- SOMMAIRE
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- Lewis
Libby, affaire Valerie Plame, justice, Irak : Lewis
Libby, ancien chef de cabinet de l'ancien
vice-président américain, Dick Cheney,
condamnation, 2 ans et demi de prison,
obstruction à la justice, faux témoignage,
parjure, fuite, presse, identité, agent CIA,
Valerie Plame
A gauche, Lewis Libby, à droite,
Dick Cheney
- Samedi
16 juin 2007 N°
1687/23083
- ETATS-UNIS
: Le juge fédéral au tribunal
fédéral de Washington, Reggie Walton, en charge
de l'affaire Valérie Plame, a ordonné jeudi 14
juin 2007 à Lewis Libby, ancien
responsable de la Maison
Blanche condamné à 2 ans et demi de
prison pour avoir menti à la justice, de se
présenter de lui-même à l'établissement qui
devrait lui être désigné dans les prochaines
semaines par les autorités pénitentiaires
fédérales afin d'y purger sa peine, sans
attendre l'issue de la procédure d'appel.
- Mercredi
6 juin 2007 N°
1678/23074
ETATS-UNIS : Lancien
chef de cabinet du vice-président américain
Dick Cheney, Lewis Libby, a été
condamné mardi à 2 ans et demi de prison et 250
000 dollars d'amende pour faux témoignage et
obstruction à la justice dans laffaire
Valerie Plame.
- Mercredi
7 mars 2007 N°
1600/22996
- ETATS-UNIS : Lewis Libby (photo),
56 ans, l'ancien chef de cabinet du
vice-président, Dick Cheney, a été
reconnu coupable mardi 6 mars 2007 par le
tribunal fédéral de Washington de 4 des 5 chefs
d'accusation portés à son encontre, dont
obstruction à la justice, faux témoignage et
parjure, dans le cadre de l'affaire sur la fuite
dans la presse de l'identité de l'agent de la CIA (Central
Intelligence Agency, service de renseignements
américains), Valery Plame. Lewis
Libby, qui a été maintenu en liberté, risque
jusqu'à 25 ans de prison. Il avait plaidé non
coupable, expliquant que "les inexactitudes
contenues dans ses témoignages n'étaient dues
qu'à sa mauvaise mémoire". Après le
verdict, le président George W. Bush a fait part
de sa tristesse, et Dick Cheney, qui avait
qualifié à la veille du procès son ancien bras
droit d'"homme le plus honnête (qu'il)
connaisse", s'est déclaré
"déçu" et "attristé". Le
sénateur démocrate de l'Illinois, Barack Obama,
a évoqué "un épisode honteux"
illustrant "ce qui arrive quand la politique
étrangère ou la sécurité nationale sont
perverties par les tactiques politiques et
l'idéologie".
- Chronologie
de l'affaire Valerie Plame :
Valery Plame est un
agent de la CIA (Central Intelligence
Agency, service de renseignements américains) et
la femme de Joseph Wilson, ancien
ambassadeur et ancien chargé d'affaires à
Bagdad, en Irak. Ce dernier avait accusé
publiquement, le 6 juillet 2003, dans une tribune
dans le "New York
Times", l'administration Bush
d'avoir déformé les informations du
renseignement pour exagérer la menace que
représente le régime de Saddam Hussein. Les 2
journalistes, Judith Miller et Matthew Cooper, du
"New York Times" et de "Time
magazine" refusent de communiquer leurs
sources dans l'enquête qui est ouverte pour
"déterminer si un responsable de la Maison
Blanche a divulgué à la presse l'appartenance
à la CIA de Valerie Plame, épouse d'un ancien
ambassadeur, Joseph Wilson". Révéler
l'identité d'un membre de la CIA est un acte
criminel aux Etats-Unis. L'infraction est
passible d'une peine maximale de 10 ans de
prison.
Emprisonnée depuis le 6 juillet 2005 dans le
centre de détention d'Alexandria, en Virginie,
pour avoir refusé de donner le nom de son
informateur en vertu de la protection des
sources, qui avait trahi l'identité d'une agente
de la CIA, Valerie Plame, épouse d'un ancien
ambassadeur, Joseph Wilson, la journaliste du
quotidien "New York Times", Judith
Miller, a finalement témoigné à huis clos,
vendredi 30 septembre 2005, devant une chambre
d'accusation, en échange de sa libération. Il
s'agit de Lewis Libby, directeur
de cabinet du vice-président Dick Cheney, qui
avait reçu et parlé avec la journaliste à
plusieurs reprises en juillet 2003. Judith Miller
affirme avoir accepté de témoigner après que
sa source l'eut déliée personnellement de son
obligation à la confidentialité. L'époux de
Valérie Palme a accusé la Maison-Blanche de
représailles à son encontre après qu'il ait
affirmé publiquement que l'ancien dictateur
irakien Saddam Hussein n'avait jamais cherché à
se procurer du minerai d'uranium en Afrique,
contrairement à ce que Washington prétendait.
Le 25 octobre 2005, Lewis Libby
démissionne de son poste.
Le 28 octobre 2005, Lewis Libby est inculpé pour
obstruction à la justice, faux témoignage et
parjure. S'il est reconnu coupable, il risque
jusqu'à 30 ans d'emprisonnement et 1,25 million
de dollars d'amende.
Le 3 novembre 2005, Lewis Libby est entendu par
un juge fédéral. Il doit répondre de cinq
chefs d'accusation, dont parjure, faux
témoignages et entrave à la justice. Il a
plaidé non coupable.
L'administration Bush a demandé mardi 14
novembre 2006 à un juge fédéral de rejeter la
plainte déposée en juillet 2006 par l'ancien
agent de la CIA (Central Intelligence Agency,
service de renseignements américains), Valerie
Plame et son mari, Joseph Wilson, ancien
ambassadeur des Etats-Unis au Gabon, contre le
vice-président Dick Cheney, l'ancien secrétaire
d'Etat adjoint Richard Armitage, le conseiller
politique de la Maison Blanche, Karl Rove, et
l'ancien chef de cabinet de Dick Cheney, Lewis
Libby, les accusant d'avoir dévoilé sa
couverture d'agent de la CIA, en fomentant
"un complot visant à discréditer,
sanctionner et se venger de" Joseph Wilson,
qui avait publiquement remis en question des
déclarations faites par le président George
Bush pour justifier la guerre en Irak. Pour le
Département d'Etat à la Justice, les
responsables visés par la plainte "peuvent
avec raison invoquer l'immunité", ajoutant
: "Le vice-président jouit d'une immunité
totale face aux demandes de dédommagements
civiles en relation avec des mesures prises dans
le cadre de son mandat".
Plus de trois ans et demi après la révélation
de l'identité d'agent de la CIA de Valerie
Plame, le procès s'ouvre à Washington mardi 16
janvier 2007.
L'affaire Lewis
Libby/Valerie Plame avec www.fil-info-france.com
- Jeudi 16
novembre 2006
N° 1505/22901
- ETATS-UNIS
: L'administration
Bush a demandé mardi 14 novembre 2006 à
un juge fédéral de rejeter la plainte
déposée en juillet 2006 par l'ancien
agent de la CIA (Central Intelligence
Agency, service de renseignements
américains), Valerie Plame et son mari,
Joseph Wilson, ancien ambassadeur des
Etats-Unis au Gabon, contre le
vice-président Dick Cheney, l'ancien
secrétaire d'Etat adjoint Richard
Armitage, le conseiller politique de la Maison Blanche,
Karl Rove, et l'ancien chef de cabinet de
Dick Cheney, Lewis Libby, les accusant
d'avoir dévoilé sa couverture d'agent
de la CIA, en fomentant "un complot
visant à discréditer, sanctionner et se
venger de" Joseph Wilson, qui avait
publiquement remis en question des
déclarations faites par le président
George Bush pour justifier la guerre en
Irak. Pour le Département d'Etat à la
Justice, les responsables visés par la
plainte "peuvent avec raison
invoquer l'immunité", ajoutant :
"Le vice-président jouit d'une
immunité totale face aux demandes de
dédommagements civiles en relation avec
des mesures prises dans le cadre de son
mandat". Révéler l'identité d'un
membre de la CIA est un acte criminel aux
Etats-Unis. Lire notre édition
du 12 novembre 2005. (Source
Fil-info-France)
- Vendredi 14
juillet 2006
N° 1398/22794
-
- ETATS-UNIS : Joseph
Wilson, ancien ambassadeur, opposant à
la guerre en Irak, et qui avait
publiquement dénoncé les justifications
de l'administration Bush pour entrer en
guerre, comme la vente d'uranium enrichi
du Niger à l'Irak, et Valerie Plame,
ancienne agent de la CIA (Central
Intelligence Agency, service de
renseignements américains) dont
l'identité a été révélée aux
médias, ont déposé plainte devant le
tribunal fédéral de Washington pour
violation de leurs droits
constitutionnels et de leur vie privée
contre Dick Cheney, son ancien chef de
cabinet Lewis Libby et Karl Rove, l'un
des principaux conseillers de George W.
Bush. Voir notre édition
du 3 octobre 2005 (Etats-Unis). (Source
Fil-info-France)
- Mercredi 14
juin 2006
N° 1372/22768
-
- ETATS-UNIS : Karl
Rove "génie de la politique",
lhomme de lombre du
président Bush qui est à ses côtés
depuis 20 ans, qui avait démissionné
mercredi 19 avril 2006 dans le cadre
"d'un remaniement" de l'équipe
présidentielle à l'approche des
élections parlementaires, accusé
d'avoir divulgué aux médias le nom d'un
agent de la CIA qui n'est autre que la
femme de Joseph Wilson, épouse de
l'ancien ambassadeur américain au Gabon,
Valérie Plame, que la CIA avait chargé
d'enquêter en Afrique sur les achats
d'uranium par Saddam Hussein, ne sera pas
inculpé. Le procureur spécial chargé
de l'affaire a décidé de ne porter
aucune accusation contre Karl Rove. Le
sénateur démocrate Charles Schumer a
exhorté le procureur à publier un
rapport détaillé pour expliquer sa
décision. Lire notre édition
du 29 octobre 2005
- Samedi 12
novembre 2005
N° 1189/22585
-
- ETATS-UNIS : La
journaliste du quotidien "New York Times",
Judith Miller, emprisonnée depuis le 6
juillet 2005 dans le centre de détention
d'Alexandria, en Virginie, pour avoir
refusé de donner le nom de son
informateur en vertu de la protection des
sources, qui avait trahi l'identité
d'une agente de la CIA, Valerie Plame,
épouse d'un ancien ambassadeur, Joseph
Wilson, et libérée le 29 septembre 2005
après avoir révélé ses sources,
(Lewis Libby, le directeur de cabinet du
vice-président américain Dick Cheney),
devant la Chambre d'accusation, a
annoncé qu'elle quittait son poste au
sein du "New York Times"
qu'elle occupe depuis 1977 "parce
qu'elle est devenue un sujet
d'actualité, ce qu'aucun journaliste du
"New York Times" ne veut"
a-t-elle indiqué dans une lettre
publiée jeudi 10 novembre 2005 dans le
quotidien. Voir notre édition
du 3 octobre 2005
(Source
Fil-info-France)
- Lundi 7
novembre 2005
N° 1184/22580
-
- ETATS-UNIS : Après
l'inculpation de
Lewis Libby, le
directeur de cabinet du vice-president
Dick Cheney, inculpé vendredi 4 novembre
2005 pour obstruction à la justice, faux
témoignage et parjure dans le cadre de
l'enquête sur la fuite dans la presse de
l'identité de l'agent de la CIA (Central
Intelligence Agency) Valerie Plame, et
qui a donné sa démission le 25 octobre
2005, le Président George W. Bush a
ordonné au personnel de la Maison
Blanche de revoir les règles d'éthique
notamment pour ce qui concerne les
informations classées secrètes. (Source
Fil-info-France)
- Vendredi 4
novembre 2005
N° 1182/22578
-
- ETATS-UNIS : Lewis
Libby, le directeur de cabinet du
vice-president Dick Cheney, inculpé
vendredi pour obstruction à la justice,
faux témoignage et parjure dans le cadre
de l'enquête sur la fuite dans la presse
de l'identité de l'agent de la CIA
(Central Intelligence Agency) Valerie
Plame, qui a donné sa démission le 25
octobre 2005, a été entendu jeudi par
un juge fédéral Il doit répondre de
cinq chefs d'accusation, dont parjure,
faux témoignages et entrave à la
justice. Il a plaidé non coupable. Il
encourt une peine maximale de 30 ans de
réclusion criminelle. Révéler
l'identité d'un membre de la CIA est un
acte criminel aux Etats-Unis. (Source
Fil-info-France)
- Mercredi 2
novembre 2005
N° 1180/22576
- ETATS-UNIS : Le
président George W. Bush et le chef du
gouvernement italien Silvio Berlusconi,
en visite officielle dans le pays, où il
a été reçu lundi par le Président
américain, ont annulé la conférence de
presse commune qui devait suivre leur
entretien lundi à Washington. Selon
"Le Messaggero",
l'annulation de la conférence de presse
vise à "éviter des questions
embarrassantes" à George Bush sur
l'affaire Valérie Plame, après
l'inculpation de Lewis Libby, directeur
de cabinet du vice-président Richard
Cheney, pour faux témoignage,
obstruction à la justice et parjure et
d'aborder la guerre en Irak. "La Repubblica"
et "Le Corriere della
Sera" précisent
que la déclaration conjointe qui devait
suivre la rencontre entre les 2
dirigeants est également supprimée. (Source
Fil-info-France)
- Samedi 29
octobre 2005
N° 1177/22573
- ETATS-UNIS
: Lewis Libby, (photo),
le directeur de cabinet du
vice-président Dick Cheney, inculpé
vendredi pour obstruction à la justice,
faux témoignage et parjure dans le cadre
de l'enquête sur la fuite dans la presse
de l'identité de l'agent de la CIA
(Central Intelligence Agency) Valerie
Plame, a donné sa démission. S'il est
reconnu coupable, il risque jusqu'à 30
ans d'emprisonnement et 1,25 million de
dollars d'amende. Lewis Libby est accusé
d'avoir menti sur le moment et la
manière dont il a appris l'identité de
Valérie Palme en 2003, avant de
révéler cette information classée top
secret à la presse. Le vice-président,
Dick Cheney, a indiqué que : "Dans
notre système politique, une personne
accusée est présumée innocente
jusqu'à ce que le contraire soit prouvé
par un jury une fois donnée l'occasion
de répondre aux accusations et après un
exposé complet des faits. M. Libby est
en droit d'en bénéficier". Voir notre édition
du 17 février 2005 (Source
Fil-info-France)
- Lundi 3
octobre 2005
N° 1154/22550
-
- ETATS-UNIS : Emprisonnée
depuis le 6 juillet 2005 dans le centre
de détention d'Alexandria, en Virginie,
pour avoir refusé de donner le nom de
son informateur en vertu de la protection
des sources, qui avait trahi l'identité
d'une agente de la CIA, Valerie Plame,
épouse d'un ancien ambassadeur, Joseph
Wilson, la journaliste du quotidien
"New York Times", Judith
Miller, a finalement témoigné à huis
clos, vendredi, devant une chambre
d'accusation, en échange de sa
libération. Révéler l'identité d'un
agent secret de la CIA est un acte
criminel aux Etats-Unis. L'infraction est
passible d'une peine maximale de 10 ans
de prison. Il s'agit de Lewis Libby,
directeur de cabinet du vice-président
Dick Cheney, qui avait reçu et parlé
avec la journaliste à plusieurs reprises
en juillet 2003. Judith Miller affirme
avoir accepté de témoigner après que
sa source l'eut déliée personnellement
de son obligation à la confidentialité.
L'époux de Valérie Palme a accusé la
Maison-Blanche de représailles à son
encontre après qu'il ait affirmé
publiquement que l'ancien dictateur
irakien Saddam Hussein n'avait jamais
cherché à se procurer du minerai
d'uranium en Afrique, contrairement à ce
que Washington prétendait. (Source
Fil-info-France)
- Mardi 28
juin 2005
N°
1071/22467
- ETATS-UNIS : La Cour suprême des
Etats-Unis a
refusé lundi 27 juin 2005 de se saisir
de l'affaire des 2 journalistes
américains, Judith Miller, du "New York Times"
et Matthew Cooper du "Time Magazine",
condamnés à 18 mois d'emprisonnement
pour avoir refusé de révéler leurs
sources dans une enquête relative à la
divulgation à la presse par un
responsable de la Maison Blanche
l'appartenance à la CIA
(Central Intelligence Agency, service de
renseignements américains) de Valerie
Plame, épouse d'un ancien ambassadeur,
Joseph Wilson. Révéler l'identité d'un
membre de la CIA est un acte criminel aux
Etats-Unis. Judith Miller s'est dite
"extrêmement déçue" par la
décision de la Cour suprême déclarant
: "Les journalistes ne peuvent pas
faire leur travail sans pouvoir s'engager
auprès de leurs sources qu'elles ne
seront pas identifiées. Une telle
protection est cruciale pour la liberté
de la presse dans une démocratie".
L'organisation de défense de la liberté
de la presse, Reporters sans Frontières,
a dénoncé une décision
"rétrograde et liberticide".
(Source
Fil-info-France)
- Jeudi 17
février 2005
N°
959/22355
- ETATS-UNIS : La
Cour fédérale de Washington a estimé
mardi que les 2 journalistes, Judith
Miller et Matthew Cooper, du "New York Times"
et de "Time magazine",
commettaient un outrage au tribunal en
refusant de coopérer avec la justice
argumentant "Il n'existe pas de
privilège découlant du premier
amendement (de la Constitution,
garantissant la liberté de la presse)
qui protège les éléments
recherchés" dans l'enquête. Ils
risquent chacun jusqu'à 18 mois de
prison. Leurs avocats ont indiqué qu'ils
feraient appel jusqu'à la Cour Suprême
si nécessaire. Les 2 journalistes se
sont dit prêts à aller en prison pour
défendre la liberté de la presse
déclarant : "Nous ne réclamons pas
un privilège extraordinaire. Seulement
l'équivalent de la clause de
confidentialité qui est accordée aux
psychiatres et au clergé parce que sans
ça, on ne peut pas travailler".
L'enquête, dans laquelle ces 2
journalistes sont appelés à révéler
leurs sources, "cherche à
déterminer si un responsable de la
Maison Blanche a divulgué à la presse
l'appartenance à la CIA de Valerie
Plame, épouse d'un ancien ambassadeur,
Joseph Wilson". Révéler
l'identité d'un membre de la CIA est un
acte criminel aux Etats-Unis.
L'organisation de défense de la liberté
de la presse, Reporters sans frontières
(RSF) a
estimé que la
décision compromettait le droit à
l'information des Américains :
"c'est le rôle de contre-pouvoir de
la presse qui est ici en cause. La
justice américaine doit comprendre que,
sans secret des sources garanti aux
journalistes devant les tribunaux, aucune
personne disposant d'informations
sensibles n'osera plus les leur
remettre". (Source
Fil-info-France)
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QUOTIDIEN
INDEPENDANT
( ! ) Liens en bleu
CONDITIONS
D'UTILISATION
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