CRIME RACISTE : Le
vigile de Bobigny retrouvé mort noyé.
Source quotidien international
francophone Fil-info-France daté du samedi 3 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du lundi 5 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du mardi 6 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du mercrerdi 7 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du mercrerdi 9 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du samedi 10 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du lundi 12 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du mardi 13 avril 2010
Source quotidien international francophone
Fil-info-France daté du samedi 17 avril 2010

Saïd Bourarach et son chien.
FRANCE : CRIME
RACISTE : L'un des 4
Franco-Israéliens impliqué dans le meurtre Saïd Bourarach, vigile à
Bobigny en Seine-Saint-Denis, retrouvé mort
noyé le 31 mars 2010 dans le canal de l'Ourcq, a
été remis en liberté sous contrôle
judiciaire. Plusieurs demandes de remise en
liberté ont été déposées par les avocats des
mis en examen. Le ou les auteurs et complices
présumés sont déjà connus des services de
police pour "violence" et "usage
de stupéfiants". C'est la découverte d'un passeport israélien dans le
véhicule de l'un des 6 meurtriers présumés du
vigile qui a permis leur arrestation rapide. Un
dernier hommage a été rendu en France, vendredi
16 avril 2010, à Saïd Bourarach, à la mosquée
d'Epinay-sur-Seine, près de la gare de
Villetaneuse. Saïd Bourarach reposera à Berkane
dans le Maroc oriental. Ce dernier hommage
religieux "salat al ghaïb" (NDLR. la
prière de l'absent) a été organisé par l'Union des
associations musulmanes de la Seine-Saint-Denis UAM93
présidée par Hassen Farsadou en présence de la
famille de la victime. "Lorsque j'ai su que
c'était des Juifs, ils m'ont fait honte. Ce sont
des salauds qui ont fait ça, ce sont des
bandits. (...) Ce sont des gens qui méritent
d'être punis très sévèrement, on fera tout
pour que ça soit fait. Il faudra qu'ils payent.
Ils déshonorent non seulement notre communauté,
ils déshonorent l'homme et l'être humain",
a accusé Sammy Ghozlan, commissaire
de police honoraire, président du Conseil des
Communautés Juives UCCJ d'Ile-de-France et de
Saint Denis 93, président du Bureau National de
Vigilance Contre l'Antisémitisme BNVCA éditeur
de sosantisemitisme.org. La communauté
juive de France reste sous le choc après
l'implication de Juifs dans la mort du vigile
Saïd Bourarach. Gilles Bernheim,
Grand rabbin de France, avait adressé ses
condoléances à la famille de Saïd Bourarach,
36 ans d'origine marocaine, maître-chien, vigile
à Baktor à Bobigny,
retrouvé mort noyé mercredi 31 mars 2010 dans
le canal l'Ourcq, après avoir été frappé à
plusieurs reprises par une bande de 6 jeunes
Juifs. Le chien de Saïd Bourarach, menacé
d'être tué par ses agresseurs, s'était jeté
à l'eau pour secourir son maître. L'animal a
été repêché par des employés du magasin. Un
des assaillants ayant dit avoir vu ressortir
Saïd Bourarach de l'autre côté du canal,
aucune recherche n'a alors été effectuée au
soir du mardi 30 mars 2010. Retrouvé mort le
lendemain, Saïd Bourarach était père d'un
garçon de 3 ans. Le Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF et la Ligue
Contre le Racisme et l'Antisémitisme LICRA, sous
convention-cadre avec l'Etat, présidée par
l'avocat lyonnais Alain Jakubowicz, n'ont
toujours pas réagi au meurtre de Saïd
Bourarach. Seule, l'Union Juive
Française pour la Paix UJFP avait
dénoncé le lundi 12 avril 2010 "un silence assourdissant"
déplorant l'absence "totale de
communication et d'information à tous les
niveaux, médias, police, préfecture ,
justice". Plus de détails : CRIME RACISTE : Le vigile de Bobigny
retrouvé mort noyé Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ** DIPLOMATIE
: Cheikh Nasser Mohammed Al Ahmed
Al-Sabah, Premier ministre de l'Etat du
Koweït, a effectué vendredi 16 avril 2010 une
visite officielle à Paris, à l'invitation du
premier ministre François Fillon. Le
premier ministre de l'Etat du Koweït a eu des
entretiens avec le président de la République, Nicolas Sarkozy, qui a
exprimé le souhait de la France de coopérer
avec le Koweït en matière de nucléaire civil,
et a présenté à Cheikh Nasser la qualité
sécuritaire du réacteur EPR (European Pressurised
Reactor) proposé par le groupe français
Areva. Le projet de vente de 28 avions de combat français Rafale au Koweït
a été évoqué. Plusieurs accords dans le
domaine du développement des utilisations
pacifiques de l'énergie nucléaire, du
développement durable et sur l'organisation de
consultations bilatérales entre ministères des
Affaires étrangères, ont été signés. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
FRANCE : CRIME
RACISTE : Première
réaction lundi 12 avril 2010 d'une importante
organisation juive dans l'affaire Saïd Bourarach, vigile
retrouvé mort noyé le 31 mars 2010 dans le
canal de l'Ourcq. L' Union
Juive Française pour la Paix UJFP écrit :
"Sur le meurtre de Saïd Bourarach : Un
silence assourdissant !" : "Voici
bientôt 2 semaines que Said Bourarach a été
passé à tabac et noyé dans le canal de
lOurcq. Les 6 personnes arrêtées (2 ont
été relâchées en fin de garde à vue) se sont
présentées comme juives, un passeport
israélien a été trouvé sur les lieux du
crime. Il semble difficile dexclure toute
idée de guet-apens à caractère criminel et
raciste. Dailleurs tous les prévenus ont
affirmé pour se défendre que la victime avait
proféré des propos antisémites, situant
demblée sur le terrain du racisme
communautaire ce qui venait de se passer. Certes
il faut considérer que la police fait son
travail et que lenquête est en cours. On
pourrait même accepter la prudence et la
discrétion sur une affaire 'sensible', cependant
labsence totale de communication et
dinformation à tous les niveaux, médias,
police, préfecture, justice, ne peut que nous
interpeller alors que se posent daussi
graves questions. En effet sur le fond
dexclusion, de suspicion permanente, de
racisme quotidien encouragé par des propos
insultants tenus par des ministres, de bavures
policières meurtrières, de soi disant débat
sur lidentité nationale chargé
denvenimer lespace public, dans un
tel contexte ne pas interroger la nature raciste
du meurtre, imposer un bâillon sur les questions
légitimes qui se posent ne peut
quéveiller la suspicion. Que personne, du
plus haut niveau de lEtat, de la justice,
de la préfecture, de la police, de la
municipalité, ne juge important de préciser
publiquement que toute la lumière sera faite sur
tous les aspects de cette affaire, que sil
y a eu acte raciste il sera puni de façon
exemplaire, ni même dexprimer sa simple
sympathie avec la famille de la victime,
constitue une véritable provocation. De plus
force est de constater que tous les précédents
dont les victimes étaient juives, ont par contre
suscité dimmédiates et nombreuses
réactions de toute la classe politique, avec un
relais médiatique extraordinaire. Chacun se
souvient de la ruée générale sur les micros
pour des affaires à apparences criminelles et
racistes anti juives, avant même davoir pu
vérifier le moindre fond, ou attendu le début
dune enquête, comme dans la triste affaire du RER ou de
lincendie du foyer social juif, pour
assurer la communauté juive du total soutien et
de la totale sympathie de la République, et
promettre des sanctions exemplaires. Ce
traitement politique et médiatique si
différencié selon les appartenances, ne peut
quencourager les réactions communautaires
quil prétend combattre, envenimer un
profond sentiment dinjustice de 'deux poids
deux mesures' sagissant de Juifs ou
dArabes, et est de nature à allumer le
feu. Il ne peut que cultiver un sentiment de
frustration et de colère chez ceux qui sont
toujours les présumés coupables, de racisme, de
communautarisme, de violence sociale dont ils
sont en réalité les principales victimes. Et si
la colère devait exploser, serait-il alors
opportun de hurler au banditisme, et au racisme
...arabe ? LUJFP tient à manifester à
nouveau sa plus profonde sympathie à la famille
de Saïd Bourarach, et se tiendra aux côtés de
tous ceux qui exigent la vérité et la justice
sur Said, de tous ceux pour qui légalité
et la justice sont le seul garant possible du
vivre ensemble". Le Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF et la Ligue
Contre le Racisme et l'Antisémitisme LICRA, sous
convention-cadre avec l'Etat, présidée par
l'avocat lyonnais Alain Jakubowicz, n'ont
toujours pas réagi au meurtre de Saïd
Bourarach. La Ligue de défense juive LDJ, a
qualifié de "charognards" les
participants de la marche du samedi 10 avril 2010
qui s'est tenue à 15 heures à Paris, de la
Place de la République vers la Bastille, en
mémoire de Saïd Bourarach. NDLR. La maire de
Bobigny, Catherine Peyge, a refusé
qu'une minute de silence soit observée au sein
de l'administration communale au lendemain du
drame, selon une source syndicale. Plus de
détails : CRIME RACISTE : Le vigile de Bobigny
retrouvé mort noyé Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
FRANCE : CRIME
RACISTE : "On va te tuer" ;
"on va tuer ta chienne", aurait dit
l'un des agresseurs de Saïd Bourarach, vigile
retrouvé mort noyé le 31 mars 2010 dans le
canal de l'Ourcq, a précisé un témoin direct
de la scène. Selon ce témoin qui dit avoir
été considéré avec mépris par des agents de
la Police nationale arrivés
sur place, la veille, le 30 mars 2010, "il y
aurait un témoin direct du meurtre" qui se
trouvait de l'autre côté du canal. Abdelkader
Bourarach, le frère de Saïd, a rappelé que
"Saïd savait parfaitement nager"
précisant "avoir lhabitude de se
baigner ensemble dans lOued au pays
(Maroc)". Une nouvelle autopsie du corps du
vigile sera pratiquée en raison d'une demande de
la famille Bourarach d'une contre-expertise
médicale. Samedi 10 avril 2010 à 15 heures à
Paris, de la Place de la République vers la
Bastille, en l'absence de très nombreux
journalistes, ministres (aucun) ou personnalités
politiques et syndicales, a eu lieu une marche
silencieuse en mémoire du vigile de Bobigny, Saïd Bourarach, retrouvé
mort noyé le 31 mars 2010 dans le canal de
l'Ourcq. Ce geste de mémoire a été organisé
par l'Union des associations musulmanes de
la Seine-Saint-Denis UAM93
présidée par Hassen Farsadou, en accord avec la
famille de la victime qui réclame "justice
et vérité sur la mort de Saïd Bourarach".
Selon sa veuve, la société Baktor à Bobigny,
qui employait Saïd Bourarach, refuse de
considérer ce fait divers - la mort d'un vigile
- comme un accident du travail. Alima Boumediene-Thiery,
sénatrice de Paris du parti Les Verts,
présente, a condamné le "2 poids 2 mesures
du traitement médiatico-politique qui n'existe
que dans notre pays" alors que nous
"avions condamné le crime de l'affaire Ilan Halimi".
C'est la découverte d'un passeport israélien dans le
véhicule de l'un des 6 meurtriers présumés du
vigile qui a permis leur arrestation rapide.
"Lorsque j'ai su que c'était des Juifs, ils
m'ont fait honte. Ce sont des salauds qui ont
fait ça, ce sont des bandits. (...) Ce sont des
gens qui méritent d'être punis très
sévèrement, on fera tout pour que ça soit
fait. Il faudra qu'ils payent. Ils déshonorent
non seulement notre communauté, ils déshonorent
l'homme et l'être humain", a accusé Sammy Ghozlan, commissaire
de police honoraire, président du Conseil des
Communautés Juives UCCJ d'Ile-de-France et de
Saint Denis 93, président du Bureau National de
Vigilance Contre l'Antisémitisme BNVCA éditeur
de sosantisemitisme.org. La communauté
juive de France reste sous le choc après
l'incarcération de 4 des 6 Juifs samedi 3 avril
2010 impliqués dans la mort du vigile Saïd
Bourarach. Gilles Bernheim,
Grand rabbin de France, avait adressé ses
condoléances à la famille de Saïd Bourarach,
36 ans d'origine marocaine, maître-chien, vigile
à Baktor à Bobigny,
retrouvé mort noyé mercredi 31 mars 2010 dans
le canal l'Ourcq, après avoir été frappé à
plusieurs reprises par 6 jeunes Juifs, dont
plusieurs sont connus des services de police pour
"violence" et "usage de
stupéfiants". Le chien de Saïd Bourarach, menacé
d'être tué par ses agresseurs, s'était jeté
à l'eau pour secourir son maître. L'animal a
été repêché par des employés du magasin. Un
des assaillants ayant dit avoir vu ressortir
Saïd Bourarach de l'autre côté du canal,
aucune recherche n'a alors été effectuée au
soir du mardi 30 mars 2010. Retrouvé mort le
lendemain, Saïd Bourarach était père d'un
garçon de 3 ans. La Ligue de défense juive LDJ, qui a
qualifiée de "charognards" les
participants de la marche de samedi en mémoire
de Saïd Bourarach, avait déclaré qu'il fallait
"attendre de connaître les résultats de
lenquête policière, d'autant que
l'autopsie réalisée montre que la victime est
morte de noyade et en aucun cas des suites de
coups". La LDJ précise que " le fait
que sa veste ait été retrouvée sèche sur le
bord du canal semble écarter lhypothèse
selon laquelle il a été jeté volontairement
dans leau". "De ce fait, il est
stérile dincriminer telle ou telle
communauté ou de présenter des excuses alors
que la vérité nest pas encore
connue", conclut la Ligue de défense juive.
L'information est toujours passée sous silence
par les principaux médias et moteurs de
recherche. Seule, l'AFP a diffusé plusieurs
dépêches évoquant "une altercation avec
un client" ; "une dispute" ;
"une course poursuite entre le vigile et le
client, qui avait appelé 3 hommes en
renfort" et "un vigile décédé par
noyade, selon l'autopsie". Le Mouvement
contre le Racisme et pour l'Amitié entre les
Peuples MRAP a demandé mardi 7 avril
2010 le retrait sur internet d'une vidéo
intitulée "Stop sionisme"
accusant "6 sionistes d'avoir tué Said,
vigile à Bobigny". Cette vidéo qui
"établit une relation entre le fait d'être
Juif, sioniste, et meurtrier peut sans
contestation possible être qualifiée
d'antisémite". "Elle est de plus
totalement illégale" en France, accuse le
MRAP. Le Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF et la Ligue
Contre le Racisme et l'Antisémitisme LICRA, sous
convention-cadre avec l'Etat, présidée par
l'avocat lyonnais Alain Jakubowicz, n'ont
toujours pas réagi au meurtre de Saïd
Bourarach. Plus de détails : CRIME RACISTE : Le vigile de Bobigny
retrouvé mort noyé Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
FRANCE : CRIME
RACISTE : Ce samedi 10 avril 2010 à 15
heures à Paris, de la Place de la République
vers la Bastille, aura lieu une marche
silencieuse en mémoire du vigile de Bobigny, Saïd Bourarach, retrouvé
mort noyé le 31 mars 2010 dans le canal de
l'Ourcq. Ce geste de mémoire est organisé par
l'Union des associations musulmanes de
la Seine-Saint-Denis UAM93
présidée par Hassen Farsadou, en accord avec la
famille de la victime qui réclame "justice
et vérité sur la mort de Saïd Bourarach".
C'est la découverte d'un passeport israélien (photo) dans le
véhicule de l'un des 6 meurtriers présumés du
vigile qui a permis leur arrestation rapide.
"Lorsque j'ai su que c'était des Juifs, ils
m'ont fait honte. Ce sont des salauds qui ont
fait ça, ce sont des bandits. (...) Ce sont des
gens qui méritent d'être punis très
sévèrement, on fera tout pour que ça soit
fait. Il faudra qu'ils payent. Ils déshonorent
non seulement notre communauté, ils déshonorent
l'homme et l'être humain", a accusé Sammy Ghozlan, commissaire
de police honoraire, président du Conseil des
Communautés Juives UCCJ d'Ile-de-France et de
Saint Denis 93, président du Bureau National de
Vigilance Contre l'Antisémitisme BNVCA éditeur
de sosantisemitisme.org. La communauté
juive de France reste sous le choc après
l'incarcération de 4 des 6 Juifs samedi 3 avril
2010 impliqués dans la mort du vigile Saïd
Bourarach. Gilles Bernheim,
Grand rabbin de France, avait adressé ses
condoléances à la famille de Saïd Bourarach,
36 ans d'origine marocaine, maître-chien, vigile
à Baktor à Bobigny,
retrouvé mort noyé mercredi 31 mars 2010 dans
le canal l'Ourcq, après avoir été frappé à
plusieurs reprises par 6 jeunes Juifs, dont
plusieurs sont connus des services de police pour
"violence" et "usage de
stupéfiants". Le chien de Saïd Bourarach, menacé
d'être tué par ses agresseurs, s'était jeté
à l'eau pour secourir son maître. L'animal a
été repêché par des employés du magasin. Un
des assaillants ayant dit avoir vu ressortir
Saïd Bourarach de l'autre côté du canal,
aucune recherche n'a alors été effectuée au
soir du mardi 30 mars 2010. Retrouvé mort le
lendemain, Saïd Bourarach était père d'un
garçon de 3 ans. La Ligue de défense juive LDJ, avait
déclaré qu'il fallait "attendre de
connaître les résultats de lenquête
policière, d'autant que l'autopsie réalisée
montre que la victime est morte de noyade et en
aucun cas des suites de coups". La LDJ
précise que " le fait que sa veste ait
été retrouvée sèche sur le bord du canal
semble écarter lhypothèse selon laquelle
il a été jeté volontairement dans
leau". "De ce fait, il est
stérile dincriminer telle ou telle
communauté ou de présenter des excuses alors
que la vérité nest pas encore
connue", conclut la Ligue de défense juive.
L'information est passée sous silence par les
principaux médias et moteur de recherche. Le Mouvement
contre le Racisme et pour l'Amitié entre les
Peuples MRAP a demandé mardi 7 avril
2010 le retrait sur internet d'une vidéo
intitulée "Stop sionisme"
accusant "6 sionistes d'avoir tué Said,
vigile à Bobigny". Cette vidéo qui
"établit une relation entre le fait d'être
Juif, sioniste, et meurtrier peut sans
contestation possible être qualifiée
d'antisémite". "Elle est de plus
totalement illégale" en France, accuse le
MRAP. Le Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF et la Ligue
Contre le Racisme et l'Antisémitisme LICRA, sous
convention-cadre avec l'Etat, n'ont toujours pas
réagi au meurtre de Saïd Bourarach. Plus de
détails : CRIME RACISTE : Le vigile de Bobigny
retrouvé mort noyé Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ** JUMELAGE PARIS TEL AVIV
: Paris, capitale
de la France, est désormais jumelée avec Tel
Aviv, la capitale de l'Etat d'Israël. Mercredi 7
avril 2010, Bertrand Delanoë, maire socialiste
de Paris, a signé un pacte damitié
et de coopération avec Ron Huldaï, maire
de Tel-Aviv, capitale de l'Etat juif. Le jumelage
Paris-Tel-Aviv, prévoit "d'intensifier les
échanges entre les citoyens, les élus, les
structures culturelles et les administrations
municipales des deux villes. Il porte sur
les transports et lurbanisme dans le cadre
du développement durable, sur les technologies
de linformation et de la communication, le
patrimoine, les logement sociaux ainsi que, dans
le secteur culturel, le design, le cinéma et
larchitecture. Le système des Vélibs, vélos en
libre service, sera mis en place rapidement à
Tel-Aviv. NDLR. La promenade Ben Gourion, à la
mémoire du sioniste et "père de l'Etat
d'Israël", sera inaugurée le 13 avril 2010
en présence de Rachida Dati, ex-Garde
des Sceaux et maire du 7e arrondissement, et de
Shimon Pérès, président de l'Etat d'Israël.
FRANCE : CRIME
RACISTE : Une marche silencieuse en mémoire
du vigile de Bobigny, Saïd
Bourarach, retrouvé mort noyé le 31 mars 2010
dans le canal de l'Ourcq, aura lieu le samedi 10
avril 2010 à 15 heures à Paris, de la Place de
la République vers la Bastille. Ce geste de
mémoire est organisé par l'Union des
associations musulmanes de la Seine-Saint-Denis UAM93
présidée par Hassen Farsadou, en accord avec la
famille de la victime qui réclame "justice
et vérité sur la mort de Saïd Bourarach".
C'est la découverte d'un passeport israélien dans le
véhicule de l'un des 6 meurtriers présumés du
vigile qui a permis leur arrestation rapide.
"Lorsque j'ai su que c'était des Juifs, ils
m'ont fait honte. Ce sont des salauds qui ont
fait ça, ce sont des bandits. (...) Ce sont des
gens qui méritent d'être punis très
sévèrement, on fera tout pour que ça soit
fait. Il faudra qu'ils payent. Ils déshonorent
non seulement notre communauté, ils déshonorent
l'homme et l'être humain", a accusé Sammy Ghozlan, commissaire
de police honoraire, président du Conseil des
Communautés Juives UCCJ d'Ile-de-France et de
Saint Denis 93, président du Bureau National de
Vigilance Contre l'Antisémitisme BNVCA éditeur
de sosantisemitisme.org. La communauté
juive de France reste sous le choc après
l'incarcération de 4 des 6 Juifs samedi 3 avril
2010 impliqués dans la mort du vigile Saïd
Bourarach. Gilles Bernheim,
Grand rabbin de France, avait adressé ses
condoléances à la famille de Saïd Bourarach,
36 ans d'origine marocaine, maître-chien, vigile
à Baktor à Bobigny,
retrouvé mort noyé mercredi 31 mars 2010 dans
le canal l'Ourcq, après avoir été frappé à
plusieurs reprises par 6 jeunes Juifs, dont
plusieurs sont connus des services de police pour
"violence" et "usage de
stupéfiants". Le chien de Saïd Bourarach,
menacé d'être tué par ses agresseurs, s'était
jeté à l'eau pour secourir son maître.
L'animal a été repêché par des employés du
magasin. Un des assaillants ayant dit avoir vu
ressortir Saïd Bourarach de l'autre côté du
canal, aucune recherche n'a alors été
effectuée au soir du mardi 30 mars 2010.
Retrouvé mort le lendemain, Saïd Bourarach
était père d'un garçon de 3 ans. L'accusation
d'injures "antisémites" proférées
par la victime a été rejetée, suite à
l'audition de témoins, par la procureure de la
République de Bobigny, Sylvie Moisson. Pourtant
la thèse de l'antisémitisme a été largement
reprise par tous les médias et le Grand rabbin
de France, Gilles Bernheim, a déclaré :
"En tout état de cause, des insultes ne
peuvent pas justifier des violences physiques et,
encore moins, la mort d'un homme". Les
enquêteurs de la brigade criminelle de la PJ de
Paris avaient rapidement interpellé les auteurs
présumés, tous juifs, un couple et 4 amis venus
en renfort, dans le cadre "d'une information
du chef de violences volontaires ayant entraîné
la mort sans intention de la donner avec usage ou
menace d'une arme". L'autopsie a révélé
des "traces d'ecchymose au niveau du menton,
du dos et des épaules." Près de 300
personnes s'étaient rassemblées vendredi 2
avril 2010 devant le siège de la Préfecture de
Bobigny à l'initiative de l'Union des
Association Musulmanes de la Seine-Saint-Denis
UAM93 pour réclamer "une grande
transparence dans l'enquête" mettant en
cause de jeunes Juifs connus des services de
police. L'UAM-93 s'est déclarée "choquée
qu'on puisse évoquer l'antisémitisme pour
justifier ce crime odieux. Ceci discrédite le
combat contre l'antisémitisme et constitue un
deuxième assassinat de ce vigile en salissant sa
mémoire". Le Mouvement
contre le Racisme et pour l'Amitié entre les
Peuples MRAP a demandé dans un
communiqué laconique que "toute la lumière
soit faite autour de ces faits avec promptitude
et transparence". Le MRAP a également
demandé mardi 7 avril 2010 le retrait sur le
site internet de l'UAM93, d'une
vidéo intitulée "Stop sionisme"
accusant "6 sionistes d'avoir tué Said,
vigile à Bobigny". Cette vidéo qui
"établit une relation entre le fait d'être
Juif, sioniste, et meurtrier peut sans
contestation possible être qualifiée
d'antisémite". "Elle est de plus
totalement illégale" en France, accuse le
MRAP. SOS Racisme, sous
convention-cadre avec l'Etat, demande que
"toute la lumière soit faite" et
sinterroge sur la "possibilité
dune manipulation de la thématique du
racisme pour couvrir des actes de voyous".
Le Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF et la Ligue
Contre le Racisme et l'Antisémitisme LICRA, sous
convention-cadre avec l'Etat, n'ont toujours pas
réagi. "Saïd Bourarach reposera à Berkane
au Maroc, tout comme Ilan Halimi victime de la
même haine, repose en Israël" a déploré
le chroniqueur judiciaire Pascal Mourot. Selon la Ligue de défense juive LDJ, il
faut "attendre de connaître les résultats
de lenquête policière, d'autant que
l'autopsie réalisée montre que la victime est
morte de noyade et en aucun cas des suites de
coups". La LDJ précise que " le fait
que sa veste ait été retrouvée sèche sur le
bord du canal semble écarter lhypothèse
selon laquelle il a été jeté volontairement
dans leau". "De ce fait, il est
stérile dincriminer telle ou telle
communauté ou de présenter des excuses alors
que la vérité nest pas encore
connue", conclut la Ligue de défense juive.
L'information est passée sous silence par les
principaux médias et moteur de recherche. Plus
de détails : CRIME RACISTE : Le vigile de Bobigny
retrouvé mort noyé Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
FRANCE : CRIME
RACISTE : Sammy Ghozlan
(photo), commissaire de police honoraire,
président du Conseil des Communautés Juives
UCCJ d'Ile-de-France et de Saint Denis 93,
président du Bureau National de Vigilance Contre
l'Antisémitisme BNVCA éditeur de sosantisemitisme.org et membre
du Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF, a qualifié
les meurtriers présumés du vigile d'origine
marocaine retrouvé noyé dans le canal de
l'Ourcq de "salauds", de
"bandits", précisant que ce "sont
des gens qui méritent d'être punis très
sévèrement". "Ils déshonorent non
seulement notre communauté, ils déshonorent
l'homme et l'être humain", a accusé Sammy
Ghozlan, qui a évoqué un
"assassinat". Sammy Ghozlan a assuré
la veuve de Saïd Bourarach de "tout son
soutien". NDLR. Cette condamnation n'a pas
été relayée sur le site internet du BNVCA en raison
peut-être des fêtes juives de Pessa'h.
FRANCE : CRIME
RACISTE : C'est la découverte d'un passeport israélien (photo)
dans le véhicule des meurtriers présumés du
vigile d'origine marocaine retrouvé noyé dans
le canal de l'Ourcq, qui a permis leur
arrestation rapide. Un rassemblement demandant la
"justice pour Saïd" s'est déroulé
lundi 5 avril 2010 place de la République à
Paris, en présence du frère de la victime,
Abdelkader Bourarach.
FRANCE : CRIME
RACISTE : La communauté
juive de France est sous le choc après
l'incarcération de 4 Juifs samedi 3 avril 2010
impliqués dans la mort du vigile d'origine
marocaine retrouvé noyé dans le canal de
l'Ourcq. Selon la Ligue de défense juive LDJ, il
faut "attendre de connaître les résultats
de lenquête policière, d'autant que
l'autopsie réalisée montre que la victime est
morte de noyade et en aucun cas des suites de
coups". La LDJ précise que " le fait
que sa veste ait été retrouvée sèche sur le
bord du canal semble écarter lhypothèse
selon laquelle il a été jeté volontairement
dans leau". "De ce fait, il est
stérile dincriminer telle ou telle
communauté ou de présenter des excuses alors
que la vérité nest pas encore
connue", conclut la Ligue de défense juive.
L'information est passée sous silence par les
principaux médias.
FRANCE : CRIME
RACISTE : Gilles Bernheim (photo),
Grand rabbin de France, a adressé ses
condoléances à la famille de Saïd Bourarach, 36 ans
d'origine marocaine, maître-chien, vigile à Baktor à Bobigny,
retrouvé mort noyé mercredi 31 mars 2010 dans
le canal l'Ourcq, après avoir été frappé à
plusieurs reprises par 6 jeunes juifs, dont
plusieurs sont connus des services de police pour
"violence" et "usage de
stupéfiants". Le chien de Saïd Bourarach
menacé d'être tué par ses agresseurs s'était
jeté à l'eau pour secourir son maître.
L'animal a été repêché par des employés du
magasin. Un des assaillants ayant dit avoir vu
ressortir Saïd Bourarach de l'autre côté du
canal, aucune recherche n'a alors été
effectuée au soir du mardi 30 mars 2010.
Retrouvé mort le lendemain, Saïd Bourarach
était père de 2 enfants, un garçon de 3 ans et
d'une fille de 7 ans. L'accusation d'injures
"antisémites" proférées par la
victime a été rejetée, suite à l'audition de
témoins, par la procureure de la République de
Bobigny, Sylvie Moisson. Pourtant la thèse de
l'antisémitisme a été largement reprise par
tous les médias et le Grand rabbin de France,
Gilles Bernheim, a déclaré : "En tout
état de cause, des insultes ne peuvent pas
justifier des violences physiques et, encore
moins, la mort d'un homme". Les enquêteurs
de la brigade criminelle de la PJ de Paris
avaient rapidement interpellé les auteurs
présumés, tous juifs, un couple et 4 amis venus
en renfort, dans le cadre "d'une information
du chef de violences volontaires ayant entraîné
la mort sans intention de la donner avec usage ou
menace d'une arme". L'autopsie a révélé
des "traces d'ecchymose au niveau du menton,
du dos et des épaules." Près de 300
personnes se sont rassemblées vendredi 2 avril
2010 devant le siège de la Préfecture de
Bobigny à l'initiative de l'Union des
associations musulmanes de la Seine-Saint-Denis UAM93 pour
réclamer "une grande transparence dans
l'enquête" mettant en cause de jeunes juifs
connus des services de police. L'UAM-93 s'est
déclarée "choquée qu'on puisse évoquer
l'antisémitisme pour justifier ce crime odieux.
Ceci discrédite le combat contre
l'antisémitisme et constitue un deuxième
assassinat de ce vigile en salissant sa
mémoire". Le Mouvement
contre le Racisme et pour l'Amitié entre les
Peuples MRAP a demandé dans un
communiqué laconique que "toute la lumière
soit faite autour de ces faits avec promptitude
et transparence". SOS Racisme, sous
convention-cadre avec l'Etat, demande que
"toute la lumière soit faite" et
sinterroge sur la "possibilité
dune manipulation de la thématique du
racisme pour couvrir des actes de voyous".
Le Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF et la Ligue
Contre le Racisme et l'Antisémitisme LICRA, sous
convention-cadre avec l'Etat, n'ont pas encore
réagi. "Saïd Bourarach reposera à Berkane
au Maroc, tout comme Ilan Halimi victime de la
même haine, repose en Israël" a déploré
le chroniqueur judiciaire Pascal Mourot. ** JUSTICE
RACISME : Le journaliste Eric Zemmour est cité
à comparaître en chambre correctionnelle devant
le Tribunal de Grande instance TGI de Paris en
date du 29 juin 2010 pour "diffamation
raciale et incitation à la haine raciale"
par l'ONG SOS Racisme, sous
convention-cadre avec l'Etat. SOS Racisme sera
représentée par son avocat Maître Patrick Klugman, ancien
président de l'Union des
étudiants juifs de France UEJF,
conseiller socialiste de la ville de Paris et
membre du comité directeur du Conseil représentatif des
institutions juives de France CRIF. NDLR. Les
lois anti-racistes ne permettent pas de citer les
propos mis en cause d'Eric Zemmour, selon les
articles 32 alinéa 2, de la loi du 29 juillet
1881 et 24 alinéa 5 de cette même loi. **
MANIFESTATION INTERDITE : Les
organisations juives de Seine-Saint-Denis ont
obtenu de la préfecture de police de Paris
l'interdiction d'une manifestation que devait
organiser samedi 3 avril 2010 le collectif Cheikh Yassine de la
mosquée de Drancy en Seine-Saint-Denis.
L'arrêté évoque un "trouble à l'ordre
public" possible en raison de la proximité
d'un lieu de culte juif en pleine fête de
Pessah, la Pâques juive. "Ce soir, nous
avons appris par téléphone, quil y a eu
un arrêté préfectoral venant de Paris qui vise
à nous empêcher de manifester demain à Drancy
; c'est donc à nouveau cette liberté
fondamentale, garantie par la Constitution, qui
autorise les citoyens français qui soutiennent
une cause ou une opinion à pouvoir
lexprimer dans la rue qui est
scandaleusement bafouée !" accuse
l'association. l'association. ** ISLAM : L'Union des
organisations islamiques de France UOIF organise du vendredi 2 au
lundi 5 avril 2010 au Bourget près de Paris, la 27ème
Rencontre annuelle des musulmans de France.
DIPLOMATIE : Le CRIF
scandalisé par le député Hervé de Charette
REPORTERS SANS FRONTIERES : Robert
Ménard RSF reçu au CRIF
DCRI : DIRECTION CENTRALE DE LA SECURITE
INTERIEURE
PROCHE ORIENT : HUMILIATION DU MONDE ARABE
LOBBYING ISRAEL EN FRANCE : EN SAVOIR PLUS SUR LE CRIF
BANALISTION DU RACISME : FRANCOIS
REBSAMEN SOUTIENT GEORGE FRECHE
La France en faillite : déficit
record de la dette publique ! par Pascal
Mourot, directeur de le publiction
SOS-Reporters
: Liberté d'expression et
liberté d'opinion sans frontière !
LIBERTE
D'EXPRESSION ET D'OPINION, DROITS :
Rappel des
droits ( textes ) fondamentaux :
A - "Tout
individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit
de ne pas être inquiété pour ses
opinions et celui de chercher, de
recevoir et de répandre, sans
considération de frontière, les
informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit"
- Article 19 de la Déclaration
universelle des droits de l'homme
Déclaration internationale des droits de
l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10
décembre 1948.
B -
"Toute personne a droit à la
liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de
recevoir ou de communiquer des
informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir ingérence d'autorités
publiques et sans considération de
frontières."
- Article 11-1 de la "Charte des
droits fondamentaux de l'Union
européenne".
2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000.
C -
"La libre communication des pensées
et des opinions est un des droits les
plus précieux de l'Homme : tout Citoyen
peut donc parler, écrire, imprimer
librement, sauf à répondre de l'abus de
cette liberté dans les cas déterminés
par la Loi."
- Article 11 de la Déclaration
des Droits de l'homme et du citoyen du 26
août 1789.
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