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Mercredi 27 janvier 2010 N°
2506/23902
- ISRAEL/BANDE DE GAZA : Le ministre
belge de la coopération au développement Charles Michel, en
tournée dans la région et qui a rencontré
dimanche 24 janvier 2010 à Ramallah en
Cisjordanie le premier ministre palestinien Salam Fayyad et a
assisté à linauguration dune école
entièrement rénovée grâce à des fonds
belges, n'a pas été autorisé à se rendre dans
la Bande de Gaza par le vice-ministre israélien
des Affaires étrangères, Daniel Ayalon. Ce
dernier a argué qu' "autoriser un ministre
à Gaza, c'est comme légitimer le Hamas", Mouvement de la
Résistance Islamique. Charles
Michel a indiqué que cette visite "aurait
été l'occasion de dénoncer les pratiques du
Hamas", ainsi que "réaffirmer la
position de l'Union européenne, qui dit que le
Hamas est une organisation terroriste". Le
ministre belge a posé la question suivante :
"Les populations doivent-elles être
frappées 2 fois, d'abord parce qu'elles sont
dirigées par une organisation aux pratiques
totalitaristes et puis parce qu'il n'y a plus
d'accès humanitaire ?". Il a ajouté qu'il
"faut un accès libre pour l'humanitaire
pour l'ONU et pour les pays qui aident Gaza à se
reconstruire". Le nouveau commissaire
général de l'Agence des Nations Unies pour les
réfugiés (UNRWA), Filippo
Grandi, a expliqué samedi 24 janvier 2010 que
seuls 20 % des convois humanitaires qui
accédaient à la Bande de Gaza avant
l'opération Plomb Durci, du 27 décembre 2008 au
19 janvier 2009, chaque mois peuvent encore
entrer sur ce territoire bouclé. Charles Michel,
qui s'est déclaré "très préoccupé"
par cette interdiction, a précisé :
"Jai demandé de pouvoir me rendre à
Gaza comme ministre en charge du développement
humanitaire dès lors que la Belgique soutient
des projets de développement à Gaza. Cette
autorisation ne ma pas été donnée par
les autorités israéliennes. Demain, [
] ce
sera loccasion pour moi dexprimer le
fait que je ne trouve pas cette situation
acceptable. Par ailleurs, jai
lintention de faire état de ce point au
conseil des ministres européen, pour tenter de
vérifier si une position commune européenne ne
peut pas être dégagée". Blogger,
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Fil-info-France ?
TURQUIE : Lors d'une
conférence de presse donnée mardi 26 janvier
2010 à l'issue du sommet tripartite, les
présidents afghan Hamid Karzaï, turc Abdullah Gül et
pakistanais Asif Ali Zardari, ont
indiqué qu'ils apportaient leur soutien au
processus de réconciliation et de
réintégration en Afghanistan des Talibans. Le
président afghan Hamid Karzaï doit annoncer
jeudi 28 janvier 2010 ce programme de
"réinsertion" des talibans dont le
coût est estimé "entre 500 millions et un
milliard de dollars", lors de la Conférence
sur l'Afghanistan qui s'ouvre à Londres au
Royaume-Uni en présence des ministres des
Affaires étrangères d'une cinquantaine de pays.
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Fil-info-France ?
IRAK : Un attentat à la voiture
piégée a été perpétré mardi 26 janvier 2010
à Bagdad la capitale, visant un bâtiment du
département judiciaire du ministère de
l'Intérieur, faisant 17 morts et 80 blessés,
pour la plupart des policiers. Blogger,
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Fil-info-France ?
ONU/AFGHANISTAN : Le comité
des sanctions du Conseil de sécurité des Nations
Unies a indiqué que,
conformément à la demande du président afghan Hamid Karzaï, 5 chefs
talibans ont été retirés de la liste des
individus soumis à des sanctions de la part des
Nations unies. Il s'agit de l'ancien ministre
adjoint du commerce, Fazl Mohammad Faizan
Qamaruddin, l'ancien ministre adjoint des
questions frontalières, Abdul Hakim Monib
Mohammad Nazar, l'ancien ministre des affaires
étrangères, Wakil Ahmad Mutawakil Abdul Ghaffar
et l'ancien ministre adjoint de la planification,
Mohammad Musa Hottak Abdul Mehdi. Ces personnes
ne seront plus interdites de déplacements en
avion et leurs avoirs ne seront plus gelés. Blogger,
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Fil-info-France ?
SRI LANKA : 14,8 millions d'électeurs
étaient appelés aux urnes mardi 26 janvier 2010
pour la première élection présidentielle
depuis la fin de la guerre civile, en mai 2009,
après un conflit de près de 40 ans entre le
gouvernement et les Tigres de libération de l'Eelam
tamoul (LTTE), qui a fait entre 80 000
et 100 000 morts. Le président Mahinda Rajapakse, ancien
allié des LTTE, et son ancien chef des Armées,
l'ancien général Sarath Fonseka, candidat du
parti d'opposition du Front de libération du
peuple (JUP). Le général Sarath Fonseka,
considéré comme l'artisan de la victoire
militaire sur la rébellion séparatiste des
Tigres de libération de l'Eelam tamoul (LTTE) en
mai 2009, avait présenté à la mi-novembre sa
démission de l'armée au chef de l'Etat,
accusant le gouvernement de l'avoir soupçonné
d'un coup d'Etat après la chute des Tigres, sont
les principaux favoris parmi 20 autres candidats.
68 000 policiers et 12 000 soldats ont été
mobilisés pour assurer la sécurité du scrutin.
La campagne électorale a été émaillée de
nombreux actes de violences. 4 militants ont
été tués et près de 1000 incidents ont été
recensés. L'opposition a déclaré qu'elle
n'accepterait pas le résultat si les actes de
violence n'étaient pas contenus par les forces
de sécurité. Lors d'une dernière conférence
de presse peu avant le scrutin, le général
Sarath Fonseka a accusé le gouvernement de
vouloir "truquer les résultats" et
"d'user de la violence pour intimider les
électeurs". Selon lui, l'armée, la
télévision d'Etat et la police ont été
préparées à un coup d'Etat pour maintenir
Mahinda Rajapakse au pouvoir. Blogger,
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Fil-info-France ?
ETATS-UNIS : La Cour
suprême a levé la limitation des contributions
des entreprises privées au financement des
campagnes électorales au nom du premier
amendement de la Constitution, ratifié
en 1791, qui stipule que "le Congrès ne
fera aucune loi qui touche l'établissement ou
interdise le libre exercice d'une religion, ni
qui restreigne la liberté de la parole ou de la
presse, ou le droit qu'a le peuple de s'assembler
paisiblement et d'adresser des pétitions au
gouvernement pour la réparation des torts dont
il a à se plaindre" (en anglais :
"Congress shall make no law respecting an
establishment of religion, or prohibiting the
free exercise thereof; or abridging the freedom
of speech, or of the press; or the right of the
people peaceably to assemble, and to petition the
Government for a redress of grievances".).
Les Démocrates ont dénoncé cette décision
estiment que l'argent des grandes entreprises
dans les campagnes électorales, pourront
soutenir ou s'opposer publiquement aux candidats
de leur choix à travers le financement de
campagnes publicitaires favorables ou
défavorables à ces politiciens. Le président Barack Obama a indiqué
que cette décision va donner "davantage de
pouvoir aux lobbyistes à Washington en limitant
l'influence de l'Américain ordinaire" et
"porte un coup à la démocratie même
ajoutant qu'elle ouvre "les vannes d'une
quantité illimitée d'argent des groupes de
pression" dans la démocratie américaine.
Barack Obama a poursuivi : "Cela signifie
que tout homme politique qui a le courage de
s'opposer aux groupes de pression et de défendre
les Américains peut faire l'objet d'attaques le
jour des élections". Le président
américain a conclu : "La dernière chose
dont nous avons besoin est de donner plus
d'influence aux lobbyistes à Washington".
Fred Weitheimer, Président de Democracy 21, une ONG
indépendante active dans la lutte contre
l'influence des lobbies d'affaires à Washington,
a déclaré que "les magistrats de la Cour
suprême ont rayé, d'un trait de stylo, un
siècle d'histoire américaine consacrée à
prévenir notre démocratie de la corruption des
grandes entreprises". Alan Graysan, élu
démocrate de Floride à la Chambre des
représentants, a quant à lui estimé que
"la a, en substance, jugé que les grandes
firmes peuvent s'acheter les élections. Si cela
devait arriver, la démocratie en Amérique
serait terminée". Blogger,
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Fil-info-France ?
ONU/DETENTIONS SECRETES : Martin Scheinin,
Rapporteur spécial des Nations Unies pour la
promotion et la protection des droits de l'homme
et des libertés fondamentales dans la lutte
antiterroriste, Manfred Nowak,
Rapporteur spécial sur la torture et autres
peines ou traitements cruels, inhumains ou
dégradants, ont publié mardi 26 janvier 2010 un
nouveau rapport, qui sera présenté devant le Conseil des droits de l'homme de
l'ONU en mars 2010, révèle que
les Etats continuent à avoir recours aux
détentions secrètes dans le cadre de la lutte
contre le terrorisme. Les experts soulignent que
"la détention secrète est de manière
irréconciliable une violation de la législation
internationale en matière de droits de l'homme,
y compris dans les situations d'urgence et les
conflits armés. De même, il s'agit d'une
violation du droit humanitaire international
durant toute forme de conflit armé". Les
experts de l'ONU affirment que les détentions
secrètes mettent les personnes qui en sont
victimes hors du cadre légal et rendent
"dénuées de sens" les garanties
contenues dans les instruments internationaux, y
compris l'habeas corpus (droit à un jugement
pour tout accusé). Ils dénoncent :
"Malgré ces normes sans équivoque, les
détentions secrètes continuent d'être
utilisées au nom de la lutte contre le
terrorisme à travers le monde". Le rapport
contient une série de recommandations qui
couvrent le domaine législatif et le domaine
pratique afin d'améliorer la transparence et la
responsabilité des acteurs, et de fournir des
solutions juridiques pour des réparations et la
réhabilitation des victimes, ainsi que parfois
de leurs familles. Revendiquant un caractère non
exhaustif, il mentionne 66 Etats. 44 ont fourni
des réponses à un questionnaire détaillé qui
leur a été envoyé il y a près d'un an. Le
rapport contient les interviews détaillées de
30 individus, victimes, familles ou conseillers
juridiques de victimes, qui ont subi une
détention secrète et, dans de nombreux cas, des
actes de torture. Certains Etats sont mentionnés
dans le contexte d'une analyse historique des
pratiques de détention secrète avant le 11
septembre 2001 mais la plupart le sont en
connexion avec ce phénomène et les activités
qui y sont liées ces neuf dernières années
dans le cadre de la "guerre mondiale contre
la terreur". (Source : ONU) Blogger,
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SUISSE/GUANTANAMO : Un ancien
détenu ouzbekh, détenu pendant 7 ans dans la
prison militaire américaine de Guantanamo à Cuba,
avec le statut de "combattant ennemi",
ce qui le prive du statut de la Convention de Genève sur les
prisonniers de guerre, sans
avoir été inculpé ni avoir bénéficié des
services d'un avocat, et ensuite blanchi des
soupçons de terrorisme, est arrivé à la
mi-janvier en toute discrétion à Genève avec
l'aide des Etats-Unis, où il est accueilli
"à titre humanitaire", selon un
communiqué publié mardi 26 janvier 2010 par le Département fédéral de justice et
police (DFJP). L'homme ne voulait pas
retourner dans son pays où il craint d'être
persécuté. Les frais occasionnés par son
arrivée sont couverts par les Etats-Unis et par
le canton de Genève.
Lancien détenu sest engagé à
respecter le droit suisse et à apprendre le
français. Il a ajouté quil entendait
sintégrer professionnellement afin de
subvenir à ses besoins. Afin de protéger cet
homme et sa personnalité et de ne pas
compromettre son intégration, ni la
Confédération ni le canton de Genève ne
donneront dautres indications sur sa
personne ou son lieu de séjour. Blogger,
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SUISSE : Ouverture mercredi 27
janvier 2010, et pendant une semaine, du 40e Forum
économique mondial de Davos en
présence de 2 500 chefs d'Etat et de
gouvernement, banquiers, chefs d'entreprises et
membres de la société civile de 90 pays, avec
pour thème "Améliorer l'état du Monde :
re-penser, re-concevoir, reconstruire". Blogger,
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Fil-info-France ?
HAITI : Le Secrétaire général
adjoint des Nations Unies aux affaires
humanitaires, John Holmes, a
indiqué mardi 26 janvier 2010 au cours d'une
conférence de presse donnée au siège de l'ONU
à New York aux Etats-Unis que, concernant la
distribution de l'aide alimentaire aux personnes
touchées par le séisme meurtrier du 12 janvier
2010, "des progrès ont été réalisés,
qu'il s'agisse de la distribution d'eau potable,
de nourriture, de tentes, ou de la fourniture de
soins médicaux". Il a ajouté qu'il reste
cependant beaucoup à faire, précisant que le
Programme alimentaire mondial (PAM)
"touche de plus en plus de gens chaque jour
à Port-au-Prince et en dehors de la capitale.
Mais nous sommes conscients qu'il y a encore
beaucoup de gens qui n'ont pas de rations
alimentaires". Le PAM a souligné dans un
communiqué que 3 millions de rations, soit
l'équivalent de 10 millions de repas, ont été
distribuées à près de 450 000 personnes, mais
qu'il rencontre "de grandes difficultés
logistiques alors que ses entrepôts en Haïti
ont été sérieusement endommagés par le
séisme". L'OMS, Organisation
Mondiale de la Santé, a indiqué que "des
milliers de personnes ont été amputées après
avoir été grièvement blessées lors du
tremblement de terre du 12 janvier 2010. Certains
hôpitaux procèdent de 30 à 100 amputations par
jour, selon des chiffres de l'OMS, qui ajoute que
ces blessés auront besoin de thérapie physique
ainsi que de services de santé mentale et de
support psychosocial. Une rééducation adéquate
revêt une importance critique pour prévenir des
incapacités à long terme et réduire
limpact sur les familles suite à la perte
de productivité". Blogger,
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GUATEMALA : L'ancien président Alfonso Portillo (58 ans),
au pouvoir de 2000 à 2004, réclamé par la
justice des Etats-Unis qui l'accuse de
détournement de fonds et blanchiment d'argent, a
été arrêté mardi 26 janvier 2010 à Punta de
Palma dans le nord-est du pays par les forces de
sécurité. Les Etats-Unis ont maintenant 40
jours pour formaliser une demande d'extradition.
Alfonso Portillo a été officiellement inculpé
lundi 25 janvier 2010 de détournement de fonds
et blanchiment d'argent par un tribunal fédéral
de New York aux Etats-Unis. Alfonso Portillo
avait été extradé mardi 7 octobre 2008 par les
autorités mexicaines où il avait trouvé
refuge, après la levée de l'immunité dont il
bénéficiait en tant que membre du Parlement
d'Amérique centrale, pour qu'il soit jugé.
L'ancien président avait comparu presque
immédiatement devant un juge qui l'a laissé en
liberté après le paiement d'une caution de 133
000 dollars. Il est accusé d'abus d'autorité et
de détournement de fonds, notamment d'avoir
soustrait 15,8 millions de dollars du budget du
ministère de la Défense, dont 4,6 millions,
déposés sur un compte de la Banque de crédit
hypothécaire nationale, qui auraient disparu. Le
Guatemala avait déposé une demande
l'extradition le 20 octobre 2005, qui avait été
acceptée à Mexico le 30 octobre 2006. Blogger,
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COLOMBIE : Efrain Basilio, chef d'une
communauté indigène et guérisseur, porté
disparu vendredi 23 janvier 2010 alors qu'il se
rendait dans une zone rurale de la commune de
Sampues, dans le nord du pays, pour y soigner un
malade, a été retrouvé mort assassiné d'un
coup de machette. Son corps portait des traces de
brûlures. Les amérindiens de Colombie, qui
représentent 3% de la population, revendiquent
leur neutralité dans le conflit opposant armée,
paramilitaires et guérillas. Selon l'Organisation
nationale des indigènes de Colombie (ONIC,
Organización Nacional Indígena de Colombia), plus de
1200 d'entre eux ont été tués depuis 2002 et
plus de 50 000 ont été déplacés. L'ONU avait
appelé en décembre 2009 le gouvernement
colombien à accroître ses mesures de protection
de la communauté indigène, victime de 94
meurtres jusqu'en octobre 2008, soit une hausse
de 64 % par rapport à l'année 2008. Blogger,
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SOUDAN : Un homme d'une cinquantaine
d'années, Adil Mohammed Fath al-Rahman Mahjoub,
a lancé lundi 25 janvier 2010 une de ses
chaussures en direction du président Omar el-Béchir qui se
trouvait dans le centre des Congrès de la
capitale Karthoum, sans l'atteindre. Selon la
police, l'homme souffrirait "de troubles
psychiatriques" et "ses motivations ne
sont pas encore connues". La police ajoute
qu'il "n'est affilié à aucun parti
politique mais a déjà occupé des postes dans
l'administration" et "n'était pas
armé", précisant qu'il "voulait
remettre une lettre au président soudanais"
et lorsque les gardes du président lui ont
refusé l'accès, il a alors jeté sa chaussure. Blogger,
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MAROC : L'Union des syndicats
professionnels du transport au Maroc, réunie
dimanche 24 janvier 2010 à Casablanca, a
décidé une grève des transports pour le lundi
8 février 2010 pour dénoncer la nouvelle loi
adopté le 5 janvier 2010 par les 2 chambres du
parlement sur le Code de la route. Les syndicats
ont dénoncé "les machinations du
ministère de l'Equipement et des
Transports" et affirmé que "tous les
syndicats n'ont pas été consultés et toutes
les propositions d'amendements de la nouvelle loi
n'ont pas été prises en considération".
Ils ont également estimé que "les montants
des amendes sont toujours élevés par rapport
aux capacités financières des chauffeurs de
taxis et de camions" et ajouté qu'il
"fallait prendre en considération le niveau
de vie des Marocains qui sont incapables de payer
de tels montants". Blogger,
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Fil-info-France ?
FIL-INFO-FRANCE, LA CITATION DU JOUR : "La
peur est ce qui gronde dans le courage ; la peur
est ce qui pousse le courage au delà du
but". Emile-Auguste Chartier, dit Alain
(1868-1951) - Philosophe français - Extrait de
"Les idées et les âges"
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