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NIGER
-
- Nom officiel
- République
du Niger
- Administration
- Le
Niger est divisé en 7 départements et 1
district* : Agadez, Diffa, Dosso, Maradi,
Niamey*, Tahoua, Tillaberi, Zinder. Voir la carte administrative du Niger. Voir la carte détaillée du Niger.
- Capitale
- Nyamey.
- Chronologie
politique
Du Xème siècle au début du
XIXème siècle : Les Etats haoussa
islamisés dominent le Niger méridional, époque
à laquelle ils sont soumis par la guerre sainte
des Peul menés par Ousman dan Fodio. Les
Songhaïs exercent une forte influence sur la
vallée du fleuve durant la dernière partie du
Moyen Age, tandis que l'empire de Kanem-Bornou
domine la frontière orientale.
A partir du XIème siècle : Les
Touaregs arrivent par vagues dans l'Aïr, se
répandent dans l'Azawak et commencent à lancer
des raids sur les sédentaires du Sud.
XVème siècle : Les Touaregs établissent
un sultanat à Agadez.
Entre 1883 et 1901: Les Français entrent dans
la région et provoquent la dissolution du
puissant empire de Sokoto.
1900 : Les Français font du Niger un
territoire militaire administré à partir de
l'ancien sultanat de Zinder.
1922 : Le Niger devient une colonie
française, administrée à partir de Niamey pour
rééquilibrer les pouvoirs économiques et
politiques locaux, diminuer le poids de la
communauté haoussa de Zinder ainsi que
l'influence du nord du Nigeria, une région riche
et peuplée. Le pays est intégré au sein de la
fédération de l'Afrique occidentale française.
1946 : Le Niger devient un Territoire
d'outre-mer.
1958 : Le Niger est une République
autonome au sein de la Communauté française (ou
communauté franco-africaine), malgré une
campagne pour le "non" au référendum
de Djibo Bakary, opposé au chef du gouvernement
Hamani Diori, élu président du Conseil par une
Assemblée constituante.
3 août 1960 : Le Niger accède à
l'indépendance. Hamani Diori est élu président
par lAssemblée nationale, sous régime de
parti unique. Djibo Bakary, contraint à l'exil
à la veille de l'indépendance, perpètre un
coup d'Etat qui n'aboutit pas.
Avril 1965 : Hamani Diori échappe à
une tentative d'assassinat.
1965 : Hamani Diori est réélu, soutenu
par le Parti progressiste nigérien (PPN),
quil avait fondé à partir de la section
nigérienne du Rassemblement démocratique
africain (RDA).
1968 : Les Français ouvrent les mines
d'uranium.
1973 : Une grave sécheresse touche le
Niger, affectant principalement les tribus
nomades.
15 avril 1974 : Hamani Diori, accusé de
corruption, est renversé par un coup d'Etat
perpétré par le lieutenant-colonel Seyni
Kountché et est exilé dans l'est du pays.Seyni
Kountché interdit les partis politiques.
Fin 1983 : Coup d'Etat manqué contre le
colonel Kountché.
10 novembre 1987 : Mort à Paris en France du
colonel Kountché, le colonel Ali Seibou le
remplace. Il libère l'ancien président Hamani
Diori.
2 août 1988 : Création dun parti
unique, le Mouvement national de la société de
développement (MNSD).
1989 : Ali Seibou est réélu après le
vote d'une nouvelle constitution qui ramène le
pouvoir civil, mais avec toujours un parti
unique.
1990 : Grèves et manifestations. Ali
Seibou légalise les partis d'opposition.
2 mars 1990 : Aliou Mahamidou est nommé
premier ministre.
7 mai 1990 : Violents affrontements
mortels entre Touaregs et l'armée nigérienne.
Les Touaregs réclament un partage plus
équitable des richesses.
Septembre 1990 : La France renonce à une
créance de 275 millions de dollars sur le Niger.
15 novembre 1990 : La Constitution est
révisée.
Avril 1991 : Le multipartisme est
autorisé.
Du 2 juillet au 3 novembre 1991 : Ouverture
d'une Conférence nationale visant à préparer
la transition démocratique et organiser des
élections.
3 novembre 1991 : Fin de la Conférence
nationale. Nomination d'Amadou Cheffou au poste
de premier ministre de transition avec des
pouvoirs étendus. Il forme un gouvernement le 7
novembre 1991 qui durera jusqu'au 31 janvier
1993.
23 mars 1992 : Le premier ministre de
transition Amadou Cheffou dissout le
gouvernement.
22 juillet 1992 : Le Niger reconnaît
Taïwan, ce qui entraîne la rupture des
relations diplomatiques avec la Chine.
Février 1993 : Des élections générales
voient la victoire de l'Alliance des forces du
changement (AFC).
Mars 1993 : Lors de l'élection présidentielle,
Mahamane Ousmane, chef d'un parti membre de
l'AFC, est élu Président avec 55 % des
suffrages.
1994 : Nouveaux affrontements meurtriers
entre la rébellion touareg et l'armée.
17 octobre 1994 : Le parlement est dissous.
12 janvier 1995 : L'opposition remporte les
élections législatives.
7 février 1995 : Amadou Cissé est nommé
premier ministre. Il est remplacé le 21 par Hama
Hamadou.
24 avril 1995 : Le gouvernement et 6
mouvements de la rébellion touareg signe un
accord de paix qui met fin à 5 ans de conflit.
27 janvier 1996 : Coup d'Etat militaire. Le
colonel Ibrahim Baré Maïnassara prend le
pouvoir et organise, au sein d'un Conseil de
salut national, l'adoption dune nouvelle
constitution de type présidentiel.
30 janvier 1996 : Le Conseil de salut
national nomme un premier ministre civil, Boukary
Adji.
8 juillet 1996 : Le Colonel Ibrahim Baré
Maïnassara est proclamé président par la junte
militaire lors de l'élection présidentielle
face à Mahamane Ousmane. L'opposition dénonce
des fraudes.
23 novembre 1996 : Les élections
législatives donnent la victoire au parti
présidentiel. L'opposition conteste le résultat
du scrutin.
12 décembre 1996 : Le Conseil de salut
national est dissous.
Avril 1999 : Le colonel Ibrahim Baré
Maïnassara est assassiné par des membres de sa
garde personnelle. Le commandant Daouda Mallam
Wanké, chef de la Garde présidentielle, qui a
qualifié cette mort de "malencontreux
accident", est nommé chef de l'Etat par un
Conseil de réconciliation nationale composé
uniquement de militaires. L'armée, qui avait
promis de rendre le pouvoir aux civils, interdit
les partis politiques et confirme la tenue d'un
référendum constitutionnel en juin et d'une
élection présidentielle au suffrage universel
à la fin de l'année.
9 août 1999 : Une nouvelle constitution
est promulguée.
24 novembre 1999 : Le colonel à la retraite,
Mamadou Tandja est élu président au second tour
de l'élection présidentielle avec 59 % des
suffrages face au président du parlement
dissous, Mahamadou Issoufou.
31 décembre 1999 : Hama Hamadou est nommé
premier ministre.
Mardi 21 mai 2002 : Le chef de l'opposition,
Parti Nigérien pour l'Auto-gestion, Sanoussi
Jakou, a été arrêté il y a trois jours pour
diffamation à l'encontre du ministre du commerce
lors d'un débat à la radio et jeté en prison.
Les associations de défense des droits de
l'homme ont appelé à une manifestation en
faveur de la libération du chef de l'opposition.
Mardi 6 août 2002 : Après la
mutinerie d'un certain nombre de soldats
nigériens qui avaient pris en otage une dizaine
de personnes, dont le préfet, à Diffa, le
mouvement s'est étendu à tout le pays et à la
capitale Nyamey où la garde présidentielle a,
selon le ministre de la défense, réussit à
contenir les mutins. Les soldats réclament le
paiement de leurs arriérés de salaire qu'ils ne
touchent plus depuis des mois. Ils ont déclaré
qu'ils se battront jusqu'aux derniers. Le
gouvernement a fait publier un décret stipulant
que tout journaliste ou correspondant de presse
qui parlerait de cette mutinerie serait
poursuivi. Un correspondant de RFI a été
arrêté pendant quelques heures puis relâché.
Vendredi 9 août 2002 : Selon les
autorités, l'armée a repris le contrôle de
toutes les zones tombées aux mains des
militaires mutins sauf la garnison de Ngourti,
où les offensives se poursuivent. On ne connaît
pas le nombre des victimes. Le gouvernement a mis
en garde la presse : tout journaliste qui
traitera encore de cette mutinerie sera poursuivi
risquant soit la perte de son accréditation soit
la prison.
Vendredi 4 avril 2003 : 10 000
personnes ont manifesté à Nyamey pour montrer
leur opposition à la guerre en Irak. C'est la
première fois qu'au cours d'une manifestation
étaient réunies les organisations de défense
des droits de l'homme et les associations
religieuses. Les deux premières manifestations
contre la guerre en Irak avaient été purement
et simplement interdites par les autorités.
Jeudi 17 avril 2003 : Le
président Mamadou Tandja a décidé de prendre
des mesures répressives à l'encontre des
magistrats qui commettent "de graves
irrégularités qui dépassent le seuil du
tolérable". Il a annoncé des sanctions
immédiates pour "tout magistrat pris en
flagrant délit". Le syndicat autonome des
magistrats a expliqué que cette situation
provenait de "la précarité des moyens mis
à la disposition de la justice".
Mercredi 7 mai 2003 : Le
principal syndicat du pays, Confédération
Démocratique des Travailleurs du Niger (CDTM), a
lancé lundi un appel à la grève d'une semaine.
L'administration du Niger sera entièrement
paralysée : enseignement, santé et douanes (qui
rapporte 15 milliards de francs CFA à
l'économie nigérienne) ont répondu à cet
appel. Les grévistes protestent contre le non
respect par le gouvernement des engagements
depuis 2 ans concernant le paiement d'arrièrés
de salaires, d'indemnités et de primes ou le
système des retraites anticipées.
- Samedi
10 mai 2003 : L'Assemblée nationale du
Niger a voté lundi à une écrasante majorité
le nouveau code pénal qui considère dorénavant
comme un crime passible de 10 à 30 ans de prison
ferme les pratiques esclavagistes. Ilguilass
Weila, président de Timidria, ONG qui lutte
contre l'esclavage, a appelé les autorités
judiciaires à appliquer la loi qui devrait punir
quelque 580 000 "maîtres". Selon un
rapport publié par cette organisation, 900 000
esclaves ont été identifiés dans les 8
régions du Niger, mais le chiffre pourrait
atteindre le million.
Samedi 24 mai 2003 : 3 gendarmes
qui avaient torturé deux hommes soupçonnés
d'avoir volé un vélo ont été condamnés
vendredi à des peines allant de 18 mois à 2 ans
de prison et une amende. Une des deux victimes
avait dû être amputée des mains et des pieds.
Jeudi 23 octobre 2003 : Le
président français Jacques Chirac est arrivé
mercredi à Nyamey pour une visite de 4 jours qui
le conduira également au Mali, deux des pays les
plus pauvres du monde afin "d'apporter
aujourd'hui le témoignage d'amitié, d'estime et
de solidarité du peuple français". Le
président Chirac est accompagné des ministres
de l'Agriculture Hervé Gaymard et de la
Coopération Pierre-André Wiltzer, de
parlementaires et d'une dizaine de chefs
d'entreprise.
- Mercredi
29 octobre 2003 : Le ministre de
l'Hydraulique, de l'Environnement et de la Lutte
contre la désertification, Adamou Namata, et
l'ambassadeur de Chine au Niger, Sun Zhaotong,
ont signé ce week-end à Nyamey, la capitale, un
contrat portant sur un projet d'alimentation en
eau de la ville de Zinder, à 950 km à l'est de
Niamey. Une aide d'un montant de 48 milliards de
F CFA sera débloquée par Pékin. Les travaux
devraient débuter le 6 novembre prochain. Plus
de détails : Le cycle de l'eau au Niger ; Quand l'eau devient toxique
; des enfants empoisonnés ; Niger, eau source de
malheur ; Vivendi reine de l'or bleu au Niger ; Droit à l'eau potable au Niger,
rapport de la FIDH (format
pdf) ; L'eau au coeur de la lutte
contre la pauvreté.
Mercredi 12 novembre 2003 : Le
directeur et propriétaire de l'hebdomadaire
"Le Républicain", Mamane Abou,
incarcéré depuis le 5 novembre, a été
condamné à 6 mois de prison ferme, à 300 000 F
CFA d'amende (environ 450 euros) et 10 millions
de F CFA de dommages et intérêts (plus de 15
000 euros) pour "diffamation" contre le
chef du gouvernement Hama Amadou et le ministre
des Finances Ali Badjo Gamatié, qu'il a décrit
"dans son article comme des voleurs d'argent
public", selon le ministre de la justice.
Mamane Abou est également poursuivi pour
"complicité de vol par salarié et recel de
documents confidentiels" qui lui ont permis
de rédiger un article paru en juillet dernier,
qui révélait une affaire de "Paiement sans
ordonnancement prélable" (PSOP) de 4
milliards de F CFA (6,1 millions d'euro) par le
Trésor nigérien, et répertoriait de nombreux
marchés publics accordés illégalement par les
autorités, selon la rédaction du journal.
Vendredi 21 novembre 2003 : La Cour
Internationale de Justice de La Haye
a nommé jeudi deux juges, un Nigérien et un
Béninois pour travailler avec une chambre de 5
juges de la CIJ chargés de tenter de résoudre
le litige frontalier qui oppose
le Bénin et le Niger, le long du fleuve Niger,
essentiellement dans la perspective de recherches
pétrolières, depuis presque 40 ans.
7 décembre 2004 : Mamadou
Tandja est réélu pour un second mandat avec
65,5 % des suffrages.
Mercredi 28 juin 2006 : Le
président Mamadou Tandja a limogé
mardi 27 juin 2006 par décret le ministre de
lEducation et le ministre de la Santé pour
leur implication présumée dans des
malversations relatives à des fonds européens
destinés à léducation.
Samedi 2 juin 2007 : Le
gouvernement du premier ministre Hama Amadou, en
poste depuis décembre 2004, a été renversé
jeudi 31 mai 2007 par le Parlement, pourtant
largement dominé par la mouvance
présidentielle, à la suite d'une motion de
censure déposée par l'opposition qui visait à
dénoncer "une justice à double
vitesse", après le refus d'Hamas Amadou
dêtre auditionné par une commission
dinstruction de la Haute cour de justice de
la République qui enquêtait sur une affaire de
détournements de fonds de quelque 4 milliards
Francs CFA au ministère de lEducation
(environ 6 millions d'euros). Selon la
Constitution, le président doit nommer son
Premier ministre parmi 3 personnalités choisies
par la majorité parlementaire. Le chef de file
de lopposition Mahamadou Issoufou a invité
le président Mamadou Tandja "à désigner
un nouveau Premier ministre crédible (...) qui
va promouvoir la bonne gouvernance, lutter contre
la corruption et contre les détournements des
deniers publics".
Vendredi 8 juin 2007 : Le nouveau
premier ministre Seyni Oumarou (57 ans) a prêté
serment sur le Coran jeudi 7 juin 2007 à Niamey,
la capitale. Le chef
du gouvernement précédent Hama Amadou, avait
été renversé jeudi 31 mai 2007 à la suite
d'une motion de censure votée par le Parlement
où la mouvance présidentielle est pourtant
majoritaire.
Vendredi 27 juillet 2007 : Le Niger a
décidé mercredi 25 juillet 2007 d'expulser le
directeur local du numéro un mondial du
nucléaire civil, le groupe français Areva, Dominique
Pin, sous l'accusation de financer les rebelles
touareg du Mouvement des Nigériens pour la
justice (MNJ). Selon Areva, "l'argent versé
par le groupe Areva était destiné à financer
la protection de ses salariés sur le site
d'exploration d'Imouraren (nord), démarche qui
relève du devoir de l'entreprise envers son
personnel". Des milliers de personnes
avaient manifesté samedi 21 juillet 2007
accusant la Libye et Areva de financer la
rébellion touareg "avec pour but
d'entretenir des troubles dans le nord en vue d'y
empêcher toute prospection et exploitation
minières et pétrolière". Après l'Etat,
Areva est le premier employeur du Niger, où il
exploite depuis 40 ans l'uranium dans le nord du
pays.
Lundi 24 septembre 2007 : Le
procureur général près la Cour d'Appel de
Niamey, Adama Harouna, a déclaré vendredi 21
septembre 2007 à la télévision nationale que
Moussa Kaka, directeur de la station privée
Radio Saraounia, correspondant au Niger de Radio
France Internationale (RFI) et
Reporters sans frontières, arrêté le 20
septembre 2007 et placé en détention à Niamey,
est "poursuivi pour atteinte à la sûreté
de l'Etat" pour des liens présumés avec
les rebelles touaregs du Mouvement des Nigériens
pour la justice (MNJ), ajoutant : "Si
l'intéressé n'est pas au service du MNJ, il est
de connivence avec ce mouvement". Lire l'édition de Fil-info-france
du samedi 22 septembre 2007 (Niger).
Lundi 24 décembre 2007 : 2
journalistes français, Thomas Dandois et Pierre
Creisson, travaillant pour la chaîne de
télévision franco-allemande "Arte",
écroués vendredi 21 décembre 2007 ont été
inculpés pour "intelligence avec des
"bandes armées" et "atteinte à
la sécurité de l'Etat". Ils risquent la
peine de mort pour ce dernier chef d'inculpation.
Ils sont accusés d'avoir enfreint l'interdiction
de se rendre dans le nord du Niger pour réaliser
un reportage sur la rébellion touareg du Mouvement
des Nigériens pour la justice (MNJ) alors
qu'ils étaient munis d'un visa et d'une
autorisation de tournage pour un reportage sur la
grippe aviaire. Le nord du Niger est strictement
interdit aux journalistes depuis
linstauration, en août 2007, prolongée de
3 mois en novembre 2007, de "létat de
mise en garde", donnant des pouvoirs
étendus aux militaires dans la zone. Leur avocat
a dénoncé "un grave recul pour la liberté
et l'état de droit".
Samedi 28 juin 2008 : L'ancien
premier ministre, Hama Amadou, a été arrêté
et placé en détention. Il est accusé d'avoir
versé des pots-de-vin à un fonds spécial
destiné à la presse nationale pour un montant
qui avoisinerait 100 millions de francs CFA (152
000 euros). S'il est reconnu coupable, il
pourrait renoncer à se présenter à l'élection
présidentielle de 2009 dont il est donné
favori.
Lundi 29 septembre 2008 : Moussa
Kaka, directeur de la station privée Radio
Saraounia, correspondant au Niger de Radio France
Internationale (RFI) et
Reporters sans frontières, arrêté le 20
septembre 2007 et placé en détention à Niamey,
"poursuivi pour atteinte à la sûreté de
l'Etat" pour des liens présumés avec les
rebelles touaregs du Mouvement des Nigériens
pour la justice (MNJ), et qui a
bénéficié d'un non lieu qui lui a été
notifié le 23 juillet 2008, est toujours en
prison. Lire l'édition de Fil-info-france
du samedi 22 septembre 2007 (Niger). Le
président de l'audiovisuel extérieur de la
France et président de RFI, Alain de Pouzilhac,
s'est rendu la semaine dernière à Niamey pour
solliciter la clémence du président Mamadou
Tandja.
Mercredi 8 octobre 2008 : Moussa
Kaka, correspondant au Niger de la radio
française Radio France Internationale (RFI), et
directeur de la station privée Radio Saraounia,
inculpé et incarcéré le 26 septembre 2007 à
Niamey pour "complicité d'atteinte contre
l'autorité de l'Etat" en raison de ses
liens présumés avec les rebelles touareg du
Mouvement des Nigériens pour la Justice (MNJ), a
été libéré de prison mardi 7 octobre 2008
après plus d'un an de détention, les charges
ayant été requalifiées de crime à simple
délit. Lire l'édition de Fil-info-France
du 22 septembre 2007
Lundi 16 mars 2009 : En visite
au Niger, au titre de président en exercice de
l'Union Africaine, le chef
de l'Etat libyen, Mouammar Kadhafi, s'est
déclaré favorable "aux amendements des
Constitutions africaines. Je suis pour la
liberté de la volonté populaire, il faut que le
peuple choisisse celui qui doit le gouverner,
même pour l'éternité". Il a ajouté :
"Ce que je voudrais dire, c'est qu'annuler
ou supprimer tout article qui limite le mandat du
président, ce n'est pas antidémocratique".
Cette déclaration intervient alors que les
partisans du président nigérien, Mamadou
Tandja, souhaitent que ce dernier reste au
pouvoir à la fin de son second mandat qui expire
fin 2009. Une modification de la Constitution
s'avère nécessaire, mais la majorité de la
classe politique est opposée à toute
modification de la constitution. Mouammar Kadhafi
a également indiqué : "Si le peuple est
d'accord avec les performances du programme d'un
chef d'Etat, il peut lui demander de continuer un
troisième, un quatrième et cinquième
mandat" et a demandé à "l'opposition
de ne pas s'y opposer", soulignant : "A
supposer que la Constitution interdise à un
président de briguer plus de 2 mandats et que le
peuple dise 'moi je veux de ce président',
est-il raisonnable de respecter le texte écrit
sur un bout de papier et ne pas respecter la
volonté populaire ?". Copyright
www.fil-info-france.com/
Samedi 28 mars 2009 : Le
président français Nicolas Sarkozy a terminé
sa tournée de 2 jours en Afrique par le Niger,
vendredi 27 mars 2009. Il a été accueilli à
Niamey la capitale par le chef de l'Etat
nigérien, Mamadou Tandja. Nicolas
Sarkozy a déclaré au terme de sa visite de
quelques heures que la France et le Niger
"ont tourné la page des malentendus et se
sont engagés dans un partenariat
stratégique". 2 accords, l'un portant sur
une aide budgétaire de 5 millions d'euros et
l'autre de 11 millions d'euros pour
l'aménagement de la vallée de Badaguichiri dans
la région de Tahoua (nord-est du pays) ont été
signés. Cette visite fait suite à l'accord
signé début janvier 2009, après de longues
négociations, entre le gouvernement nigérien et
le groupe nucléaire français, Areva, qui va
investir 1,2 milliard d'euros au Niger pour
exploiter le deuxième gisement d'uranium au
monde, à Imouraren dans le nord du pays. Le
gouvernement de Niamey détiendra un tiers de
cette mine, qui devrait produire 5 000 tonnes
d'uranium par an à partir de 2012. Une
association touareg et une ONG allemande de
défense des droits de l'homme ont annoncé
qu'elles entamaient des poursuites contre le
groupe français et un de ses représentants
locaux pour provocation à la discrimination, à
la haine et à la violence raciales. Dans son
interview à des journaux locaux, le président
français a condamné sans appel les agissements
du Mouvement nigérien pour la justice
(MNJ), un groupe rebelle touareg actif
depuis début 2007 et qui réclame un partage
plus équitable des ressources du nord du pays.
Il a déclaré : "Le Niger est une
démocratie vivante dans laquelle il existe de
nombreux canaux pour faire valoir son point de
vue ou ses revendications sans avoir besoin de
poser des mines. Il n'est pas acceptable que des
individus ou des groupes prétendent défendre
par les armes des idées ou des revendications
qu'ils peuvent promouvoir par la voie des
urnes". Copyright
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Lundi 27 avril 2009 : L'ancien
premier ministre, Hama Amadou, a été mis en
liberté provisoire jeudi 23 avril 2009 par la
Haute cour de justice après une demande
formulée par ses avocats pour problème de
santé. Incarcéré depuis le 26 juin 2008 dans
une prison de Niamey la capitale, l'ancien
premier ministre Hama Amadou est jugé pour
détournement de fonds publics par une
juridiction dexception. Il est accusé
d'avoir versé des pots-de-vin à un fonds
spécial destiné à la presse nationale pour un
montant qui avoisinerait 100 millions de francs
CFA (152 000 euros). S'il est reconnu coupable,
il pourrait renoncer à se présenter à
l'élection présidentielle de 2009 dont il est
donné favori. Le président de la Haute cour a
indiqué qu'Hama Amadou ne devra "adopter
aucune attitude arrogante et de provocation"
et devra pouvoir "répondre à tout
moment" aux convocations de la Haute cour en
vue de "l'examen de la question au
fond", et l'informer de tous ses
déplacements. Copyright www.fil-info-france.com/
arti nigérien pour la démocratie
et le socialisme, principal parti d'opposition,
pour protester contre le projet de référendum
constitutionnel du président Mamadou Tandja, qui lui
permettrait de se maintenir au pouvoir. Selon la
constitution adoptée en 1999, le chef de l'Etat
ne peut pas briguer un troisième mandat
consécutif. Son deuxième et dernier mandat
expire le 22 décembre 2009. Copyright
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Jeudi 14 mai 2009 : Le
principal mouvement armé touareg au Niger, MNJ
(Mouvement des Nigériens pour la Justice) a
annoncé mardi 12 mai 2009 qu'il ne déposerait
pas les armes avant la tenue de négociations
avec les autorités, qui devront se
"dérouler sur un terrain neutre" sur
ses "revendications politiques". Le
président Mamadou Tandja avai rencontré
dimanche 3 mai 2009 à huis clos à Agadez dans
le nord du pays les représentants de 3
mouvements de la rébellion du Nord-Niger, en
provenance de Tripoli, en Libye, auxquels il a
promis une amnistie s'ils déposent les armes. Le
gouvernement libyen a oeuvré pour l'ouverture du
dialogue entre les Touaregs et le gouvernement
nigérien. C'est la première fois qu'il se
rendait dans la zone de conflit depuis plus de 2
ans. Copyright
www.fil-info-france.com/
Mercredi 27 mai 2009 : Le
président Mamadou Tandja (71 ans),
a dissout mardi 26 mai 2009 lAssemblée
nationale dans laquelle son parti, le Mouvement
national pour la société de développement
(MNSD), détient 88 sièges sur les 113 que
compte le parlement. Cette décision n'a pas
été justifiée par le président. L'Assemblée
était en train d'examiner une lettre reçue du
président Mamadou Tandja portant sur son projet
de référendum constitutionnel visant à
supprimer la limitation à 2 mandats fixés par
la Constitution, ce qui lui permettrait de rester
au pouvoir au-delà de son dernier mandat qui
expire à la fin de l'année 2009. Ce projet a
été rejeté lundi 25 mai par la Cour
Constitutionnelle pour inconstitutionnalité. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Samedi 13 juin 2009 : La Cour
constitutionnelle a annulé vendredi 12 juin 2009
le projet de référendum prévu le 4 août 2009
visant à amender la Constitution afin de
permettre au président Mamadou Tandja de se
présenter pour un troisième mandat. Selon la
Constitution en vigueur, le mandat du président
est limité à 2 mandats successifs. Ce projet de
référendum a été rejeté lundi 25 mai par la
Cour Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité. Le président Mamadou
Tandja avait alors dissout l'Assemblée nationale
et signé un décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Lundi 15 juin 2009 : A l'appel
du Front de défense de la démocratie (FDD), une
coalition de partis, de syndicats et d'ONG, des
dizaines de milliers de personnes sont descendues
dans les rues de Niamey la capitale dimanche 14
juin 2009 pour protester contre le projet de
référendum décrété par le président Mamadou
Tandja qui vise à supprimer la limitation de
mandat afin qu'il puisse se rester indéfiniment
au pouvoir. Blogger, webmaster : Conditions
d'utilisations ?
Samedi 20 juin 2009 : La
Commission électorale nationale indépendante
(CENI) a annoncé vendredi 19 juin 2009 que suite
à l'annulation vendredi 12 juin 2009 par la Cour
constitutionnelle du référendum prévu le 4
août 2009 visant à amender la Constitution afin
de permettre au président Mamadou Tandja de se
présenter pour un troisième mandat, des
élections législatives anticipées se
dérouleront le jeudi 20 août 2009. Ce projet de
référendum a été rejeté lundi 25 mai par la
Cour Constitutionnelle pour
inconstitutionnalité. Le président Mamadou
Tandja avait alors dissout l'Assemblée nationale
et signé un décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mardi 30 juin 2009 : Le
président Mamadou Tandja a
procédé lundi 29 juin 2009 à un remaniement de
son gouvernement et limogé les 7 juges de la
Cour constitutionnelle qui s'opposaient à son
projet de référendum constitutionnel prévu
pour le 4 août 2009. Mamadou Tandja s'est
octroyé les pleins pouvoirs vendredi 26 juin
2009, après le refus de la Cour
constitutionnelle d'avaliser son projet de
consultation sur une nouvelle Constitution devant
lui permettre de rester au pouvoir. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Vendredi 3 juillet 2009 : Le
président Mamadou Tandja a nommé
mercredi 1er juillet 2009 les nouveaux membres de
la Cour constitutionnelle qu'il avait dissoute
lundi 29 juin 2009, les 7 juges de la Cour
constitutionnelle s'opposant à son projet de
référendum constitutionnel prévu pour le 4
août 2009. Mamadou Tandja s'est octroyé les
pleins pouvoirs vendredi 26 juin 2009, après le
refus de la Cour constitutionnelle d'avaliser son
projet de consultation sur une nouvelle
Constitution devant lui permettre de rester au
pouvoir. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations ?
Lundi 6 juillet 2009 : Des
dizaines de milliers de personnes ont manifesté
dimanche 5 juillet 2009 à l'appel du FDD, Front
de défense de la démocratie, qui regroupe
plusieurs partis politiques, syndicats et ONG,
pour dénoncer la tenue du référendum prévu le
4 août 2009 visant à amender la Constitution
afin de permettre au président Mamadou Tandja de
se présenter pour un troisième mandat. La Cour
constitutionnelle avait annulé le décret
présidentiel le 12 juin 2009 après l'avoir
rejeté le lundi 25 mai 2009 pour
inconstitutionnalité. Le président Mamadou
Tandja avait alors dissout l'Assemblée nationale
et signé un décret le 5 juin 2009 autorisant la
tenue d'un référendum. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
Mercredi 5 août 2009 : Le
référendum convoqué mardi 4 août 2009 par le
président Mamadou Tandja, portant
sur une révision constitutionnelle qui supprime
la limitation de mandats du président, qui selon
la constitution adoptée en 1999, ne peut pas
briguer un troisième mandat consécutif,
permettant ainsi au président Mamadou Tandja de
se maintenir indéfiniment au pouvoir, a été
suivi de heurts dans l'ouest du pays entre les
opposants au président nigérien et les forces
de l'ordre qui ont procédé à de nombreuses
arrestations. Les résultats devraient être
connus d'ici à 5 jours. Blogger,
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Fil-info-France ?
Mercredi 19 août 2009 : Le
président Mamadou Tandja a signé
mardi 18 août 2009 un décret promulguant la
nouvelle constitution adoptée par référendum
en date du 4 août 2009 avec 92,5 % des voix, qui
supprime la limitation de mandats du président,
lui permettant ainsi de conserver indéfiniment
le pouvoir. L'opposition avait dénoncé
l'organisation de ce référendum estimant qu'il
s'agissait d'un "coup d'Etat" du
président. Cette promulgation a entraîné de
fait la démission du premier ministre Seïni
Oumarou et de son gouvernement. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 11 septembre 2009 : Le
principal opposant au président Mamadou Tandja, Mahamadou
Issoufou, a indiqué jeudi 10 septembre 2009,
alors qu'il s'apprêtait à prendre l'avion pour
Cotonou au Mali, que la police lui a retiré son
passeport et lui a signifié quil figurait
sur une liste de 124 anciens parlementaires
désormais interdits de quitter le pays. Blogger,
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Fil-info-France ?
Samedi 24 octobre 2009 : Selon des
résultats encore partiels publiés vendredi 23
octobre 2009, le Mouvement national pour la
société de développement (MNDS, au pouvoir), a
obtenu la majorité absolue lors des élections
législatives qui se sont déroulées mardi 20
octobre 2009, boycottées par l'opposition. Le
président Mamadou Tandja avait
signé mardi 18 août 2009 un décret promulguant
la nouvelle constitution adoptée par
référendum en date du 4 août 2009 avec 92,5 %
des voix, qui supprime la limitation de mandats
du président, lui permettant ainsi de conserver
indéfiniment le pouvoir. L'opposition avait
dénoncé l'organisation de ce référendum
estimant qu'il s'agissait d'un "coup
d'Etat" du président. Blogger,
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Fil-info-France
Mardi 15 décembre 2009 : Une
importante manifestation, regroupant plusieurs
dizaines de milliers de personnes, s'est
déroulée dimanche 13 décembre 2009 à Niamey
la capitale, à l'appel de la Coordination des
forces démocratiques pour la république (CFDR),
une coalition de partis politiques,
d'organisations de défense des droits de l'Homme
et de syndicats, qui dénonce le coup d'Etat du
président Mamadou Tandja, qui a
obtenu par un référendum controversé de rester
au pouvoir jusqu'en 2012. Les manifestants ont
exhorté le président nigérien à quitter le
pouvoir le 22 décembre 2009, date légale de la
fin de son mandat. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
18 février 2010 : Mamadou Tandja est
renversé par un coup d'Etat militaire mené par
le colonel Dijibrilla Hima Hamidou.
Mardi 23 février 2010 : Ali Sabo,
vice-président du Mouvement national pour la
société de développement (MNSD, ex-parti au
pouvoir), a indiqué lundi 22 février 2010 que
le président destitué à la suite d'un coup
d'Etat militaire le jeudi 18 février 2010 mené
par le colonel Djibrilla Hima Hamidou, est
détenu dans une villa officielle luxueuse près
du palais présidentiel. Les visites lui sont
interdites, sauf celles de son médecin. Le
colonel Djibrilla Hima Hamidou avait indiqué
dimanche 21 février 2010 que la Croix Rouge
avait été autorisées à lui rendre visite. Blogger,
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Fil-info-France ? ** Le Conseil
suprême pour la restauration de la démocratie
(CSRD), junte militaire qui a pris le pouvoir
jeudi 18 février 2010 à la suite d'un coup
d'Etat militaire qui a destitué le président Mamadou Tandja, a
annoncé lundi 22 février 2010 que le chef
d'escadron, le commandant Salou Djibo, qui a
mené le putsch, assurera les fonctions de
président et de chef du gouvernement pour une
"période de transition". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Lundi 1er mars 2010 : Le
président du Conseil suprême pour la
restauration de la démocratie (CSRD), junte
militaire au Niger, Salou Djibo, s'est exprimé
dimanche 28 février 2010 dans un discours à la
Nation. Il s'est engagé à ce qu'aucun membre du
CSRD et du gouvernement de transition ne soit
candidat à la prochaine élection
présidentielle qui sera organisée par la junte
au pouvoir et a demandé à la communauté
internationale de soutenir le processus de
restauration de la démocratie au Niger. Un coup
d'Etat militaire a été perpétré jeudi 18
février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima
Hamidou, qui a annoncé la création d'un Conseil
suprême pour la restauration de la démocratie
(CSRD), la suspension de la Constitution,
l'instauration du couvre-feu et la fermeture des
frontières terrestres et aériennes. Blogger,
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Fil-info-France ?
Samedi 13 mars 2010 : Une
ordonnance a été signée vendredi 12 mars 2010
par le chef de la junte militaire, le chef
d'escadron, Salou Djibo, qui rend inéligibles
les membres et le président du Conseil suprême
de restauration de la démocratie (CSRD, junte),
ainsi qu'au premier ministre et aux ministres du
gouvernement de transition. Les gendarmes, les
policiers, les agents des Forces nationales
d'intervention et de sécurité, des Eaux et
Forêts et les douaniers ne pourront pas se
présenter aux élections. Un coup d'Etat avait
été perpétré le 18 février 2010 destituant
le président élu, Mamadou Tandja. Salou
Djibo, qui a mené le putsch, avait été nommé
président et chef du gouvernement le 22 février
2010 pour "une période de transition".
Ce dernier avait désigné mardi 23 février 2010
Mahamadou Dan Dah au poste de Premier ministre.
Salou Djibo s'était engagé, dimanche 28
février 2010 dans un discours à la Nation, à
ce qu'aucun membre du CSRD et du gouvernement de
transition ne soit candidat à la prochaine
élection présidentielle qui sera organisée par
la junte au pouvoir et a demandé à la
communauté internationale de soutenir le
processus de restauration de la démocratie au
Niger. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 2 avril 2010 : Le
Mouvement national pour la société de
développement (MNSD), le parti du président
déchu, Mamadou Tandja, déposé
par un coup d'Etat militaire le 18 février 2010,
a annoncé jeudi 1er avril 2010 que 17
personnalités proches du président déchu, dont
plusieurs anciens ministres, arrêtées dimanche
28 mars 2010, ont été accusées
"datteinte à la sûreté de
lEtat" et placées en détention. Le
MNSD a demandé "la libération immédiate
et sans condition" des personnes
"illégalement détenues". Blogger,
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Fil-info-France
Jeudi 6 mai 2010 : La junte
militaire dirigée par le commandant Salou Djibo,
au pouvoir depuis le 18 février 2010 suite à un
coup d'Etat militaire qui a renversé le
président Mamadou Tandja, a
annoncé mercredi 5 mai 2010 qu'elle remettrait
le pouvoir aux civils d'ici le 18 février 2011. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
Lundi 2 août 2010 : Le
général Salou Djibo, qui exerce les fonctions
de président et de chef du gouvernement, à la
suite d'un coup d'Etat militaire qui a destitué
le 18 février 2010 le président Mamadou Tandja, a
indiqué, samedi 31 juillet 2010, lors d'une
rencontre à Niamey la capitale avec 200
représentants de partis politiques et de la
société civile du Niger, que Mamadou Tandja et
son ministre de l'Intérieur Albadé Abouba,
détenus depuis le coup d'Etat dans une villa
officielle luxueuse près du palais
présidentiel, ne seront pas
"relâchés". Le parti de l'ancien chef
de l'Etat, le Mouvement national pour la
société de développement (MNSD), a exigé
vendredi "la libération immédiate et sans
conditions" des 2 hommes. Blogger,
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Fil-info-France
Vendredi 1er octobre 2010 : La
présidente du groupe nucléaire français,
Areva, Anne Lauvergeon, a été reçue jeudi 30
septembre 2010 par le président du Conseil
suprême pour la restauration de démocratie
(CSRD) du Niger, le général de corps d'armée
Salou Djibo, chef de la junte militaire qui a
pris le pouvoir le 18 février 2010 par un coup
d'Etat militaire qui a destitué le président
Mamadou Tandja. Cette visite intervient à la
suite de l'enlèvement de 7 employés d'Areva et
de Vinci, dont 5 Français, jeudi 16 septembre
2010 à Arlit dans le nord du Niger, par le
mouvement Al- Qaïda au Maghreb islamique (AQMI).
La présidente d'Areva a indiqué que le groupe
ne quittera pas le Niger, troisième producteur
mondial d'uranium. Elle a affirmé que
"toutes les procédures de sécurité
allaient être revues" et "vérifier
s'il n'y a pas eu une complicité interne"
lors de ces enlèvements. Blogger,
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Fil-info-France ?
L'actu du
Niger, jour après jour : Fil info Niger
Lundi 1er novembre 2010 :
Référendum sur la nouvelle Constitution : 6,7
millions d'électeurs étaient appelés aux urnes
dimanche 31 octobre 2010 pour se prononcer par
référendum sur la nouvelle Constitution visant
à un retour à la démocratie après le coup
d'Etat militaire perpétré jeudi 18 février
2010 par le colonel Dijibrilla Hima Hamidou et
qui a destitué le président Mamadou Tandja. Lire l'édition du
Fil-info-France du 19 février 2010 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Jeudi 4 novembre 2010 : Victoire du
oui lors du référendum sur la nouvelle
Constitution : Selon des résultats
encore provisoires, le oui aurait l'emporté lors
du référendum qui s'est tenu dimanche 31
octobre 2010 portant sur l'adoption d'une
nouvelle Constitution. Le taux de participation
est de 53 %. visant à un retour à la
démocratie après le coup d'Etat militaire
perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel
Dijibrilla Hima Hamidou et qui a destitué le
président Mamadou Tandja. Lire l'édition du
Fil-info-France du 19 février 2010 Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Mardi 16 novembre 2010 : L'opposition au
président Mamadou Tanja demande à la junte
militaire d'inculper le président déchu de
"haute trahison" : La
Coordination des forces démocratiques pour la
République (CFDR), créée en 2009 par les
opposants au président Mamadou Tandja, ont
demandé lundi 15 novembre 2010 "aux
autorités de la transition d'inculper l'ancien
président de la République Mamadou Tandja pour
tous les actes graves dont il avait été
coupable" le déclarant également
"coupable de haute trahison pour avoir
violé son serment de 'respecter et de faire
respecter la Constitution'". Mamadou Tanja a
été destitué par un coup d'Etat militaire
perpétré jeudi 18 février 2010 par le colonel
Dijibrilla Hima Hamidou et détenu depuis cette
date "dans un local appartenant à
l'intendance de la présidence et est gardé dans
de très bonnes conditions". Lire les archives 2010 du Niger. Rappelons
que la Cour de justice de la CEDEAO, Communauté Economique des
Etats de l'Afrique de l'Ouest a ordonné
lundi 8 novembre 2010 à la junte militaire au
pouvoir à Niamey de remettre en liberté
l'ancien président Mamadou Tandja, arrêté
après un coup d'Etat militaire perpétré jeudi
18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima
Hamidou. La Cour a indiqué : "Il semblerait
que les droits de l'homme aient été bafoués
dans le cas de Tandja". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Samedi 27 novembre 2010 :
Promulgation de la nouvelle Constitution : Le
chef de la junte militaire au pouvoir, le
général Salou Djibo, a promulgué jeudi 25
novembre 2010 la nouvelle Constitution adoptée
le 31 octobre 2010 à la suite d'un référendum
qui a vu la victoire du oui avec plus de 80 % des
suffrages, et qui instaure une VIIe République.
Il s'agit du premier pas vers le retour à un
régime civil. Des élections présidentielle et
législatives sont fixées au 31 janvier 2011.
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Fil-info-France ?
Mardi 11 janvier 2011 : Le
ministre français de la Défense se rend au
Niger après la mort de 2 Français tués lors
d'une opération militaire française visant à
les libérer : Le ministre d'Etat
français, ministre de la Défense et des anciens
combattants, Alain Juppé, a
effectué lundi 10 janvier 2011 une visite à
Niamey la capitale, où il a rencontré "les
autorités nigériennes et la communauté
française" après la mort samedi 8 janvier
2011 des 2 otages français, Antoine de Léocour
et Vincent Delory, au cours d'une opération
militaire française destinée à les libérer.
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Fil-info-France ?
Lundi 17 janvier 2011 :
L'ancien président Mamadou Tandja
transféré dans une prison après son
inculpation : L'ancien président Mamadou Tandja, destitué
par un coup d'Etat militaire perpétré jeudi 18
février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima
Hamidou et détenu depuis cette date "dans
un local appartenant à l'intendance de la
présidence et est gardé dans de très bonnes
conditions", a été transféré dimanche 16
janvier 2011 à la prison civile de Kollo, près
de Niamey la capitale après avoir été entendu
par un juge, inculpé et placé sous mandat de
dépôt. Les chefs d'accusation retenus contre
lui n'ont pas été précisés. Cette arrestation
intervient à moins de 2 semaines de l'élection
présidentielle, fixée le lundi 31 janvier 2011,
qui va mettre fin au régime militaire en
vigueur. Lire les archives 2010 du Niger. Rappelons
que la Cour de justice de la CEDEAO, Communauté Economique des
Etats de l'Afrique de l'Ouest a ordonné
lundi 8 novembre 2010 à la junte militaire au
pouvoir à Niamey de remettre en liberté
l'ancien président Mamadou Tandja, arrêté
après un coup d'Etat militaire perpétré jeudi
18 février 2010 par le colonel Dijibrilla Hima
Hamidou. La Cour a indiqué : "Il semblerait
que les droits de l'homme aient été bafoués
dans le cas de Tandja". Blogger,
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Fil-info-France ?
Lundi 31 janvier 2011 : Premier tour de
l'élection présidentielle : Près de 7
millions d'électeurs sont appelés aux urnes
lundi 31 janvier 2011 pour le premier tour de
l'élection présidentielle et pour élire leurs
représentants à l'Assemblée nationale. 10
candidats sont en lice pour l'élection
présidentielle visant à rétablir un régime
civil après le coup d'Etat militaire du 18
février 2010 contre le président Mamadou Tandja. Le
président, au pouvoir depuis 10 ans, avait
dissous en mai 2009 le parlement afin de faire
passer son projet de référendum constitutionnel
visant à supprimer la limitation à 2 mandats
fixés par la Constitution, lui permettant ainsi
d'obtenir une prolongation de 3 ans de son mandat
jusqu'en 2012. Le 25 mai 2009, la Cour
constitutionnelle avait émis un avis négatif en
déclarant le projet contraire à la
Constitution. Le lendemain, le chef de l'Etat
ordonnait la dissolution du Parlement,
institution seule à même de le poursuivre pour
haute trahison. Le 26 juin 2009, Mamadou Tandja
s'octroyait les pleins pouvoirs. L'opposition
avait alors organisé des manifestations et des
grèves dénonçant "un coup d'Etat
constitutionnel". Blogger,
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Fil-info-France
Vendredi 4 février 2011 : Mahamadou Issoufou et
Seïni Oumarou s'opposeront lors du second tour
de l'élection présidentielle le 20 mars 2011 :
La Commission électorale a annoncé jeudi 3
février 2011 qu'après le dépouillement de
près de 98 % des bulletins, le candidat du Parti
nigérien pour la démocratie et le socialisme,
Mahamadou Issoufou (59 ans), qui se présentait
pour la cinquième fois, opposant au président Mamadou Tandja, et
l'ancien premier ministre, Seïni Oumarou,
candidat du Mouvement national pour la société
de développement (MNSD), sont arrivés en tête
du premier tour de l'élection présidentielle
qui s'est tenue le 31 janvier 2011. Le second
tour est fixé au dimanche 20 mars 2011. Blogger,
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Fil-info-France
Samedi 26 février 2011 : 3
des 7 otages
occidentaux enlevés en septembre 2010, libérés
: 3 des 7 otages occidentaux, 1
Togolais, 1 Malgache et 5 Français,
collaborateurs des groupes français Areva et
Satom, enlevés jeudi 16 septembre 2010 à Arlit
au Niger, sur un site d'extraction d'uranium et
transférés dans le désert malien par leurs
ravisseurs, le mouvement Al-Qaïda au Maghreb
islamique (AQMI) qui a revendiqué mardi 21
septembre 2010 l'enlèvement, ont été libérés
jeudi 24 février 2011. Il s'agit de la
Française Françoise Larribe, le Malgache
Jean-Claude Rakotorilalao et le Togolais, Alex
Awando, qui "sont tous en bonne
santé", selon un communiqué de la
présidence française. Une rançon aurait été
versée. Blogger,
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Fil-info-France
Samedi 12 mars 2011 : Second
tour de l'élection présidentielle : 6,7
millions d'électeurs sont appelés aux urnes
samedi 12 mars 2011 pour le second tour de
l'élection présidentielle qui opposera le
candidat du Parti nigérien pour la démocratie
et le socialisme, Mahamadou Issoufou (59 ans),
qui se présentait pour la cinquième fois,
opposant au président Mamadou Tandja, et
l'ancien premier ministre, Seïni Oumarou,
candidat du Mouvement national pour la société
de développement (MNSD). Lors du premier tour
qui s'était déroulé le 31 janvier 2011,
Mahamadou Issoufou a obtenu 36,06 % des suffrages
contre 23,24 % à son rival, Seïni Oumarou.
Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
Samedi 9 avril 2011 : Le président
Mahamadou Issoufou prête serment : Le
président Mahamadou Issoufou, démocratiquement
élu à l'issue du second tour de l'élection
présidentielle du 12 mars 2011, a prêté
serment jeudi 7 avril 2011 pour un mandat de 5
ans lors d'une cérémonie qui s'est déroulée
à Niamey la capitale en présence de nombreux
chefs d'Etat africains, dont le président du
Sénégal, Abdoulaye Wade, de la
Guinée, Alpha Condé, du Congo, Denis Sassou Nguesso, du Gabon,
Omar Bongo Ondimba, et du
Togo, Faure Gnassingbé. Le
Conseil suprême pour la restauration de la
démocratie (CSRD), junte militaire qui avait
pris le pouvoir jeudi 18 février 2010 à la
suite d'un coup d'Etat militaire qui a destitué
le président Mamadou Tandja, avait
promis de "rétablir la démocratie par des
élections transparentes". Blogger,
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Fil-info-France
Jeudi 21 avril 2011 :
L'ancien premier ministre Hama Amadou élu
président du parlement : L'ancien
premier ministre, Hama Amadou, a été élu mardi
19 avril 2011 lors d'une session extraordinaire
du parlement, président de l'Assemblée
nationale avec 103 voix des 104 députés
présents. Blogger,
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Fil-info-France
Vendredi 22 avril 2011 : Le
premier ministre prête serment : Le
premier ministre Brigi Rafini, a prêté serment
sur le Coran jeudi 21 avril 2011 à Niamey,
devant l'Assemblée nationale, conformément à
la Constitution nigérienne qui stipule dans son
article 74 que le chef du gouvernement a pour
obligation avant d'entrer en fonction de prêter
serment sur le livre saint de sa confession. Il
s'est engagé à respecter la Constitution,
défendre la forme républicaine de l'Etat,
travailler pour le bonheur du peuple nigérien,
et défendre les droits humains. Blogger,
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Fil-info-France
- Désertique.
Chaud et sec avec des chutes de pluies quasi
inexistantes.
- Code ISO
- NE
- Devise nationale
- Fraternité,
travail, progrès.
- Drapeau
- Economie
- Bovins,
ovins. Coton. Millet, sorgho, arachides. Uranium.
- Fête nationale
- 3
août (1958, indépendance).
- Langue officielle
- Français.
- Liens
- Biographie du président Mamadou
Tandja
La présidence du Niger
Biographie officielle du président
Mamadou Tandja
Mouvement national pour la société
de développement (MNSD-Nassara)
L'Ambassade de France au Niger
- Lycée La Fontaine à Nyamey
- Les Pages
Jaunes du Niger
- Le
Niger par Denis qui y a vécu pendant 16 mois * Histoire,
géo, économie, apprendre la langue Zarma, les
enfants du Niger, etc.
- Le Centre Biblique de Nyamey
- Le Niger contre la pauvreté
- Pratiques
esclavagistes au Niger (en l'an
2000)
- Solidarité
Niger
- Tourisme
au Niger
- Médias
- Réseau des Journalistes pour les
Droits de l'Homme
- Le Républicain : Hebdomadaire
nigérien indépendant
- Alternative :
bimensuel de réflexion et d'opinion
- Stadium :
bimensuel du sport et de la culture
- Liste des médias du Niger
- Offre
n° 3
Monnaie
- Franc
CFA.
- Partis politiques
- RDP :
Rassemblement Démocratique du Peuple
- CDS-Rahama
: Convention Démocratique et Sociale-Rahama
- MNSD
: Mouvement National pour une Société en
Développement
- Population
- Nigériens.
- 10,3
millions d'habitants.
- Hausa
(56%), Djerma (22%), Fula (8.5%), Touareg (8%),
Beri Beri (Kanouri) (4,3%), Arabe, Toubou et
Gourmanche (1,2%). 1200 expatriés français.
- Principales
villes
- Nyamey,
Tessaoua, Djirataoua, Tahoua, Agadez, Loga.
- Offre
n° 4
Religion
- Musulmans
(80 %), Chrétiens et croyances indigènes (20
%).
- Situation
géographique
- Etat
enclavé de l'ouest de l'Afrique. Frontières
avec l'Algérie, la Libye, le Tchad, le Nigéria,
le Bénin, le Burkina Faso et le Mali.
- Statut
- Le
processus de démocratisation commencé en 1992 a
été interrompu par deux coups d'état, l'un en
1996 et l'autre en 1999. Président et chef du
gouvernement : Mahamadou Issoufou (depuis le 7
avril 2011). Ancien président : Mamadou Tandja (22
décembre 1999-18 février 2010). Premier
ministre : Brigi Rafini (depuis le 7 avril 2011).
- Superficie
- 1 266
700 km2
- Webcam
- Aucune
webcam n'a pu encore être trouvée.
- (Voir
également l'espace webcam)
A LIRE
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Gilliard (Auteur), Jean-Bernard Racine (Préface)
Niger, la magie d'un fleuve d'Eric Sellato
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naturelle de
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(Auteur), Jean-Hervé Jézéquel (Auteur)
Niger, le plus beau désert du monde
: Sur la route des nomades - DVD -
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