François
Rebsamen maire de Dijon
Les
Dijonnais, habitants de Dijon, ville de Bourgogne dont Francois Rebsamen est le maire,
utilisant Google.fr, principal moteur de recherche, ne
peuvent plus lire le supplément de Fil-info-France du
lundi 26 juin 2006 "FRANCOIS REBSAMEN : ENNEMI D'INTERNET !", censuré
dans les résultats, "En réponse à une demande
légale" pour l'heure "non fondée sur un
jugement mais une simple appréciation personnelle".
"Une censure faite au détriment d'un long travail
d'investigation sur la face cachée d'un apparatchik,
François Rebsamen" souligne la rédaction
française de "Fil-info-France".
"Un exemple de censure insidieuse sans procès
équitable sans jugement et sans trace écrite... Au nom
du fric !" dénonce à Dijon, un des partisans,
déçu à gauche, par François Rebsamen. Le maire qui se
"présente" localement comme un
"défenseur de la liberté d'expression". Il y
a du "Mister Hyde et du Docteur Jekyll en lui"
(François Rebsamen) remarque le quotidien économique
"Les Echos". Surnommé à Dijon "François
la dépense", François Rebsamen a désormais sa
fiche de censeur sur le site américain chillingeffects.org qui défend la
liberté d'expression dans le monde. Et, il est permis de
comparer cette censure inquiétante et sans précédent
du maire de Dijon sur les résultats des moteurs de
recherches français et étrangers. François Rebsamen
menace désormais tout blog, journal, webzines ou images
défavorables à sa personne : "Je vous mets donc en
demeure de supprimer sans délai toutes les pages me
concernant qui ne relèvent pas de la quête de vérité
ni de l'expression libre dont vous prétendez être le
héraut mais purement et simplement de la diffamation.
Bien entendu, à défaut de suppression immédiate,
j'engagerai toutes les poursuites nécessaires contre l'
association éditrice, ses responsables
ainsi que contre l'auteur des pages incriminées"
signé "François Rebsamen", Maire de Dijon, le
7 juin 2006. François Rebsamen déjà accusé par la
droite et l'extrême gauche de vouloir transformer la
paisible cité des Ducs de Bourgogne en "Las Vegas City" doit
"jumeler Dijon avec Téhéran" là où
censurer est monnaie courante" propose une employée
de la mairie s'exprimant sous couvert d'anonymat.
"Sous Poujade, Dijon était la ville aux cents
clochers, aujourd'hui c'est la ville aux cents
grues" tant le béton y coule à flot" s'écrit
un passant, heureux qu'une édition paraisse enfin
"contre le maire tout puissant". Un maire qui
vient d'exprimer, dans les colonnes du quotidien "Le
Monde", le voeu de devenir ministre de l'Intérieur,
aujourd'hui connu pour son intolérance au sein du Parti
socialiste, et récemment accusé de lancer des "fatwas". "L'
Ayatollah François" menace et menace encore
"toujours aux frais du contribuable" rétorque
une dame âgée en colère "perdue dans le nouveau
trajet de bus du maire, des travaux interminables, des
déviations, des bouchons et de toute la pollution
engendrée". A Dijon, interroger un administré
n'est vraiment plus sans risque. "Peut-être",
avance un professeur d'Université qui ironise : "La censure, fait du prince
Rebsamen, c'est dans l'ordre des choses. Le pouvoir
corrompt !". François Rebsamen est un "grand
maire" un homme de "conviction", un
"socialiste au service de l'intérêt
général" insiste un commissaire de police,
franc-maçon au Grand Orient de France, son obédience.
NDLR. Observez les résultats censurés en France dans le
moteur
de recherche Google par François Rebsamen, suivis en
bas de page de la mention : "En réponse à une
demande légale adressée à Google, nous avons retiré X
résultat(s) de cette page" ; Francois Rebsamen : Ennemi de la Presse ; CENSURE INTERNET A DIJON : BLOGS et liberté
d'expression, liberté d'opinion
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