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Samedi 25 juillet 2009 N°
2347/23743
- CISJORDANIE : Le
président palestinien, Mahmoud Abbas
(photo), a demandé à Israël jeudi 23
juillet 2009 après une rencontre avec le
représentant spécial de la Russie pour le
Proche-Orient, Alexandre Saltanov, de démolir
les "barrières de séparation"
érigées depuis 2002 aux frontières de la
Cisjordanie" indiquant que "le mur doit
être démoli. L'implantation de colonies
israéliennes sur notre territoire est
illicite". Mahmoud Abbas a fait cette
déclaration en réponse au discours du premier
ministre israélien Benyamin Netanyahou qui a
exclu mercredi 22 juillet 2009 de démanteler le
"mur de sécurité" érigé le long de
la frontière avec la Cisjordanie afin de
protéger l'Etat juif contre des attentats de
combattants palestiniens. Israël a rejeté mardi
les appels des Etats-Unis, de la France, de
l'Union européenne et de la Russie à geler la
colonisation à Jérusalem-est. La partie
orientale de la ville sainte a été annexée par
Israël après sa conquête en juin 1967. Cette
annexion n'a jamais été reconnue par la
communauté internationale. Blogger,
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ISRAEL : Lors d'une
réception donnée jeudi 23 juillet 2009 à
l'occasion de la fête nationale égyptienne à
Herzliya, située au nord de Tel Aviv la
capitale, dans la résidence de l'ambassadeur
égyptien en Israël, Yasser Reda, le premier
ministre Benjamin Netanyahu a
déclaré "apprécier les efforts des pays
arabes pour faire avancer l'initiative de paix" arabe. Adoptée
à Beyrouth à Liban par la Ligue arabe le 28 mars
2003, elle est connue également sous le nom de
"Initiative saoudienne". L'initiative de paix arabe demande à
Israël "de se retirer intégralement des
territoires arabes occupés, y compris le Golan
syrien, jusquà la ligne du 4 juin 1967, et
des territoires du Sud-Liban qui sont encore
occupés ; de parvenir à une solution juste et
agréée au problème des réfugiés palestiniens
conformément à la Résolution 194 (III) de lAssemblée générale de l'ONU ;
daccepter la création dun Etat
palestinien indépendant et souverain dans les
territoires palestiniens occupés depuis le 4
juin 1967 en Cisjordanie et dans la Bande de
Gaza, avec pour capitale Jérusalem-Est. En
échange de quoi, les Etats arabes s'engagent
"à considérer que le conflit
israélo-arabe a pris fin et participent à un
accord de paix entre eux et Israël tout en
assurant la sécurité de tous les Etats de la
région ; établissent des relations normales
avec Israël dans le contexte de cette paix
globale ; garantissent le rejet de toutes les
formes de réinstallation de Palestiniens qui
serait incompatible avec la situation
particulière dans les pays daccueil
arabes. Le premier ministre israélien a ajouté
: "Si ces propositions ne sont pas
définitives, elles peuvent contribuer à créer
un climat dans lequel nous pourrons parvenir à
un accord de paix global". "Nous
espérons dans les mois à venir pouvoir conclure
la paix avec les Palestiniens, puis étendre cela
en un projet de paix plus large pour la
région", a conclu Benyamin Netanyahu qui
s'est dit également "reconnaissant"
envers le président égyptien Hosni Moubarak "pour
ses efforts en vue de contenir les forces
radicales et d'avancer vers la paix. L'Egypte
joue un rôle essentiel pour la paix avec nos
voisins". Concernant les relations entre
Israël et l'Egypte, premier pays arabe à avoir
signé un traité de paix avec Israël en 1979,
le chef de gouvernement a déclaré que les 2
pays avaient encore beaucoup de chemin à faire
avant de parvenir à une paix "vraiment
chaleureuse". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
LIBAN : Après une
rencontre mardi 21 juillet 2009 à Beyrouth la capitale, avec le
premier ministre, Fouad Siniora, et le
premier ministre désigné, Saad Hariri, dont le
parti Courant du Futur, majorité libanaise a
remporté les élections législatives du 7 juin
2009, le Coordonnateur spécial pour le Liban,
Michael Williams, s'est déclaré inquiet des
violations "claires" de la résolution 1701 (2006) du Conseil de sécurité de l'ONU,
intervenues, selon la presse libanaise, il y a 2
semaines. Michael Williams a déclaré avoir
abordé précisément, lors de son entretien avec
le premier ministre désigné Saad Hariri, la
question des violations de l'espace aérien
libanais par l'aviation israélienne, qui sont
régulièrement condamnées dans les 10 rapports
de la Force intérimaire des Nations Unies au
Liban (FINUL) sur la
résolution 1701. Blogger, webmaster : Conditions
d'utilisations ?
IRAN : Le Guide
suprême de la Révolution iranienne, l'ayatollah
Ali Khamenei, a ordonné vendredi 24
juillet 2009 au président Mahmoud Ahmadinejad de renvoyer
le premier vice-président, Esfandiar Rahim
Mashaie , estimant que "la nomination de M.
Esfandiar Rahim Mashaie au poste d'adjoint du
président est contraire à votre intérêt et à
celui du gouvernement et elle provoquera la
division et la frustration de vos
partisans". Esfandiar Rahim Mashaie,
jusqu'à présent vice-président chargé du
tourisme, a été nommé vendredi 17 juillet 2009
par le président Mahmoud Ahmadinejad au poste de
premier vice-président de l'Iran. Esfandiar
Rahim Mashaie, qui a une de ses filles mariée au
fils du président iranien, avait été très
critiqué pour avoir déclaré en juillet 2008
que l'Iran était "l'ami du peuple
israélien" provoquant une vive polémique
au sein des dignitaires religieux et des
parlementaires conservateurs. L'ayatollah
Ali Khamenei avait dû intervenir pour
mettre un terme à la polémique, désavouant les
propos d'Esfandiar Rahim Mashaie, en déclarant :
"Quelqu'un fait une déclaration à propos
des gens qui vivent en Israël, c'est une
déclaration erronée. Que l'on dise que nous
sommes amis du peuple israélien tout comme avec
les autres peuples du monde n'est pas une parole
juste, c'est une parole illogique". Il avait
conclu en appelant à mettre un terme au débat
"sur cette question mineure" et
indiquant : "La position de la République
islamique est très claire (...). Nous n'avons
aucun problème avec les juifs, les chrétiens et
les fidèles des autres religions, mais nous
avons un problème avec les usurpateurs de la
terre de Palestine". Quelques heures plus
tard, Esfandiar Rahim Mashaie était revenu sur
sa position. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
SUISSE/ONU/ISRAEL : La Réunion
internationale des Nations Unies sur la Palestine
a achevé jeudi 23 juillet 2009 ses travaux,
entamés la veille au Palais des Nations à Genève, en
adoptant son document final dans lequel les
participants à la réunion se sont félicités
de la position ferme adoptée par le Président
américain Barack Obama concernant
la nécessité de faire cesser complètement
toute activité d'implantation de colonies
israéliennes en Cisjordanie. Ils ont jugé
particulièrement inquiétante l'évolution
récente observée à Jérusalem-Est, notamment
la multiplication des démolitions de maisons et
ont déploré que le Gouvernement israélien ait
poursuivi la construction du mur, au mépris de
l'avis consultatif de la Cour internationale de
justice. Les participants à la réunion ont
constaté que le règlement du conflit par des
négociations directes devait fermement s'appuyer
sur les principes de droit international et
réaliser l'ambition d'aboutir à l'existence de
2 Etats. Les informations faisant état de graves
violations du droit international humanitaire,
notamment d'éventuels crimes internationaux et
crimes de guerre, commis par les troupes
israéliennes au cours de l'opération
"Plomb durci" dans la Bande de Gaza,
leur ont semblé d'autant plus préoccupantes.
Les participants ont été particulièrement
consternés par le fait qu'Israël a maintenu un
strict blocus de la Bande de Gaza après cette
opération. La justice internationale ne peut
être rétablie que par un engagement pris par
tous les acteurs de la communauté internationale
pour que les auteurs de violations du droit
international humanitaire et relatif aux droits
de l'homme aient à rendre compte de leurs actes
et pour mettre fin à l'impunité, poursuit le
document final. Seul le respect du droit
international permettra la reprise d'un
véritable dialogue pour régler le conflit
israélo-palestinien. Le document appelle les
membres des parlements à intégrer dans leurs
législations nationales des textes autorisant
les poursuites en cas de violations graves du
droit international humanitaire. Dans une
déclaration de clôture, Riyad Mansour,
Observateur permanent de la Palestine auprès des
Nations Unies à New York, a proposé aux Etats,
aux organisations internationales et à la
société civile de s'unir autour d'un certain
nombre de questions essentielles : la cessation
de toute implantation de colonies ; la cessation
du blocus contre Gaza ; et l'obligation
redditionnelle pour les crimes de guerre commis
dans la Bande de Gaza. Paul Badji, Président du
Comité pour l'exercice des droits inaliénables
du peuple palestinien (Committee on the Exercise
of the Inalienable Rights of the Palestinian
people), a pour sa part relevé que la
situation à Gaza telle qu'elle ressort du
tableau brossé durant ces deux journées de
travaux est plus sombre que ce à quoi nous nous
attendions et nécessitera un engagement ferme de
tous les membres de la communauté internationale
pour surmonter les obstacles auxquels nous nous
heurtons. L'un des principaux obstacles réside
dans le refus israélien de coopérer à toute
enquête sur ce qui s'est passé durant
l'opération "Plomb durci". Il convient
de considérer cette réunion comme une occasion
historique d'en finir avec l'impunité et de
faire en sorte que les auteurs de violations
graves du droit international humanitaire et de
crimes internationaux rendent compte de leurs
actes, a-t-il conclu. Au cours de la discussion,
un intervenant a fait observer que les pays
occidentaux défendent des positions qu'ils
considèrent pour acquises, des positions
coloniales et impériales ; il sera dur de faire
comprendre aux Israéliens "qu'ils ont été
enfantés par le colonialisme et qu'ils en ont
hérité les tares", a déclaré cet
intervenant, affirmant qu'Israël est un état
colonial. Aujourd'hui, le peuple de Palestine
fait l'histoire et c'est pour cela qu'il y a
actuellement "centralité" de la
question palestinienne, a expliqué cet
intervenant, ajoutant que c'est également pour
cela qu'il ne faut pas être par trop pessimiste.
Les Etats doivent remplir leur devoir de
reconnaissance de l'Etat de Palestine, a affirmé
ce même intervenant. L'Europe reste lâche,
a-t-il insisté, faisant observer qu'Israël ne
commet que les crimes qu'on l'autorise à
commettre et qu'il ne pourrait jamais commettre
sans la complicité tacite des Etats qui sont ses
parrains. Aussi, cet intervenant a appelé à une
campagne de boycott contre Israël aussi
longtemps que ce pays violera les conventions
internationales et a demandé à tous les pays de
soutenir cette campagne. Source : Office des
Nations Unies à Genève
PAKISTAN : La Radio
Publique américaine (NPR,
National Public Radio) a
annoncé jeudi 23 juillet 2009 sur son site
internet que Saad, fils du chef du réseau
terroriste, Al Qaïda, Oussama ben Laden,
"aurait été tué lors d'un raid mené par
un avion sans pilote américain qui a tiré un
missile Hellfire", selon NPR qui cite un
ancien directeur des services de renseignement
américains, Mike McConnel. La Radio a ajouté
que "Saad n'était pas la cible de la frappe
et aurait été tué par hasard" et
"n'était pas un membre actif des groupes
terroristes. Il s'est trouvé au mauvais endroit
au mauvais moment". Selon une source haut
placée au sein du renseignement américain,
l'information est loin d'être avérée: le corps
de Saad ben Laden, 30 ans, n'a pas été
retrouvé, ce qui ne permet pas de réaliser les
tests ADN nécessaires à l'identification.
Cependant, les services de secrets sont sûrs à
"80-85 %" de la mort du fils du numéro
un d'Al-Qaïda. Blogger, webmaster : Conditions
d'utilisations ?
BIRMANIE : La junte
militaire, au pouvoir depuis 1962, a accepté que
2 diplomates étrangers, l'ambassadeur
britannique à Rangoon et une diplomate
norvégienne en poste à Bangkok, assistent à
une partie du procès d'Aung San Suu Kyi (63 ans),
secrétaire générale du parti d'opposition,
Ligue nationale pour la démocratie, et Prix Nobel de la Paix 1991, qui
a repris vendredi 24 juillet 2009 à huis clos et
aussitôt ajourné à lundi 27 juillet 2009.
Rappelons qu'Aung San Suu Kyi, assignée à
résidence à son domicile à Rangoon depuis mai
2003, a été arrêtée jeudi 14 mai 2009, avec 2
de ses domestiques, par la junte militaire qui
l'a transférée à la prison d'Insein pour y
être jugée. Elle est accusée d'avoir
transgressé son assignation à résidence qui
lui interdit de recevoir des visites non
autorisées. Or, le 6 mai 2009, un vétéran
américain de la guerre du Vietnam, John Yettaw,
a traversé à la nage le lac Inya, pour
atteindre la maison d'Aung San Suu Kyi, qu'il
voulait rencontrer depuis longtemps. Celle-ci a
refusé de le recevoir et celui-ci est resté 2
jours devant chez elle. La junte militaire, au
pouvoir depuis 1962, a indiqué que le procès
d'Aung San Suu Kyi débuterait le 18 mai 2009.
Notons également que la Ligue nationale pour la
démocratie avait remporté en 1990 le scrutin
législatif qui n'avait pas été pris en compte
par la junte, au pouvoir depuis 1962, et qu'en
2003 les militaires au pouvoir avait annoncé un
programme de transition démocratique qui n'a pas
encore vu le jour. (lire l'édition de Fil-info-France
du mercredi 27 mai 2009) Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
SOMALIE : Le Haut
Commissariat des Nations Unies pour les
réfugiés (UNHCR) a
indiqué que selon ses estimations, 223 000
civils somaliens ont fui la capitale Mogadiscio
depuis le 7 mai 2009, à la suite de la
recrudescence des combats lancés par les groupes
miliciens Al-Shabaab et Hisb-ul-Islam contre les
forces gouvernementales dans plusieurs quartiers
de la capitale somalienne. Le UNHCR précise que
"l'insécurité croissante accroît les
difficultés auxquelles sont confrontés les
travailleurs humanitaires pour se rendre auprès
des toutes dernières victimes de la guerre
civile en Somalie et pour leur fournir une
assistance". Le UNHCR est "vivement
préoccupé par la situation tragique d'un grand
nombre de personnes déplacées internes ayant
trouvé refuge dans des sites de fortune où
règne une chaleur étouffante dans le corridor
d'Afgooye, au sud-ouest de la capitale. Ces sites
abritent plus de 400 000 déplacés internes
ayant été forcés à fuir leurs maisons lors de
précédents conflits. Les déplacés internes
vivent entassés sur une bande de terrain
surpeuplée disposant de peu voire d'aucun
équipement essentiel". Le HCR a appelé
"de nouveau l'ensemble des belligérants en
Somalie à respecter les principes du droit
international humanitaire et les droits de
l'homme, et à garantir la sûreté et la
sécurité de la population civile ainsi que des
travailleurs humanitaires qui tentent de venir en
aide aux victimes". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ? ** Le Comité
pour la protection des journalistes ((CPJ,
Committee to Protect Journalists)), dont le
siège est à New York aux Etats-Unis, a
dénoncé jeudi 23 juillet 2009 les atteintes de
plus en plus nombreuses à la liberté de la
presse au Somaliland, dans le nord-est de la
Somalie, à l'approche de l'élection
présidentielle prévue en septembre 2009.
Plusieurs journalistes ont été arrêtés en
juillet 2009.
NIGER : Le tribunal
de Niamey la capitale a
décrété illégale jeudi 23 juillet 2009 la
grève générale de 48 heures qui devait
débuter mercredi 22 juillet 2009, à l'appel de
7 centrales syndicales pour protester contre la
décision du président Mamadou Tandja d'organiser
un référendum, prévu le 4 août 2009 visant à
amender la Constitution afin de permettre au
président Mamadou Tandja de se présenter pour
un troisième mandat. Ce projet de référendum a
été rejeté lundi 25 mai par la Cour
Constitutionnelle pour inconstitutionnalité. Le
président Mamadou Tandja avait alors dissout
l'Assemblée nationale et signé un décret le 5
juin 2009 autorisant la tenue d'un référendum.
Mamadou Tandja s'est octroyé les pleins pouvoirs
vendredi 26 juin 2009, après le refus de la Cour
constitutionnelle d'avaliser son projet de
consultation sur une nouvelle Constitution devant
lui permettre de rester au pouvoir. Mamadou
Tandja, dont le mandat expire le 22 décembre
2009, a indiqué mercredi 22 juillet 2009 à la
Télévision d'Etat qu'il ne céderait pas à la
pression de la communauté internationale, qui
menace de sanctions s'il organise "son"
référendum, déclarant : "On veut que je
recule parce que l'opinion internationale veut
que je le fasse, mais je ne le ferai jamais
!". Il a ajouté que le Niger devait rester
un Etat "indépendant et souverain". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
MAURITANIE : Le Conseil
constitutionnel a confirmé jeudi 23 juillet 2009
la victoire du général Mohamed Ould Abdel Aziz,
chef de la junte militaire au pouvoir depuis le
le 6 août 2008, après un coup d'Etat militaire
qui a destitué le président démocratiquement
élu, en place depuis le 19 avril 2007, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdellahi, rejetant
les recours de 3 candidats de l'opposition qui
ont dénoncé des "fraudes massives".
Selon le Conseil constitutionnel, Mohamed Ould
Abdel Aziz a été élu dès le premier tour de
l'élection présidentielle du 18 juillet 2009
avec 52,47 % des voix. Peu avant cette annonce,
le chef de la Commission électorale nationale
indépendante (CENI), Sid'Ahmed Ould Deye, avait
démissionné de son poste estimant "selon
sa conscience", que "les plaintes que
j'ai reçues ainsi que les contenus des recours
adressés au Conseil constitutionnel ont semé le
doute dans mon esprit sur la fiabilité de ces
élections quant au fond".
SLOVAQUIE : Le Haut
Commissariat des Nations Unies pour les
réfugiés (UNHCR) a
annoncé mardi 21 juillet 2009 qu'un nouveau
centre de transit a été ouvert en Slovaquie
pour permettre de faire sortir 98 réfugiés
palestiniens du camp d'Al Walid situé dans le
désert près de la frontière entre l'Irak et la
Syrie où ils sont pris au piège depuis 6 ans.
Ils séjourneront dans le nouveau centre pour 6
mois, une période durant laquelle leur
réinstallation définitive dans d'autres pays
est organisée. Le UNHCR a précisé "avoir
pour objectif cette année de fermer les 3 camps
accueillant des réfugiés palestiniens qui
tentent de quitter l'Irak à cause de leurs
conditions de vie épouvantables". L'accord
sur le transfert humanitaire de 98 réfugiés
palestiniens depuis l'Irak vers les nouveaux
locaux du centre de transit situé à Humenne au
nord-est de la Slovaquie a été signé à
Bratislava, la capitale slovaque, lundi par le
HCR, le gouvernement slovaque et l'Organisation
internationale pour les migrations (OIM). Les 98
réfugiés devraient arriver fin août 2009 puis
ils seront transférés vers leurs pays de
réinstallation définitive. C'est le deuxième
centre de transit ouvert pour aider à la
réinstallation de réfugiés palestiniens depuis
l'Irak. Un autre centre ouvert en Roumanie
l'année dernière accueille des réfugiés
durant la période de finalisation de leur
réinstallation. Entre début 2008 et fin mai
2009, le HCR a présenté, à des fins de
réinstallation, les candidatures de 2 902
réfugiés palestiniens provenant de ces 3 camps,
dont 603 d'entre eux sont déjà partis pour
leurs pays de réinstallation et quelque 59
autres attendent en Roumanie leur réinstallation
définitive. Source : UNHCR Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations ?
FIL-INFO-FRANCE, LA CITATION DU JOUR : "Le
droit et la loi, telles sont les deux forces : de
leur accord naît l'ordre, de leur antagonisme
naissent les catastrophes". Victor Hugo
Extrait de "Actes et paroles"
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