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SAHARA OCCIDENTAL
-
- Nom officiel
- Aucun.
Anciennement : Sahara espagnol.
- Administration
- Officiellement
le Sahara occidental est sous contrôle du Maroc
dans l'attente de l'organisation d'un
référendum d'autodétermination sous l'égide
de l'ONU.
- Capitale
- Aucune.
- Chronologie
politique
- Copyright
: Fil-info-France.com
Vendredi 4 janvier 2002 : A
l'occasion du Nouvel An et de la fin du Ramadan,
et à la demande du gouvernement espagnol, le
Front Polisario a annoncé la libération de 115
prisonniers marocains dont certains sont détenus
depuis plus de 10 ans. 900 prisonniers de guerre
marocains ont déjà été libérés par les
Sahraouis.
Jeudi 21 février 2002 : Le
secrétaire général de l'ONU a présenté un
rapport au conseil de sécurité au sujet du
Sahara Occidental qu'il a qualifié de
"pessimiste mais réaliste" par lequel
il prend acte du blocage des négociations entre
le Maroc et le Front Polisario. Il propose
plusieurs options au Conseil de Sécurité dont
le partage du territoire en 2 entre le Maroc et
le Front Polisario, mais cette proposition a
toujours été rejetée par le Maroc.
Vendredi 7 juin 2002 : Après une
nouvelle visite auprès des prisonniers le 28 mai
dernier, le CICR a appelé le Front Polisarioà
libérer quelque 1300 soldats marocains,
emprisonnés depuis près de 25 ans dans des
conditions précaires dans les camps de Tindiouf.
Le CICR s'inquiète de leur état de santé
étant donné leur âge et leurs conditions de
détention difficiles. Le mouvement
indépendantiste sahraoui annonce qu'il ne
libérera ces prisonniers, les plus vieux
détenus de guerre du monde, que si le Maroc
libère 226 combattants sahraouis.
Mercredi 19 juin 2002 : Le Front
Polisario a libéré une centaine de prisonniers
de guerre marocains suite à une demande du
gouvernement allemand dont le secrétaire d'état
aux affaires étrangères est en visite à Alger.
Le Front Polisario s'est empressé d'ajouter
qu'il s'agissait d'une "mesure strictement
humanitaire".
Lundi 8 juillet 2002 : Le Front
Polisario qui lutte depuis plus de 20 ans pour
l'indépendance du Sahara occidental contrôlé
par le Maroc, a libéré dimanche 101 prisonniers
de guerre marocains détenus depuis 20 ans à
Tindouf. Les prisonniers ont été remis au
Comité International de la Croix Rouge.
Samedi 1er février 2003 : Le Conseil
de Sécurité de l'ONU a renouvelé pour 2 mois
le mandat de la MINURSO afin de laisser du temps
au gouvernement marocain et au Front Polisario
d'examiner la proposition de l'envoyé personnel
du secrétaire général de l'ONU,
l'ex-secrétaire d'état américain James Becker,
qui prévoit une autonomie partielle du Sahara
occidental au sein du royaume marocain pendant 4
ans puis la tenue d'un référendum
d'autodétermination, ce que refuse le Front
Polisario. La crise entre le Maroc et le Front
Polisario, soutenu par l'Algérie, dure depuis
près de 27 ans.
Mercredi 12 février 2003 : Le Front
Polisario a annoncé la libération mardi de 100
prisonniers marocains. Selon le CICR, le Front
Polisario détient encore 1161 Marocains, les
plus vieux prisonniers du monde, détenus pour la
plupart depuis plus de 20 ans, et dénonce les
conditions de détention de ces hommes "détenus
en violation de toutes les conventions
internationales et notamment celle de Genève sur
les prisonniers de guerre."
Mercredi 21 mai 2003 : Le Front
Polisario célèbre mardi et mercredi à Tindouf
le 30ème anniversaire de sa création et en
soutien à la population sahraouie. Des
invitations ont été lancées à plus de 500
personnalités politiques, membres d'ONG et de la
société civile européenne pour participer aux
festivités.
Jeudi 22 mai 2003 : Le Front
Polisario menace de reprendre les armes si un
référendum d'autodétermination n'est pas
organisé au plus vite.
Samedi 31 mai 2003 : Alors que le secrétaire
général de l'ONU, Kofi Annan, appelait le Front
Polisario à libérer tous les prisonniers de
guerre marocains détenus à Tindouf, certains
depuis plus de 20 ans, et lever les restrictions
de mouvement imposées à la Mission de l'ONU
pour le Référendum au Sahara Occidental
(MINURSO), le Conseil de sécurité a prolongé
pour deux mois le mandat de cette force de
maintien de la paix.
Jeudi 3 juillet 2003 : Le
secrétaire général de l'ONU n'a pu que
constater l'impasse dans laquelle se trouvait le
plan de paix proposé par l'ancien diplomate
américain James Baker, émissaire spécial de
Kofi Annan, aucune des deux parties ne souhaitant
adopter ce plan qui prévoit la création d'une autorité
transitoire décentralisée avant l'organisation
d'un référendum d'autodétermination dans un
délai de cinq ans. Le Front Polisario souhaite
la tenue immédiate du référendum. Le Maroc et
le Front Polisario se disputent depuis 1975 le
Sahara occidental. Le Maroc considère ce désert
comme partie intégrante de son territoire et
refuse tout transfert de pouvoir. Un
cessez-le-feu a été conclu entre les deux
parties en 1991. La MINURSO (Mission des
Nations-Unies pour un référendum au Sahara
Occidental) est présente sur place depuis 1991
pour faire respecter ce cessez-le-feu. Le
secrétaire général de l'ONU a fait remarquer
que "la présence de force de maintien de la
paix de l'ONU au Sahara occidental depuis 1991 a
coûté à la communauté internationale 500
millions de dollars".
Vendredi 1er août 2003 : Le conseil
de Sécurité de l'ONU a reconduit à
l'unanimité jusqu'au 31 octobre la mission des
Nations-Unis pour le référendum au Sahara
Occidental (MINURSO) renouvelant son soutien au
plan de paix proposé par l'envoyé spécial de
Kofi Annan, James Baker. Voir le site de l'ARSO,
Association de soutien à un référendum libre
et régulier au Sahara Occidental.
Samedi 16 août 2003 : Le Front
Polisario va procéder à la libération de 243
prisonniers de guerre marocains pour la plupart
détenus depuis près de 20 ans à Tindouf. 100
prisonniers ont été libérés en février
dernier, 458 en deux ans. Il reste encore 914
prisonniers marocains dans les prisons de
Tindouf.
Mardi 14 octobre 2003 : Le Front
Polisario a ouvert dimanche pour la première
fois depuis 1973 à Tifariti dans les territoires
libérés du Sahara occidental son 11ème
congrès ordinaire avec pour objectif "de
marquer une étape cruciale dans le resserrement
des rangs pour mettre fin au colonialisme
marocain et permettre au peuple sahraoui
d'exercer son droit à l'autodétermination et à
l'indépendance" selon le porte-parole du
mouvement de lutte pour l'indépendance du Sahara
Occidental. Le Congrès devra adopter les statuts
de l'organisation, son réglement intérieur, la
future constitution de la République Sahraouie
et la nouvelle politique du mouvement.
Vendredi 31 octobre 2003 : Le Conseil
de Sécurité de l'ONU a prorogé jusqu'au 31
janvier 2004 le mandat de la MINURSO (Mission des
Nations Unies pour l'organisation d'un
référendu au Sahara Occidental).
Samedi 1er novembre 2003 : Le Front
Polisario a nommé un nouveau premier ministre à
la tête de la République arabe sahraouie
démocratique (RASD), autoproclamée en 1976 par
le Front Polisario, en la personne de Abdelkader
Taleb Oumar, nommé mercredi par décret du
président Mohamed Abdel Aziz.
Samedi 8 novembre 2003 : Le Front
Polisario a annoncé vendredi la libération de
300 prisonniers marocains. Leur rapatriement sera
assuré par le Comité International de la Croix
Rouge (CICR).
Samedi 14 février 2004 : Le
ministère qatariote des Affaires étrangères a
annoncé vendredi dans un communiqué que le
Front Polisario allait libérer 100 prisonniers
de guerre marocains pour "raisons
humanitaires" et représentait "la
bonne foi et de la bonne volonté sincère de
n'épargner aucun effort pour contribuer à
l'avènement d'une paix juste et définitive au
Sahara Occidental sur la base du strict respect
des droits du peuple sahraoui et
l'autodétermination" suite à une
médiation du Qatar.
Vendredi 30 avril 2004 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a adopté jeudi à
l'unanimité la résolution 1541 qui proroge de
six mois le mandat de la Mission des Nations
Unies au Sahara (MINURSO). Le Maroc a une
nouvelle fois réitéré son opposition à une
indépendance du Sahara occidental et a rejeté
tout référendum d'autodétermination, même à
l'issue d'une période transitoire de 5 ans,
comme suggéré par l'ancien secrétaire d'Etat
américain en 2003, James Baker, représentant
spécial du secrétaire général de l'ONU, Kofi
Annan. Le Maroc qui considère l'annexion du
Sahara-Occidental en 1975 comme "le
parachèvement de son intégrité
territoriale", propose d'accorder "une
large autonomie" au territoire contesté
dans le cadre d'un projet de régionalisation,
qui devrait faire prochainement l'objet d'une
révision constitutionnelle.
Lundi 14 juin 2004 : Un
porte-parole des Nations-Unis a annoncé vendredi
que l'Envoyé personnel du Secrétaire général
des Nations Unies pour le Sahara Occidental,
James A. Baker III, ancien secrétaire d'Etat
américain, a démissionné de son poste. L'ONU
avait proposé un plan de paix pour
l'autodétermination du peuple du Sahara
occidental, qui, selon le Conseil de sécurité,
constituait une "solution politique optimale
reposant sur un accord entre les deux
parties", le Maroc et le Front Polisario, et
donnait à James Baker la responsabilité
d'organiser un référendum. Au mois d'avril, le
Maroc avait rejeté ce plan et proposé
d'accorder au Sahara occidental une autonomie
limitée.
Mardi 22 juin 2004 : Le Front Polisario a
annoncé la libération de 100 prisonniers
marocains dont des officiers suite à une demande
de l'Irlande qui assure la présidence de l'Union
européenne. 400 prisonniers marocains sont
toujours détenus dans les camps de Tindouf
certains depuis plus de 25 ans.
Mardi 7 septembre 2004 : Alvaro de Soto, l'envoyé
personnel du Secrétaire général de l'ONU Kofi
Annan, est arrivé lundi dans la région où il
rencontrera le roi du Maroc Mohammed VI et de
hauts responsables les 6 et 7 septembre 2004. Il
sera reçu par les chefs du Front Polisario le 12
septembre. Alvaro de Soto remplace à ce poste
l'émissaire américain, James Addison Baker III,
ancien secrétaire d'Etat américain, qui avait
démissionné le 11 juin 2004. L'ONU avait
proposé un plan de paix pour
l'autodétermination du peuple du Sahara
occidental, qui, selon le Conseil de sécurité,
constituait une "solution politique optimale
reposant sur un accord entre les 2 parties",
le Maroc et le Front Polisario, et donnait à
James Baker la responsabilité d'organiser un
référendum. Au mois d'avril, le Maroc avait
rejeté ce plan et proposé d'accorder au Sahara
occidental une autonomie limitée.
Samedi 23 octobre 2004 : La 4ème
Commission de l'Assemblée Générale des Nations
Unies a voté vendredi une résolution sur le
Sahara occidental qui réaffirme "le droit
inaliénable à l'autodétermination du peuple
Sahraoui, et son droit à l'indépendance,
validant ainsi une fois de plus le plan de paix
entériné par la communauté
internationale".
Samedi 30 octobre 2004 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a confirmé jeudi son
engagement en faveur d'une "solution
politique" au Sahara-Occidental et a voté
à l'unanimité la prolongation pour 6 mois du
mandat de la Mission des Nations Unies pour
l'organisation d'un référendum au
Sahara-Occidental (MINURSO) jusqu'au 30 avril
2005. Il a maintenu les effectifs des 225
observateurs militaires de la MINURSO qui
surveillent le cessez-le-feu conclu en 1991, sous
l'égide de l'ONU, entre le Maroc et les
indépendantistes du Front Polisario. Le
Polisario et l'Algérie militent pour
l'organisation d'un référendum
d'autodétermination, une solution désormais
jugée "caduque et inapplicable" par le
Maroc qui a annexé l'ex-Sahara espagnol en 1975.
Vendredi 29 avril 2005 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a adopté jeudi à
l'unanimité la résolution 1598 qui proroge pour
une durée de 6 mois, jusqu'au 31 octobre 2005,
le mandat de la Mission des Nations Unies pour
l'organisation d'un référendum au Sahara
occidental (MINURSO). La résolution demande
"instamment au Front Polisario de libérer
sans délai tous les prisonniers de guerre
restants, conformément au droit international
humanitaire", et appelle "une fois de
plus le Maroc et le Front Polisario à continuer
de coopérer avec le Comité international de la
Croix-Rouge CICR en vue de régler le sort des
personnes portées disparues depuis le début du
conflit".
Jeudi 1er septembre 2005 : Le chef du
Polisario, Mohamed Abdelaziz, a adressé une
lettre au Premier ministre britannique Tony
Blair, président en exercice de l'Union
Européenne, lui demandant l'intervention de
l'Union européenne pour que soit
"parachevé" le "processus de
décolonisation au Sahara Occidental" qui
doit "permettre au peuple sahraoui d'exercer
son droit inaliénable, conformément aux
principes et à la Charte de l'ONU, par
l'application du plan onusien pour
l'autodétermination du peuple sahraoui à
travers un référendum libre, régulier et
transparent". Le Front Polisario avait fait
un geste en direction du Maroc en libérant, le
18 août 2005, 404 prisonniers marocains, les
derniers qu'il détenait dans le Sud-Ouest
algérien à Tindouf, à la suite d'une
médiation des Etats-Unis et demandait la
libération de prisonniers sahraouis. Selon
Mohamed Abdelaziz, "37 prisonniers
politiques sahraouis en grève de la faim, ainsi
que 151 combattants, en plus des 500 sahraouis
disparus", des civils arrêtés par la
police marocaine sont détenus par les autorités
marocaines.
Jeudi 29 septembre 2005 : Dans une
lettre adressée au Conseil de Sécurité de
l'ONU, le chef du Front Polisario et Président
de la République arabe sahraouie et
démocratique (RASD), Mohamed Abdelaziz, a
demandé "des sanctions" contre le
Maroc et exige de Rabat quil reconnaisse le
droit du "peuple sahraoui d'exercer son
droit inaliénable à l'autodétermination".
Le Front Polisario demande lengagement de
poursuites judiciaires contre les responsables
marocains quil accuse de "crimes
contre lhumanité en relation avec le
conflit du Sahara occidental".
Mercredi 12 octobre 2005 : L'ambassadeur
Peter van Walsum, Envoyé personnel du
Secrétaire général pour le Sahara occidental,
entame mercredi 12 octobre 2005 une visite de la
région. Il visitera Rabat, Tindouf, Alger et
Nouakchott "pour des consultations avec le
Gouvernement du Maroc, avec le Front Polisario,
et des réunions avec les gouvernements des 2
pays voisins, l'Algérie et la Mauritanie".
Il évaluera la situation et recherchera avec les
parties, les pays voisins et d'autres
protagonistes, "le meilleur moyen de sortir
de l'impasse politique actuelle". Le Maroc
et le Front Polisario, soutenu par l'Algérie, se
disputent depuis 1975 la souveraineté du Sahara
occidental, ancienne colonie espagnole.
Lundi 31 octobre 2005 : Le Conseil
de Sécurité de l'ONU a adopté vendredi la
résolution 1634 qui proroge jusqu'au 30 avril
2006 le mandat de la Mission des Nations Unies
pour l'organisation d'un référendum au Sahara
occidental (MINURSO). Le Conseil de sécurité a
appelé "au plein respect des accords
militaires de cessez-le-feu conclus avec la
MINURSO. Le Conseil de sécurité était saisi du
dernier rapport du Secrétaire général de l'ONU
Kofi Annan sur la situation au Sahara occidental
en date du 13 octobre 2005 en application de la
résolution 1598 (2005) du Conseil de sécurité
en date du 28 avril 2005. Ce dernier a rappelé
que "les parties ne sont toujours pas
parvenues à sortir de l'impasse dans laquelle
elles se trouvent en ce qui concerne la recherche
d'une solution mutuellement acceptable, qui
permettrait au peuple du Sahara occidental
d'exercer son droit à l'autodétermination"
ajoutant "l'absence de progrès a de plus
été aggravée par le climat politique
généralement tendu dans la région". Kofi
Annan se disait également "préoccupé par
les allégations faisant état de violations des
droits de l'homme par les parties, aussi bien
dans le territoire que dans les camps de
réfugiés de la région de Tindouf".
Rappelons que le Sahara occidental est une
ancienne colonie espagnole annexée par le Maroc
en 1975. Le Front Polisario, mouvement armé
soutenu par l'Algérie, en réclame
l'indépendance.
Lundi 12 décembre 2005 : Le
président de la RASD, Mohamed Abdelaziz, a
appelé dimanche le secrétaire général des
Nations unies, Kofi Annan, à "protéger la
population civile sahraouie" dans les
territoires occupés du Sahara-Occidental après
"l'assassinat , sans raison aucune, de
Lekhlifa Abba Cheikh Ould Embarek Oul Ely (NDLR.
Le 2 décembre dernier à Tan Tan, sud du Maroc)
(qui) traduit les inquiétudes et les angoisses
dont nous avons fait part dans de précédentes
correspondances, pour garantir et protéger les
populations civiles sahraouies en réel
danger". Le président sahraoui également
demandé au secrétaire général de l'ONU
d'intervenir auprès du gouvernement marocain
pour qu'il "respecte les droits de l'homme
et la légalité internationale au
Sahara-Occidental".
Mercredi 1er mars 2006 : Le Front
Polisario a célébré lundi 27 février 2006 à
Tifariti, localité inhabitée située à quelque
80 kilomètres de Smara, est interdite au Front
Polisario par les accords d'Houston qui en ont
fait une zone démilitarisée mais toujours sous
administration marocaine, une partie des
festivités marquant le 30e anniversaire de la
création de la RASD (République arabe sahraouie
démocratique auto-proclamée en 1976).
Samedi 29 avril 2006 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a prorogé vendredi 28
avril 2006 par la résolution 1675 (2006) le
mandat de la Mission des Nations Unies pour
l'organisation d'un référendum au Sahara
occidental (MINURSO), appelant le Maroc et le
Front Polisario à ouvrir des négociations pour
une solution politique.
Lundi 15 mai 2006 : Une
délégation du Haut Commissariat de l'ONU aux
Droits de l'Homme doit effectuer du 15 au 21 mai
une visite à El Ayoun, chef lieu du Sahara
occidental, ainsi qu'à Tindouf où elle doit
rencontrer des dirigeants du Front Polisario.
Jeudi 19 octobre 2006 : Dans un
rapport publié mercredi 18 octobre 2006, le
Secrétaire général de l'ONU, Kofi Annan, a
recommandé au Conseil de sécurité de l'ONU
d'inviter le Maroc et le Front Polisario à
engager des "négociations directes, sans
conditions préalables, afin de parvenir à une
solution politique juste, durable et mutuellement
acceptable qui permette d'assurer
l'autodétermination du peuple du Sahara
occidental".
Mercredi 1er novembre 2006 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a prorogé mardi 31
octobre 2006, par sa résolution 1720 adoptée à
l'unanimité de ses 15 membres pour une durée de
6 mois, soit jusqu'au 30 avril 2007, le mandat de
la Mission des Nations Unies pour l'organisation
d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO),
qui existe depuis 1991. Il a de nouveau demandé
aux parties et aux Etats de la région de
continuer à coopérer pleinement avec l'ONU
"pour mettre fin à l'impasse actuelle et
aller de l'avant vers une solution
politique". Une cinquantaine d'Etats
reconnaissent le gouvernement en exil de la
République arabe sahraouie démocratique (RASD),
proclamée en 1976 par le Front Polisario, tandis
qu'aucun pays n'accepte les revendications du
Maroc sur cette terre.
Mardi 13 mars 2007 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a voté mardi 13 mars 2007
à l'unanimité la prolongation de la mission de
l'ONU au Sahara Occidental, MINURSO, créée en
1991 pour faire respecter le cessez-le-feu entre
le Maroc et le Front Polisario, mouvement
indépendantiste soutenu par l'Algérie.
Mardi 1er mai 2007 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a adopté lundi 30 avril
2007 la résolution 1754 (2007) "qui prend
note" de la "proposition marocaine
présentée le 11 avril 2007 au Secrétaire
général de l'ONU ainsi que de la proposition du
Front Polisario, présentée le 10 avril 2007.
Par cette résolution, le Conseil de sécurité
de l'ONU demande aux parties "d'engager des
négociations de bonne foi sans conditions
préalables, en tenant compte des développements
survenus ces derniers mois, en vue de parvenir à
une solution politique juste, durable et
mutuellement acceptable qui permette
l'autodétermination du peuple du Sahara
occidental". Il demande à cet égard au
Secrétaire général d'organiser ces
négociations sous ses auspices et de lui
présenter d'ici au 30 juin 2007 un rapport sur
les progrès réalisés. Le Conseil de sécurité
a également décidé de proroger jusqu'au 31
octobre 2007 le mandat de la Mission des Nations
Unies pour l'organisation d'un référendum au
Sahara occidental (MINURSO).
Vendredi 10 août 2007 : La
deuxième phase des discussions sur le Sahara
occidental entre le Maroc et le Front Polisario
s'est ouverte vendredi 10 août 2007 pour 2 jours
à Long Island près de New York. Les débats
seront menés à huit clos, et fermés à la
presse, par l'envoyé spécial du Secrétaire
général de l'ONU, Peter Van Walsun.
Lundi 13 août 2007 : Le second
round des négociations entre le Maroc et le
Front Polisario, qui s'est tenu les 10 et 11
août 2007, à Manhasset dans l'Etat de New York,
sest achevé sans aucune avancée. Dans un
communiqué les parties ont indiqué que
"continuer leurs négociations sous les
auspices du secrétaire général et
conformément à la résolution 1754 du 30 avril
2007 du Conseil de sécurité. Des représentants
des pays voisins, lAlgérie et la
Mauritanie, étaient également présents aux
séances douverture et de clôture et ont
été consultés séparément pendant les
pourparlers. Les parties reconnaissent que le
statu quo actuel est inacceptable et elles se
sont engagées à poursuivre ces négociations de
bonne foi. Elles sont convenues que le processus
de négociation se poursuivra et que des
consultations appropriées seront conclues sur la
date et le lieu du round à venir". Selon
Radhi Bachir Seghaïer, un conseiller du chef du
Polisario Mohamed Abdelaziz, les prochains
pourparlers sur le Sahara qui durent depuis 32
ans, se dérouleront probablement en Europe avant
la fin 2007. Le Front Polisario réclame un
référendum d'autodétermination du peuple
sahraoui. Le Maroc n'est disposé qu'à envisager
une autonomie sous souveraineté marocaine.
Mercredi 29 août 2007 : L'ONU a
annoncé lundi 27 août 2007 la nomination du
général chinois Zhao Jingmin à la tête de la
Mission de l'ONU pour un référendum au Sahara
occidental (MINURSO). Il remplacera le général
danois Kurt Mosgaard, dont l'affectation a pris
fin lundi. C'est la première fois que le
commandement d'une mission de maintien de la paix
de l'ONU est confié à un Chinois.
Jeudi 1er novembre 2007 : Le Conseil
de sécurité de l'ONU a prorogé jeudi 1er
novembre 2007, jusqu'au 30 avril 2007, par la
résolution 1783 (2007) le mandat de la Mission
des Nations Unies pour l'organisation d'un
référendum au Sahara occidental (MINURSO). Le
Conseil demande aux parties de "poursuivre
les négociations sous les auspices du
Secrétaire général, sans conditions
préalables et de bonne foi, en tenant compte des
efforts réalisés depuis 2006 et des
événements des derniers mois", et ce, dans
l'objectif de parvenir à une "solution
politique juste, durable et mutuellement
acceptable" permettant
"l'autodétermination du peuple du Sahara
occidental dans le contexte d'arrangements
compatibles avec les buts et principes énoncés
dans la Charte des Nations Unies". Le
représentant de l'Afrique du Sud, Dumisani
Kumalo, a regretté, avant le vote, que le projet
de résolution ne fasse aucune mention des droits
de l'homme au Sahara occidental.
Samedi 22 décembre 2007 : Réuni pour
son 12e Congrès à Tifari, le Front Polisario a
menacé de reprendre la guerre contre le Maroc.
Les membres du congrès ont souligné la
"préoccupation" des Sahraouis devant
"l'attitude de l'Organisation des Nations
unies qui, en dépit de seize ans de présence
sur le terrain, n'est pas parvenue à s'acquitter
de ses obligations et à assumer ses
responsabilités dans l'organisation d'un
référendum d'autodétermination au Sahara
occidental".
Samedi 5 janvier 2008 : La
porte-parole du secrétaire général de l'ONU,
Michèle Montas, ancienne présentatrice,
journaliste de Radio Haïti, dont le mari, Jean
Léopold Dominique, également journaliste, a
été assassiné par des inconnus le 3 avril
2000, a indiqué vendredi 4 janvier 2008 dans un
communiqué que "la prochaine série de
négociations sur le Sahara occidental aura lieu
du 7 au 9 janvier prochains à Manhasset, dans
l'île de Long Island aux Etats-Unis" et que
compte tenu du "caractère délicat des
discussions en cours, les pourparlers seront
encore une fois privés". Les médias ne
seront pas autorisés sur le site. Des
discussions ont déjà eu lieu entre le Maroc et
le Front Polisario en juin et août 2007. Le 31
octobre 2007, le Conseil de sécurité de l'ONU
avait demandé aux parties de "poursuivre
les négociations sous les auspices du
Secrétaire général, sans conditions
préalables et de bonne foi".
Vendredi 1er février 2008 : Selon le
quotidien britannique "The Times" dans
son édition du jeudi 31 janvier 2008, citant un
responsable de l'ONU, des "officiers, pas
des secondes classes", membres mission de
lONU au Sahara occidental (MINURSO), ont
vandalisé le site préhistorique, connu sous le
nom de "Montagne du diable", où sont
représentés des animaux et des humains gravés
dans la roche, gribouillant de graffitis portant
leur nom et matricule sur les peintures du site.
Julian J. Harston, représentant spécial de
lONU au Sahara occidental, a indiqué que
les "officiers allaient être sanctionnés
par l'ONU et référé à leurs pays
d'origine".
Mardi 22 avril 2008 : L'émissaire
de l'ONU pour le Sahara occidental, Peter van
Walsum, a estimé lundi 21 avril 2008 que
l'indépendance du Sahara occidental n'est pas un
objectif réaliste et que le Front Polisario
devrait y renoncer.
Samedi 7 juin 2008 : A
l'occasion d'une cérémonie qui s'est tenue
jeudi 5 juin 2008 à Alger, pour le 35e
anniversaire de la création du Front Polisario
et du déclenchement de la lutte armée au Sahara
occidental, l'ambassadeur de la République arabe
sahraouie démocratique (RASD) à Alger, Brahim
Ghali, a tenu à rappeler que la paix au Sahara
occidental et dans la région n'était pas
possible sans la tenue d'un référendum
"libre, juste et régulier" pour le
peuple sahraoui, qui lutte depuis plus de 35 ans
pour sa liberté. Il a ajouté : "Il n'est
possible d'atteindre une paix réelle et durable
dans notre région qu'à travers une solution
juste, définitive et démocratique, et ce en
permettant au peuple sahraoui de décider de son
avenir en un référendum libre, juste et
régulier". Brahim Ghali a précisé :
"Toute tentative visant à ignorer ou
confisquer les droits de notre peuple est vouée
à l'échec, comme celles qui ont échoué depuis
1975", année de l'invasion marocaine du
Sahara occidental. Le diplomate a demandé à la
communauté internationale de "défendre la
légalité internationale qui assure au peuple
sahraoui le droit à l'autodéfense, à la
dignité de sa patrie et à recouvrer ses droits
légitimes par tous les moyens". Il a
affirmé que le conflit au Sahara occidental
oppose la "logique du colonialisme, de
l'injustice, de l'oppression et de
l'expansionnisme adoptée par le gouvernement
marocain, et la logique de la légalité
internationale et du respect des principes de
l'ONU et de sa Charte, revendiquée par le peuple
sahraoui. La perpétuation de la présence
coloniale au Sahara occidental au 21e siècle
constitue un affront que ni le peuple sahraoui,
ni la communauté internationale ne
tolèrent". Il a conclu : "L'occupant
marocain exerce, en toute impunité, les plus
atroces formes de violation des droits de
l'homme, viole les libertés, pille les
ressources naturelles, impose un siège militaire
et sécuritaire sur les territoires sahraouis
occupés et empêche les observateurs et
journalistes indépendants d'y accéder".
Vendredi 29 août 2008 : L'ancien
ambassadeur des Pays-Bas, Peter Van Walsum,
nommé le 29 juillet 2005 au poste d'envoyé
personnel du Secrétaire général de l'ONU pour
le Sahara occidental, a annoncé jeudi 28 août
2008 qu'il démissionnait de son poste. Peter Van
Walsum avait estimé lundi 21 avril 2008 que
l'indépendance du Sahara occidental n'est pas un
objectif réaliste et que le Front Polisario
devrait y renoncer, provoquant la colère de ce
dernier.
Jeudi 8 janvier 2009 : Le
Secrétaire général de l'ONU Ban Ki-Moon, a
informé mercredi 7 janvier 2009 le Conseil de
sécurité de l'ONU de son intention de nommer
l'Américain, Christopher Ross, ancien
ambassadeur des Etats-Unis en Syrie et en
Algérie, au poste d'Envoyé personnel pour le
Sahara occidental, en remplacement de Peter van
Walsum. (Copyright
www.fil-info-france.com)
Vendredi 20 mars 2009 : Une
délégation d'ambassadeurs et de diplomates de
plus de 19 pays, dont le Brésil, la France,
l'Indonésie, l'Italie, la Suisse, l'Afrique du
Sud, l'Espagne, le Nigéria et les Etats-Unis,
des représentants du Service d'Aide Humanitaire
de la Commission européenne (ECHO), accompagnés
d'employés du Haut Commissariat des Nations
Unies pour les réfugiés (UNHCR) et du Programme
alimentaire mondial (PAM), ont débuté mercredi
18 mars 2009 une mission de 3 jours dans 2 des 4
camps de réfugiés sahraouis situés dans
l'ouest de l'Algérie pour se rendre compte par
eux-mêmes de la situation dans les camps et
évaluer les conditions de vie des réfugiés. La
dernière étude menée en 2008 par Médecins du
Monde (MDM) et le PAM en coordination avec le HCR
avait conclu que des réfugiés souffraient de
malnutrition dans les camps, avec 61 % des
enfants et 66 % des femmes enceintes souffrant
d'anémie, une déficience en fer. L'évaluation
a également montré que 55 % de l'ensemble des
femmes étaient anémiques, avec une possibilité
de déficiences micro nutritionnelles pour
l'ensemble de la population. Copyright
www.fil-info-france.com/
Samedi 2 mai 2009 : Le Conseil de
sécurité de l'ONU a prorogé
d'un an, jeudi 30 avril 2009, le mandat de la
Mission des Nations Unies pour l'organisation
d'un référendum au Sahara occidental (MINURSO)
qui est chargée d'organiser un référendum
d'autodétermination et de surveiller le
cessez-le-feu entre le Maroc et le Front
Polisario. Copyright www.fil-info-france.com/
Mercredi 12 août 2009 : Une
réunion informelle de 2 jours s'est ouverte
lundi 10 août 2009 à Vienne à huis clos entre
le ministre marocain des Affaires étrangères,
Taïeb Fassi Fihri, et des représentants du
Front Polisario, à l'initiative de l'envoyé
spécial du Secrétaire général de l'ONU,
Christopher Ross. Elle vise à trouver "une
solution politique équitable, durable et
acceptable pour les 2 parties et qui respecte le
droit à l'autodétermination du peuple
sahraoui", selon un communiqué officiel. Le
Maroc propose un plan de large autonomie sous sa
souveraineté. Le Front Polisario réclame pour
sa part un référendum d'autodétermination dans
lequel l'indépendance serait l'une des options. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 18 septembre 2009 : Plusieurs
centaines de Sharaouis ont manifesté
pacifiquement dans la nuit de mardi 15 à
mercredi 16 septembre 2009 dans la ville d'El
Ayoun pour réclamer "le retrait immédiat
de l'occupant marocain au Sahara
occidental". Ils ont également dénoncé
"les procès iniques et les violations
flagrantes des droits de l'homme commises par
l'Etat marocain contre les citoyens sahraouis
sans défense qui appellent à
l'autodétermination de leur peuple". Une
trentaine de Sahraouis ont été blessés ou
arrêtés au cours de ce rassemblement. Le Front
Polisario avait affirmé, dans un communiqué
rendu public mardi 15 septembre 2009 que que la
Mission des Nations Unies pour le Sahara
Occidental (MINURSO) ne protège pas assez les
droits de l'homme au Sahara occidental. Il avait
également condamné "les graves violations
des droits de l'homme commises par l'Etat
marocain à l'encontre des citoyens sahraouis
sans défense au Sahara occidental occupé, dans
le sud du Maroc et dans les universités
marocaines". Le Front Polisario a estimé
que le règlement du conflit au Sahara occidental
"se construit obligatoirement sur le respect
de la volonté du peuple sahraoui et son libre
choix dans le cadre de la démocratie et de la
transparence". Le Haut commissaire des
Nations Unies pour les Réfugiés (UNHCR),
Antonio Guterres, avait effectué une visite au
Maroc pour des entretiens portant sur la
situation des Marocains retenus dans les camps de
Tindouf et les violations des droits de l'Homme
qui y sont enregistrées. Il s'était rendu dans
les camps de réfugiés de Tindouf où il avait
dénoncé les conditions de vie déplorables des
réfugiés. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Samedi 26 septembre 2009 : AFRIQUE
DU SUD : Le congrès des syndicats
sud-africains (Congress of South African Trade
Unions, COSATU) a adopté jeudi 24 septembre 2009
une motion dans laquelle il réaffirme son
soutien au droit du peuple sahraoui à
l'autodétermination, soulignant que l'occupation
marocaine du Sahara occidental est une
"violation du droit et de la légalité
internationale". Le COSATU a affirmé dans
cette motion, adoptée lors de son 10e congrès
qui s'est ouvert mardi 22 septembre 2009, que
"la liberté et l'indépendance des pays
africains demeurent incomplètes tant que le
peuple du Sahara occidental souffre de la
domination coloniale". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Vendredi 9 octobre 2009 : Le
Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, a
annoncé jeudi 8 octobre 2009 avoir informé le
Conseil de sécurité de l'ONU de son intention
de nommer l'Egyptien Hany Abdel-Aziz comme
représentant spécial pour le Sahara occidental
et chef de la Mission des Nations Unies pour
l'organisation d'un référendum au Sahara
occidental (MINURSO) en remplacement de Julian
Harston, qui a été nommé directeur du bureau
de l'ONU à Belgrade en Serbie, le 1er mars 2009. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Mardi 3 novembre 2009 : SUEDE/SAHARA
OCCIDENTAL : Le Parti social démocrate
suédois (première force politique en Suède),
réuni pour son 36e congrès du 28 octobre au 1er
novembre 2009 a adopté une motion de
reconnaissance de la République arabe sahraouie
démocratique (RASD). Dans un communiqué les
membres du Parti "réitère avec force la
solidarité des sociaux démocrates avec le
peuple sahraoui, et leur engagement à oeuvrer
pour la liberté du Sahara occidental" et
demandent à leur parti d'oeuvrer pour la
reconnaissance par l'Union européenne de
l'indépendance du peuple sahraoui. Le Parti
social démocrate suédois a dénoncé
"l'oppression et la répression que
subissent de plein fouet les populations
sahraouies vivant sous le joug de
l'occupation". Il a condamné
"vigoureusement les récentes vagues
d'arrestations et les violations massives des
droits de l'Homme commises par les autorités
marocaines" mais aussi "les
tergiversations et les manoeuvres du gouvernement
marocain et son non-respect des résolutions de
l'ONU". Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
Vendredi 18 décembre 2009 :Aminatou
Haidar (42 ans), militante sahraouie, en grève
de la faim depuis le 16 novembre 2009 à
laéroport de Lanzarote aux Iles Canaries
en Espagne, 2 jours après avoir été expulsée
du Sahara Occidental vers l'Espagne par les
autorités marocaines qu'elle accuse de lui avoir
retiré son passeport marocain, a quitté
Lanzarote jeudi 17 décembre 2009 à bord d'un
avion médicalisé à destination de Laayoune,
chef-lieu du Sahara occidental. Dans un
communiqué publié dans la soirée de jeudi à
Paris en France, l'Elysée (siège de la
présidence) a annoncé que le président
français Nicolas Sarkozy avait demandé au Maroc
de remettre un passeport à Aminatou Haidar. Le
communiqué français précise que Nicolas
Sarkozy a effectué cette démarche le 15
décembre 2009 en recevant à Paris le ministre
marocain des Affaires étrangères, Taïb Fassi
Fihri, et en exprimant "le voeu que le
Royaume du Maroc puisse, dans sa tradition
d'ouverture et de générosité, faire remettre
à Mme Aminatou Haidar son passeport marocain à
son arrivée sur le territoire du Royaume". Lire l'édition de Fil-info-France
du samedi 12 décembre 2009 (Espagne). Le Maroc
et le Front Polisario se disputent la
souveraineté sur le Sahara occidental depuis la
fin de la domination espagnole sur ce territoire
en 1976. La Mission des Nations Unies pour
l'organisation d'un référendum au Sahara
occidental (MINURSO) est chargée de surveiller
le cessez-le-feu conclu en 1991 entre le Maroc et
le Front Polisario et d'organiser un référendum
d'autodétermination. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Samedi 26 décembre 2009 : La
militante sahraouie des droits de l'homme,
Aminatou Haidar, a indiqué vendredi 25 décembre
2009 être assignée à résidence à Laayoune,
chef-lieu du Sahara occidental, depuis son retour
au Sahara occidental, le jeudi 17 décembre 2009.
En grève de la faim depuis le 16 novembre 2009
à laéroport de Lanzarote aux Iles
Canaries en Espagne, 2 jours après avoir été
expulsée du Sahara Occidental vers l'Espagne par
les autorités marocaines qu'elle accuse de lui
avoir retiré son passeport marocain, elle avait
été autorisée à quitter Lanzarotte pour le
Sahara occidental. Elle a affirmé que les
membres de sa famille, les voisins "avaient
des problèmes" pour lui rendre visite. Les
forces de sécurité marocaines se sont
déployées à Laayoune, et empêchent les
journalistes, les observateurs internationaux,
les militants des droits de l'homme ainsi que des
centaines de citoyens de se rendre à son
domicile pour s'enquérir de son état de santé
et lui témoigner leur solidarité. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Copyright : Fil-info-France.com
-
- Climat
- Sec
et chaud.
- Code ISO
- Aucun
- Devise nationale
- Drapeau
- Economie
- Fruits
et légumes. Chameaux, moutons, chèvres.
Phosphates, fer.
- Fête nationale
- Aucun
- Langue officielle
- Arabe Hassaniya ,
Arabe Marocain.
- Liens
- Résolution 1541 du Conseil de
Sécurité de l'ONU renouvelant
le mandat de la MINURSO, pour une durée de six
mois - 29 avril 2004 -
- Rapport
du Secrétaire général de l'ONU sur la
situation concernant le Sahara occidental - 23 avril
2004 -
- Résolution
1469 du Conseil de Sécurité de l'ONU
prolongeant le mandat de la MINURSO (votée le 25
mars 2003)
- Le Front Polisario
- ARSO, Association
de soutien à un référendum libre au Sahara
Occidental
- http://www.sahariens.info/ Le site de
tous ceux qui partagent la même passion pour le
Sahara... Culture, conseils, infos pays, photos,
projets, solidarité, etc...
- L'énergie éolienne de la côte
atlantique du Sahara
- Le conflit au Sahara occidental : Livres,
liens, forums, etc.
- Médias
- Sahara Presse Service
- Offre
n° 3
Monnaie
- Dirham
marocain.
- Partis politiques
- XXX
- Population
- Sahraouis.
- 250
559 d'habitants.
- Arabes
et Berbères.
- Principales
villes
- Laayoune,
Ad Dakhla, Argoub, Boukra, Dawra.
- Offre
n° 4
Religion
- Musulmans.
- Situation
géographique
- Etat
d'Afrique du nord bordé par la mer
Méditerranée. Frontières avec le Maroc,
l'Algérie et la Mauritanie.
- Statut
- Le
Maroc a annexé les deux-tiers de la partie nord
du Sahara occidental (ex-Sahara Espagnol) en 1976
et le reste du territoire en 1979, après le
retrait de la Mauritanie. La guérilla du Front
Polisario combat depuis cette date le Maroc et
conteste la souveraineté de Rabat sur cette
zone. Un cessez-le-feu a été conclu en 1991. Un
référendum d'autodétermination sous l'égide
de l'ONU n'a toujours pas été organisé.
Président : Brahim Gali (depuis le 12 juillet
2016). Premier ministre : Mohamed Wali Akeik
(depuis le 4 février 2018).
- Superficie
- 266
000 km2
- Webcam
- Aucune
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- (Voir
également l'espace webcam)
Offre
n° 5
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