-
SCANDALE DES
SUBPRIMES : La
Société générale visée par une
plainte de l'Agence fédérale
américaine de supervision des prêts
hypothécaires
Source quotidien international
francophone Fil-info-France
du samedi 3 septembre 2011
FRANCE
- SCANDALE DES SUBPRIMES - La Société
générale visée par une plainte de
l'Agence fédérale américaine de
supervision des prêts hypothécaires :
L'Agence fédérale américaine de
supervision des prêts hypothécaires,
FHFA, dont le siège est à Washington
aux Etats-Unis, a annoncé vendredi 2
septembre 2011, avoir déposé plainte
contre 17 banques dont la Société
générale.
Selon la plainte dont la rédaction du
quotidien international "Fil-info-France"
s'est procurée une copie, la FHFA
réclame des "dommages
compensatoires pour de fausses
déclarations et des négligences"
ayant entraîné un total des pertes
estimé à 41 milliards de dollars sur
des obligations rattachées aux
"subprimes". Les plaintes de la
FHFA visent "certains de leurs
dirigeants" et les "différents
souscripteurs même non affiliés".
Elles sont directement liées aux
difficultés rencontrées par les
établissements de prêts hypothécaires
"Fannie Mae" et "Freddie
Mac" aujourd'hui sous tutelle
américaine, nationalisés suite à
l'ampleur de la crise bancaire de 2008.
Une partie des pertes de "Fannie
Mae" et "Freddie Mac"
seraient "attribuables à de fausses
déclarations et autres actions
illégitimes" de ces
"banques" et de
"certains" dirigeants qui sont
"nommés" dans les plaintes.
Les pertes sur titres de la Société
générale dans cette nouvelle affaire
sont estimées à 1,3 milliards de
dollars. Les 17 banques visées sont : 1.
Ally Financial Inc f / k / a GMAC, LLC ;
Bank of America Corporation ; Barclays
Bank PLC ; Citigroup, Inc ; Countrywide
Financial Corporation ; Credit Suisse
Holdings (Etats-Unis), Inc ; Deutsche
Bank AG ; First Horizon National
Corporation ; General Electric Company ;
Goldman Sachs & Co. ; HSBC North
America Holdings, Inc ; JPMorgan Chase
& Co. ; Merrill Lynch & Co. /
First Franklin Financial Corp ; Morgan
Stanley ; Nomura Tenir America Inc ; La
Royal Bank of Scotland Group PLC et la
Société Générale. La FHFA, qui est
chargée de superviser le marché
hypothécaire américain, a déposé
plainte en vertu des "pouvoirs
généraux" qui lui sont conférés
par le ministère du Logement et de Loi
de relance économique de 2008 mise en
place sous la présidence de Barack Obama. A
la bourse de New York, vendredi 2
septembre 2011, Wall Street
(New York Stock Exchange), l'indice du
secteur bancaire KBW (Keefe, Bruyette
& Woods, Inc)
accusait - 4,28 %. Les titres des 3 des
principales banques américaines visées
par la plainte de la FHFA reculaient,
Bank of America - 8,34 %, JP Morgan Chase
4,6 % et Goldman Sachs 4,55 %. Plus de
détails : Visées par des
rumeurs de faillites, les banques
françaises, le CAC 40 et la bourse ont
encore chuté ; "Ouvrons les
yeux : l'euro et l'Europe sont au bord du
gouffre" dixit Jacques Delors ; François Rebsamen,
sénateur-maire de Dijon, rattrapé par
le scandale DEXIA ! ; Le déficit
budgétaire de la France s'est dégradé
sur le premier trimestre 2011 ; Dette
et déficits de la France de 1981 à 2010,
de François Mitterrand à Nicolas
Sarkozy ; Soldes
des administrations publiques et dette
publique de 1999 à 2010
marqués par Nicolas Sarkozy ; Quelles
sont les différences entre le déficit
budgétaire et la dette de l'Etat ? ;
EUROPE EN FAILLITE - 2ème
plan d'aide à la Grèce : 135 ou 160
milliards d'euros ? ; Le pouvoir d'achat
en vidéo selon Nicolas Sarkozy ;
(2010) La France en
faillite et déficit records ; Ministère de
l'Economie, des Finances et de
l'Industrie
dirigé par François Baroin. Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations Fil-info-France
Source quotidien international
francophone Fil-info-France
du jeudi 11 août 2011
FRANCE
- BOURSE
KRACH
- Visées
par des rumeurs de faillites, les banques
françaises, le CAC 40 et la bourse ont
encore chuté : "Vu la
gravité de la situation
économique", Marine Le Pen,
Présidente du Front national, a
annoncé mercredi 10 août 2011,
"avoir interrompu ses vacances pour
tenir une conférence de presse
exceptionnelle portant sur la crise"
jeudi 11 août 2011. Sur fond de rumeurs
de faillite de la banque privée
Société générale, Nicolas Sarkozy,
président de la République, a
également mis un terme à ses congés
pour convoquer à Paris, au Palais de l'Elysée,
mercredi 10 août 2011, une réunion de
travail sur la "situation
économique et financière" de la
France. Etaient présents, François Fillon, Premier
ministre, Alain Juppé,
ministre d'Etat, ministre des Affaires
étrangères et européennes, François Baroin
ministre de l'Economie, des Finances et
de l'Industrie, Valérie Pécresse
ministre du Budget, des Comptes publics
et de la Réforme de l'Etat, porte-parole
du Gouvernement, Jean Léonetti
ministre auprès du ministre d'Etat,
ministre des Affaires étrangères et
européennes, chargé des Affaires
européennes, Thierry Mariani
ministre auprès de la ministre de
l'Ecologie, du Développement durable,
des Transports et du Logement, chargé
des Transports et Christian Noyer,
gouverneur de la Banque de France.
Cette rumeur, alors que Wall Street
(New York Stock Exchange) a également
complètement replongé dans le rouge
mercredi 10 août 2011 en clôturant à -
5 %, a déclenché à Paris, un krach des
valeurs bancaires, c'est-à-dire une
chute brutale des cours. Le titre
Société Générale a chuté de plus de
20,60 % à 20,66 euros vers 16 heures.
Une autre rumeur, encore plus grave,
concernait la dégradation de la note de
la dette française, actuellement AAA. En
cause, le montant de la dette publique de
la France qui a atteint un niveau record
à la fin du 3ème trimestre 2011, 1
457,4 milliards deuros, soit +
29,40 milliards par rapport à fin juin
2010, représentant 75,80 % du PIB. Mais
malgré ces mauvais chiffres, les agences
de notations Moody's et
Fitch
ont réaffirmé la note de la France AAA.
Ce sont donc des rumeurs de marchés qui
indiquaient le contraire qui ont
contribué à faire chuter les valeurs de
plusieurs banques françaises. Et toutes
les valeurs du CAC 40 ont terminé dans
le rouge. La Bourse de Paris, Euronext, a
terminé mercredi 10 août 2011 à - 5,45
%. Mardi 9 août 2011, Jean-Claude Trichet,
gouverneur de la BCE, Banque centrale
européenne,
avait tenu des propos très peu
rassurants à Francfort en Allemagne.
Interrogé sur Europe1, il avait
déclaré avec gravité que
"cest la crise la plus grave
depuis la deuxième guerre
mondiale". Tout a commencé par une
décision sans précédent dans
l'histoire de l'économie mondiale,
vendredi 5 août 2011, quand l'agence de
notation Standard &
Poor's a abaissé la note
de la dette américaine de
"AAA" à "AA+". Cette
décision fait suite aux tergiversations
sur le relèvement de la dette publique
américaines où une solution politique
n'a été trouvée que 10 heures
seulement avant l'échéance du mardi 2
août 2011. Rappelons que cette dette
américaine était de 14 343 milliards de
dollars pour un plafond dépassé le
lundi 16 mai 2011 et fixé à 14 290
milliards, soit presque 100 % du PIB. Les
élus démocrates et
républicains
américains se sont affrontés jusqu'à
la dernière limite, face au président Barack Obama et
au Tea Party,
qui accuse l'administration américaine
d'entraîner l'Amérique vers un "Armagedon fiscal".
Et c'est en Israël, à la bourse de Tel Aviv
où tout s'est déclenché le dimanche 7
août 2011 comme le rapporte le quotidien
Fil-info-France
dans son édition du lundi 8 août 2011. A
tel point que ce même lundi, la bourse
de Tel Aviv en chute libre a dû fermer
pendant une heure. Puis, mardi 9 août
2011 à Washington, c'est l'annonce très
attendue du président de la FED, la Réserve fédérale
américaine, Ben S. Bernanke,
qui a confirmé le ralentissement de
l'économie tout en promettant des taux
exceptionnellement bas pendant 2 ans.
Cela est interprété comme un risque
possible de récession par les marchés.
En Europe, l'inquiétude des marchés en
zone euro est apparue fin juillet 2011
avec la seconde aide à la
Grèce accordé par l'Union
européenne
d'un montant de 158 milliards d'euros,
alors qu'il était déjà de 110
milliards d'euros en 2010. Des sommes
jugées toujours insuffisantes par les
marchés. La zone euro comprend les 17
pays de lUnion européenne qui ont
introduit leuro depuis 1999. La
BCE, qui est la banque centrale en charge
de la monnaie unique européenne,
leuro, et qui a pour mission
principale de maintenir la stabilité des
prix au sein de la zone euro, a élargi
son programme de rachat de dette à
l'Italie et l'Espagne. Rachats également
jugés insuffisants par les marchés.
Enfin, Nicolas Sarkozy est retourné en
fin d'après-midi, mercredi 10 août
2011, en vacances chez sa belle-famille
italienne propriétaire d'une célèbre villa au Cap Nègre,
dans le Var. Aux Etats-Unis, la Maison Blanche a
annoncé que Barack Obama n'avait pas
l'intention d'écourter ses vacances
d'été 2011 pour cause de crise de la
dette et des pertes sur les marchés
financiers mondiaux. En clôture Wall
Street, mercredi 10 août 2011, le Nasdaq
affichait - 4,09 % et l'indice Dow Jones
- 4,63 %. Pour terminer, selon des
analystes de Dexia,
cités par le quotidien économique
français "Les Echos", le
montant des pertes enregistrés en Bourse
aux Etats-Unis et en Europe entre les
chutes du vendredi 5 août 2011 et du
lundi 8 août 2011, est de plus de 900
milliards d'euros. Sur 7 mois, la facture
boursière atteint 3 400 milliards
d'euros, soit un tiers du PIB des
Etats-Unis. En clair, près de 3 500
milliards d'euros ont changé de mains.
Plus de détails : Europe en faillite
- 2ème plan d'aide à la Grèce : 135 ou
160 milliards d'euros ? ; Mécanisme
européen de stabilisation financière ;
archives Fil-info-France : La France en
faillite, déficit record : 1 457,40
milliards deuros ; Le pouvoir d'achat
des Français vu par Nicolas Sarkozy,
avant et après son élection Blogger,
webmaster : Conditions
d'utilisations Fil-info-France
Lien permanet : http://www.fil-info-france.com/societe_generale_subprimes_plainte_aux_etats-unis_fhfa.htm
LIVRE : Sélection du livre de Shlomo
Sand, historien israélien spécialisé
dans l'histoire contemporaine.
Comment le
peuple juif fut inventé ?
-
SOS-Reporters
: Liberté d'expression et
liberté d'opinion sans frontière !
LIBERTE
D'EXPRESSION ET D'OPINION, DROITS :
Rappel des
droits ( textes ) fondamentaux :
A - "Tout
individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit
de ne pas être inquiété pour ses
opinions et celui de chercher, de
recevoir et de répandre, sans
considération de frontière, les
informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit"
- Article 19 de la Déclaration
universelle des droits de l'homme
Déclaration internationale des droits de
l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10
décembre 1948.
B -
"Toute personne a droit à la
liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de
recevoir ou de communiquer des
informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir ingérence d'autorités
publiques et sans considération de
frontières."
- Article 11-1 de la "Charte des
droits fondamentaux de l'Union
européenne".
2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000.
C -
"La libre communication des pensées
et des opinions est un des droits les
plus précieux de l'Homme : tout Citoyen
peut donc parler, écrire, imprimer
librement, sauf à répondre de l'abus de
cette liberté dans les cas déterminés
par la Loi."
- Article 11 de la Déclaration
des Droits de l'homme et du citoyen du 26
août 1789.
-
Bon surf !
Happy surfing!
-
|