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Mercredi 8 janvier 2003 : Le ministre en charge de la politique technologique et scientifique s'est dit favorable à l'adoption d'un traité international visant à interdire le clônage humain.

Lundi 10 février 2003 : Le premier ministre Junichiro Koizumi (voir le site du premier ministre) a annoncé la destruction d'un stock d'un million de mines anti-personnel. Cette mesure fait suite à la signature en 1997, avec 137 autres pays, de la Convention d'Ottawa sur l'interdiction de l'emploi, du stockage, de la production et du transfert des mines antipersonnel et sur leur destruction. (Plus d'infos sur les mines antipersonnel). J. Koizumi a invité la communauté internationale à procéder de même. Le Japon a été autorisé à garder un stock de 15 000 mines à des fins de recherches et d'entraînement.

Jeudi 27 février 2003 :
Le président français Jacques Chirac a annulé la visite qu'il devait effectuer dans ce pays en mars prochain "en raison de la conjoncture mondiale actuelle".

Samedi 15 mars 2003 :
Ouverture dimanche à Tokyo du 3ème Forum Mondial de l'eau.

Samedi 22 mars 2003 : JOURNEE MONDIALE DE L'EAU - KYOTO :
Au 3ème Forum Mondial de l'eau, qui s'est ouvert le 13 mars dernier, les participants se sont penchés sur le problème des barrages géants qui selon certains provoquent des exodes massifs de populations, contrarient la nature, détruisent les écosystèmes de régions entières, pour d'autres, constituent un sacrifice nécessaire pour produire suffisamment d'électricité destinée aux plus démunis

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Lundi 24 mars 2003 : Le 3ème Forum Mondial de l'eau s'est achevé dimanche. Les 96 pays qui y participaient ont renouvelé leur volonté de réduire le nombre de personnes sans eau potable d'ici 2015 sans toutefois exposer les moyens pour y parvenir. 1 milliard 400 000 personnes n'ont pas accès à l'eau.

Jeudi 27 mars 2003 :
Les autorités ont refusé de fermer l'ambassade d'Irak à Tokyo comme le leur demandait Washington "pour ne pas rompre ses relations diplomatiques avec l'Irak".

Samedi 29 mars 2003 :
Ce pays a procédé vendredi à la mise en orbite de deux satellites espions chargés de surveiller la Corée du Nord.

Vendredi 18 avril 2003 :
800 obus non explosés datant probablement de la Seconde Guerre Mondiale ont été trouvés sur un chantier à Yokohama. Ces obus vont être déplacés. La zone n'a pas été évacuée, la police estimant qu'il n'y a aucun risque d'explosion, les obus n'ayant pas de détonateurs.

Samedi 26 avril 2003 :
La peine de mort (par pendaison) a été requise contre le gourou de la secte Aoum, commanditaire présumé de l'attentat au gaz sarin perpétré dans le métro de Tokyo en 1995 et qui avait fait 12 morts et plus de 5000 blessés. 9 membres de la secte ont déjà été condamnés à mort. Il ont fait appel de leur condamnation. Les sentences de mort ne sont pas appliquées tant que tous les recours juridiques n'ont pas été épuisés. Ils peuvent durer jusqu'à 20 ans.

Lundi 19 mai 2003 :
Les négociations de paix entre le gouvernement indonésien et les rebelles séparatistes de la province d'Aceh qui ont repris samedi à Tokyo, pour tenter de faire appliquer l'accord de paix historique conclu le 19 décembre dernier à Genève en Suisse, ont échoué.

Mardi 27 mai 2003 :
La région de Sendaï dans le nord du pays a été touché lundi par un fort séisme de magnitude 6,7 sur l'échelle de Richter faisant au moins 100 blessés.

Samedi 31 mai 2003 :
La FIDH a publié la semaine dernière à Paris un rapport intitulé "La Peine de mort au Japon, une pratique indigne d'une démocratie", dans lequel elle dénonce l'application de la peine de mort au Japon, qui est "contraire à la dignité humaine". Depuis 1993, 43 détenus ont été pendus au Japon et 56 autres condamnés attendent dans les couloirs de la mort. Le manque d'équité dans les procès est également mis en avant. La FIDH dénonce notamment "la pratique du "Daiyo Kangoku", qui permet la détention de suspects dans les commissariats de police pendant 23 jours où des aveux, recueillis par la force, servent de base à l'acte d'accusation." La FIDH note également les conditions de détention de ces condamnés à mort sujet à "des traitements cruels, inhumains et dégradants". Ils sont également soumis à l'isolement dans une cellule de 5m2. Ils n'apprennent la date de leur exécution, par pendaison, que le matin même. Le ministre de la Justice peut ordonner l'exécution de la peine dans les 6 mois suivant la condamnation. L'organisation précise que "cette règle n'est jamais respectée et certains condamnés à mort ont passé plusieurs dizaines d'années en prison en se demandant chaque matin s'ils vont ou non être pendus" et de citer le cas de Sakae Menda, "qui a passé 34 ans en prison avant d'être acquitté". La FIDH appelle le Conseil de l'Europe à suspendre pour un an renouvelable le statut d'observateur du Japon et à proposer de promouvoir l'abolition de la peine capitale dans ce pays à l'occasion de la prochaine session de l'assemblée parlementaire du 23 au 27 juin prochain. Elle demande aussi à l'Union européenne d'inclure systématiquement la question de la peine de mort dans le dialogue avec le Japon, à tous les niveaux.

Mardi 10 juin 2003 :
Les autorités ont décidé ce week-end de modifier leur constitution afin de pouvoir répondre militairement en cas d'agression nord-coréenne.

Mercredi 11 juin 2003 :
70 pays donateurs réunis depuis 2 jours à Tokyo ont convenu d'apporter une aide de 4,5 milliards de dollars au Sri Lanka à la condition que les rebelles Tamouls et le gouvernement sri-lankais s'engagent à respecter le cessez-le-feu, conclu en février 2002 sous l'égide de la Norvège, et parviennent à un accord de démilitarisation.

Vendredi 4 juillet 2003 :
Le parlement devrait adopter vendredi un projet de loi qui permettrait au gouvernement d'envoyer d'un millier de soldats en Irak pour des opérations d'aide humanitaire et de reconstruction du pays "hors des zones de combat". Les soldats japonais pourront utiliser leurs armes pour se protéger et protéger les personnes travaillant à la reconstruction de l'Irak. Selon l'article 9 de la constitution imposée par les Etats-Unis en 1946, le "peuple japonais renonce pour toujours à la guerre et à la menace ou à l’emploi de la force pour résoudre les disputes internationales. Afin d’atteindre cet objectif, le Japon s’engage à ne jamais détenir d’armées de terre, de mer et de l'air, ni d’autre potentiel de guerre."

Samedi 5 juillet 2003 :
Le Japon a annoncé le gel de toute aide économique à la Birmanie tant que l'opposante et Prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi ne serait pas libérée. ** Le parlement a adopté vendredi le projet de loi visant à l'envoi d'un millier de soldats en Irak pour des opérations d'aide humanitaire et de reconstruction du pays "hors des zones de combat" après d'âpres discussions. En effet, le projet ne recevait pas l'approbation de tous les députés car il s'agit du plus important déploiement de forces japonaises depuis la fin de la Seconde guerre mondiale.

Samedi 19 juillet 2003 :
Le premier ministre Tony Blair est arrivé vendredi à Tokyo. Il doit rencontrer samedi le premier ministre Junichiro Koizumi pour des discussions portant essentiellement sur la crise résultant de la reprise du programme nucléaire par la Corée du Nord. C'est la troisième visite du premier ministre britannique au Japon depuis sa nomination en 1997. Tony Blair se rendra ensuite à Séoul, Pékin, Shangaï et Hong Kong.

Lundi 28 juillet 2003 :
Le parlement a accepté, après des discussions très vives, l'envoi de troupes en Irak pour des opérations d'aide humanitaire et de reconstruction du pays "hors des zones de combat". Les soldats japonais pourront utiliser leurs armes pour se protéger et protéger les personnes travaillant à la reconstruction de l'Irak. Selon l'article 9 de la constitution imposée par les Etats-Unis en 1946, le "peuple japonais renonce pour toujours à la guerre et à la menace ou à l’emploi de la force pour résoudre les disputes internationales. Afin d’atteindre cet objectif, le Japon s’engage à ne jamais détenir d’armées de terre, de mer et de l'air, ni d’autre potentiel de guerre." Ce sera le premier déploiement militaire japonais depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. ** Un séisme de magnitude 6,2 sur l'échelle de Richter a touché samedi le nord du pays faisant plus de 200 blessés, provoquant le déraillement d'un train et l'effondrement de plusieurs maisons.

Mercredi 6 août 2003 :
Cérémonie de commémoration du 58ème anniversaire du bombardement d'Hiroshima en présence du premier ministre Junichiro Koizumi . Plus de détails sur l'attaque d'Hiroshima, Chronologie de l'attaque d'Hiroshima ; Truman et la bombe atomique. 200 000 personnes ont péri lors du largage de la première bombe atomique américaine sur Hiroshima. Le 9 août une seconde bombe est larguée sur Nagasaki. Sur les 240 000 habitants, 75 000 ont été tués, au moins 60 000 blessés.

Mercredi 13 août 2003 :
Selon l'agence de presse Kyodo Tsushin, les négociations multipartites portant sur le programme nucléaire nord-coréen, et réunissant la Corée du Nord, la Corée du Sud, la Chine, le Japon, la Russie et les Etats-Unis, se tiendront le 26 août à Pékin. Elles devraient durer 3 jours.

Mercredi 27 août 2003 :
En visite à Tokyo, le ministre israélien des affaires étrangères, Silvan Shalom, a demandé aux autorités japonaises de suivre Washington et de geler les avoirs bancaires de l'aile politique du Hamas. Il a également demandé à Tokyo, en tant que pays donateur, de "faire pression sur les Palestiniens pour qu'ils reviennent à la feuille de route". Selon un porte-parole des affaires étrangères japonaises, seuls les avoirs de l'aile militaire du Hamas sont gelés.

Samedi 20 septembre 2003 : Le Parti Libéral Démocrate (PLD) au pouvoir doit réélire samedi son président. Le premier ministre Junichiro Koïzumi est donné favori devant 3 adversaires, Shizuka Kamei, Takao Fujii et Masahiko Komura.

Lundi 22 septembre 2003 :
Le premier ministre Junichiro Koïzumi a été réélu à la tête du PLD, Parti Libéral Démocrate. Un remaniement ministériel devrait intervenir ce lundi.

Vendredi 26 septembre 2003 :
Après sa réélection à la tête du PLP (Parti Libéral Démocrate au pouvoir depuis 1955) le week-end dernier, le premier ministre Koizumi a décidé de dissoudre la Chambre des représentants et de convoquer des élections législatives anticipées pour le 9 novembre. ** Un tremblement de terre de forte puissance a touché l'île d'Okkaido faisant au moins 120 blessés selon un premier bilan et provoqué le déraillement d'un train.

Samedi 27 septembre 2003 :
Le tremblement de terre de forte puissance qui a touché vendredi l'île d'Okkaido a fait 1 mort et plus de 300 blessés. 40 000 personnes ont dû être évacuées. 15 000 foyers sont privés d'électricité.

Lundi 29 septembre 2003 :
Ouverture de la 3ème Conférence de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD, Tokyo International Conference on African Development) avec pour thème : "le soutien au NEPAD" (Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique) où doivent participer une vingtaine de chefs d'état africains. Les 5 co-organisateurs de la conférence ont appelé l'Afrique "à chercher sa propre voie sans tenir compte de la mondialisation" soulignant par exemple que "sur les 60 millions de dollars que rapporte par an la commercialisation du café les producteurs africains n'empochent que 5 millions de dollars, les 55 autres revenant aux pays occidentaux."

Mardi 30 septembre 2003 :
Lors de la 3ème Conférence de Tokyo sur le développement de l'Afrique (TICAD, Tokyo International Conference on African Development) , le Japon a annoncé qu'il annulait la totalité de la dette, vis-à-vis de Tokyo, de tous les pays africains classés "pays pauvres très endettés" (PPTE).

Samedi 11 octobre 2003 :
Le Premier ministre Junichiro Koïzumi a dissous vendredi la chambre basse du Parlement. Des élections législatives anticipées devraient se tenir le 9 novembre prochain.

Jeudi 16 octobre 2003 :
A 48 heures d'une escale du président américain Bush au Japon, le premier ministre Junichiro Koïzumi a annoncé qu'il allait débloquer une aide de 1,5 milliards de dollars pour la reconstruction de l'Irak.

Samedi 18 octobre 2003 :
Le président américain Bush a entamé vendredi par le Japon, une tournée en Asie qui le conduira dans 6 pays (Thaïlande, pour le sommet Asie-Pacifique (APEC), Singapour, l'Indonésie, l'Australie, et enfin Hawaï le 23 octobre). Il a été reçu par le premier ministre Junichiro Koïzumi.

Mercredi 22 octobre 2003 :
Les autorités nippones ont indiqué avoir été prévenues du tir de missile nord-coréen de lundi ajoutant qu'elles avaient décidé de "ne pas réagir pour l'instant", estimant que ce tir ne met en danger la sécurité du Japon.

Vendredi 31 octobre 2003 :
La saison de la "chasse" aux dauphins - ! - s'est ouverte. Elle durera du 1er septembre 2003 jusqu'au 31 mars 2004. Près de 20 000 dauphins - ! - (le quota annuel autorisé par le gouvernement japonais) vont être massacrés (ils sont frappés à mort). Ils seront ensuite dépecés et la viande de chaque mammifère sera vendue pour 20 000 yens (environ 160 euros). Un groupe d'écologistes américains de l'association Sea Shepherd - ! - qui tente de faire cesser le massacre de dauphins dans la ville de Taiji a fait une vidéo des massacres qui est passée à la télévision provoquant l'indignation du public. La chasse aux dauphins n'est pas régie par les règles internationales car elle se déroule en eaux japonaises.

Mardi 11 novembre 2003 :
La coalition du premier ministre Junichiro Koïzumi a remporté les élections législatives de ce week-end. M. Koïzumi a été réélu premier ministre et doit former un nouveau gouvernement d'ici le 19 novembre.

Vendredi 14 novembre 2003 :
Après l'attentat à la voiture piègée à Nassyriyah en Irak qui a fait 28 morts, le porte-parole du gouvernement, Yasuo Fukuda, a indiqué jeudi que "le déploiement prévu des troupes japonaises en Irak pour des missions pacifiques, est impossible dans la situation actuelle". Le Premier ministre Junichiro Koizumi a pour sa part estimé que "la reconstruction en Irak est un problème qui concerne l'ensemble de la communauté internationale", soulignant que le Japon "restait décidé à aider à reconstruire l'Irak à condition que la situation le permette. Nous ne pouvons pas baisser les bras à cause du terrorisme." NDLR. Le Japon par sa Constitution pacifiste ne peut participer à des opérations de combats. Selon l'article 9 de la constitution imposée par les Etats-Unis en 1946, le "peuple japonais renonce pour toujours à la guerre et à la menace ou à l’emploi de la force pour résoudre les disputes internationales. Afin d’atteindre cet objectif, le Japon s’engage à ne jamais détenir d’armées de terre, de mer et de l'air, ni d’autre potentiel de guerre." Le Parlement avait voté le 28 juillet une loi spéciale autorisant l'envoi d'un millier de soldats en Irak pour des missions humanitaires, logistiques et médicales mais interdisant l'acheminement de ses troupes dans des zones de combat. Les soldats japonais pourront utiliser leurs armes pour se protéger et protéger les personnes travaillant à la reconstruction de l'Irak. Si l'envoi de troupes japonaises se confirme, ce sera le premier déploiement militaire japonais depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Samedi 15 novembre 2003 :
Le Premier ministre Junichiro Koizumi a reçu vendredi le secrétaire d'état à la Défense Donald Rumsfeld auquel il a apporté tout son soutien en Irak confirmant qu'aucune troupe japonaise ne serait envoyée dans le pays dans l'immédiat. Environ un millier de personnes a manifesté à Tokyo pour protester contre la visite de Donald Rumsfeld et l'envoi de troupes en Irak.

Mercredi 19 novembre 2003 :
Après les menaces lancées par le réseau Al-Qaïda à l'encontre des Etats-Unis et ses alliés (Grande-Bretagne, Italie, Australie et Japon), le ministre des affaires étrangères a invité ses ressortissants à l'étranger à "faire preuve de la plus grande prudence" les appelant à "à éviter les lieux pouvant être des cibles, à être prudent dans les endroits bondés et de faire attention à ce qui les entoure afin d'éviter d'éventuels attentats ou quelque autre problème".

Lundi 1er décembre 2003 :
Alors que le pays enregistre ses deux premiers morts, le premier ministre Junichiro Koïzumi a confirmé samedi que malgré ces pertes, le Japon poursuivra ses efforts pour la reconstruction de l'Irak et maintiendra l'envoi de troupes alors que l'opinion publique est de plus en plus opposée à cette mesure. Selon un sondage 1 Japonais seulement sur 10 y est favorable.

Vendredi 5 décembre 2003 :
Le premier ministre japonais Junichiro Koizumi a approuvé l'envoi d'environ 1100 soldats en Irak estimant qu'un "certain niveau de sécurité pouvait être assuré aux environs de Samawa, au sud de l'Irak, où les troupes japonaises doivent être envoyées" selon le quotidien "Yomiuri Shimbun". Le Conseil des Ministres doit approuver dès lundi cet envoi de troupes "qui devrait se faire avant la fin de l'année" selon le premier ministre.

Mercredi 10 décembre 2003 :
Le gouvernement a officiellement annoncé l'envoi de soldats non combattants en Irak. Selon l'article 9 de la constitution imposée par les Etats-Unis en 1946, le "peuple japonais renonce pour toujours à la guerre et à la menace ou à l’emploi de la force pour résoudre les disputes internationales. Afin d’atteindre cet objectif, le Japon s’engage à ne jamais détenir d’armées de terre, de mer et de l'air, ni d’autre potentiel de guerre." Ce sera le premier déploiement militaire japonais depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale.

Samedi 13 décembre 2003 :
A l'occasion d'un sommet commémorant 30 ans de relations, Tokyo et les 10 pays membres de l'ASEAN (Association des Nations d'Asie du Sud-Est regroupant la Birmanie, Brunei, le Cambodge, l'Indonésie, le Laos, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Thaïlande et le Vietnam) ont décidé de la création d'une Communauté de l'Asie de l'Est orientée vers l'avenir (...) qui aura pour but de maintenir les traditions et valeurs asiatiques tout en respectant les règles et les principes universels". Les 11 Etats se sont engagés à "promouvoir davantage les échanges des biens et des services à travers l'ouverture et l'élargissement des marchés".

Lundi 15 décembre 2003 :
La chaîne de télévision TV Asahi a indiqué dimanche que "les pourparlers à 6 (NDLR. Corée du Nord, du Sud, Japon, Russie, Chine et Etats-Unis) portant sur le programme nucléaire nord-coréen sont repoussés à l'année prochaine "pour des raisons techniques". La rencontre aurait dû se dérouler du 17 au 19 décembre.



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