parti, baptisé Union pour le Développement du Mali (UDM) qui vise "à la réhabilitation de l'homme malien, réconcilier la politique, la morale et l'éthique, proposer au peuple une alternative capable de réhabiliter la chose politique, afin de lui donner une nouvelle raison d'espérer". (Source : Fil-info-France)

Samedi 5 juillet 2008 : Ouverture dimanche 6 juillet 2008, et jusqu'au 9, à Koulikoro, ville située à une cinquantaine de kilomètres à l'est de Bamako, la capitale, du "Sommet des Pauvres", organisé par des opposants à la mondialisation, en marge du sommet du G8 (groupe des 8 pays les plus industrialisés, Etats-Unis, Japon, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Italie, Canada, Russie) qui s'ouvrira du 7 au 9 juillet 2008 sur l'île d'Hokkaido au Japon. (Source : Fil-info-France)

Mercredi 17 juin 2009 : L'armée a lancé une attaque mardi 16 juin 209 contre une base présumée du mouvement d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), dans la région de Timétrine, à la frontière avec l'Algérie, dans le nord du Mali. Cette opération militaire intervient après l'assassinat le mercredi 10 juin 2009 du lieutenant-colonel, Lamana Ould Bou, qui avait participé à l'arrestation de membres de la branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) qui transitaient par le territoire malien, abattu à son domicile à Tombouctou dans le nord-ouest du pays et l'exécution, le dimanche 31 mai 2009 d'un touriste britannique, Edwin Dyer, otage de l'AQMI depuis janvier 2009. Le gouvernement malien avait promis que ces crimes ne resteraient pas impunis. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?

Mercredi 9 décembre 2009 :
Le mouvement Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) a revendiqué mardi 8 décembre 2009 l'enlèvement du Français, Pierre Camatte (61 ans), directeur technique d'un hôtel à Menaka dans le nord-est du Mali, enlevé mercredi 25 novembre 2009 dans la soirée par un groupe d'hommes armés, ainsi que celui de 3 Espagnols kidnappés en Mauritanie le 29 novembre 2009. Un porte-parole de l'AQMI a indiqué que "la France et l'Espagne seront informées ultérieurement des revendications légitimes des moujahidine". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Jeudi 25 février 2010 : Le Français Pierre Carmatte, directeur technique d'un hôtel, enlevé à Ménaka dans le nord du Mali et détenu depuis le 26 novembre 2009 par le mouvement Al-Qaïda au Maghreb (AQMI), a été libéré mardi 23 février 2010 après la mise en liberté dans la nuit de dimanche 21 à lundi 22 février 2010 de 4 combattants islamistes (2 Algériens, 1 Burkinabé et un Mauritanien), arrêtés en avril 2009 dans le nord du Mali, dont le mouvement Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) avaient demandé la libération en échange d'un otage français. La Mauritanie et l'Algérie qui demandaient l'extradition des prisonniers ont exprimé un fort mécontentement et rappelé leur ambassadeur. Le ministère mauritanien des Affaires étrangères a qualifié la décision des autorités maliennes de "surprenante" et contradictoire avec l'esprit des accords judiciaires et sécuritaires liant les 2 pays, affirmant que "cette mesure non cordiale prise par les autorités maliennes porte atteinte aux relations séculaires existant entre les 2 pays". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France ?

Lundi 26 juillet 2010 : Dans un enregistrement sonore diffusé dimanche 25 juillet 2010 par la chaîne satellitaire arabe, Al-Jazeera, le chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Abou Moussab Abdel Wadoud, a annoncé que l'otage français, Michel Germaneau, a été exécuté samedi 24 "pour venger nos 6 frères tués dans la lâche opération de la France". Les autorités françaises n'ont ni confirmé ni infirmé cette information. Le 22 juillet 2010 l'armée française, conjointement avec des soldats mauritaniens, avait lancé un raid dans le désert malien contre des combattants d'AQMI visant à libérer l'otage français, faisant 7 morts. Michel Germaneau, retraité de 78 ans et membre d’une association d’entraide aux enfants du Niger, Enminal, avait été enlevé le 19 avril 2010 près d’In-Abangharet, au nord du Niger. L'AQMI avait fixé au lundi 26 juillet 2010 un ultimatum pour la libération de Michel Germaneau en échange de plusieurs de ses combattants détenus au Mali et en France. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations Fil-info-France

 
 
Climat
Subtropical à aride. Chaud et sec de février à juin. Pluvieux, humide et doux de juin à novembre. Frais et sec de novembre à février.
Code ISO
ML
Devise nationale
Un peuple, un but, une foi.
Drapeau
Le drapeau du Mali
Economie
Or, phosphates, kaolin, sel, uranium. Hydroélectricité. Arachides, coton, millet.
Fête nationale
22 septembre (1960, indépendance).
Langue officielle
Français.
Liens
Présidence de la République du Mali
Le ministère de la Jeunesse et des Sports
Afribone Pour tout connaître sur le Mali : institutions, économie, tourisme, sport, météo, etc.
Forum Social Mondial de Bamako (19 au 23 janvier 2006)
http://www.malinet.ml/ Le portail du Mali : tourisme, actualités, culture, etc.
Drapeau, hymne national et heure locale
Tombouctou, la perle du désert
Les cyber-cafés à Bamako
La Banque Mondiale du Mali
La mairie du district de Bamako
La réforme de la justice
Alban Fatkin : reportage photo vie au quotidien et portraits du Maroc, Mali, Mauritanie O
Malipages : Annuaire des Pages Jaunes du Mali
Les Pages Jaunes du Mali
Médias
Médiamali, le portail de la presse malienne
Info-Matin, premier journal malien en ligne
http://www.essor.gov.ml/ L'Essor, quotidien national d'information
http://fr.allafrica.com/mali/ L'actualité du Mali
http://www.musow.com/ Le magazine des femmes africaines
http://www.cefib.com/presse/index.php Maison de la presse du Mali : toute l'actualité du Mali
Offre n° 3

Monnaie
Franc CFA.
Partis politiques
ADEMA : Alliance pour la Démocratie du Mali
CDS : Convention Sociale et Démocratique
CNID : Comité National pour l'Initiative Démocratique
PARENA : Parti pour le Renouveau National
PMD : Mouvement Populaire pour la Démocratie
US-RDA : Union Soudanaise-Rassemblement Africain pour la Démocratie
Population
Maliens.
11 millions d'habitants.
Mande (Bambara, Malinke, Soninke)( 50%) , Peul (17%), Voltaïc (12%), Songhai (6%), Touareg et Moor (10%), Autres (5%).
Principales villes
Bamako, Ségou, Mopti, Koulikoro, Kayes, Tombouctou.
Offre n° 4

Religion
Musulmans (90 %). Croyances indigènes (9 %). Chrétiens (1 %).
Situation géographique
Pays d'Afrique de l'ouest. Frontières avec l'Algérie, le Niger, le Burkina Faso, la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Sénégal et la Mauritanie.
Statut
Démocratie pluraliste depuis 1992. Président : Amadou Toumani Touré (depuis le 8 juin 2002). Premier ministre : Cisse Mariam Kaidama Sidib (depuis le 3 avril 2011).
Superficie
1 220 190 km2
Webcam
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Offre n° 5



 

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