- SOMMAIRE
FRANCE, samedi 20
novembre 2010, arnaud montebourg, socialiste,
candidat presidentielle 2012, licenciement faute
grave salaries critique société de conseil et
ingenierie SSII Alten sur facebook, violation de
sepulture dijon, francois rebsamen, senateur
maire socialiste dijon, president grand dijon,
mis en cause, atteinte respect des morts, tombe
ancien combattant monte cassino, general libanais
michel aoun accuse israel assassinat premier
ministre rafic hariri pour faciliter implantation
palestiniens
- ELECTION 2012 -
Arnaud Montebourg, socialiste, se déclare
candidat à la présidentielle : Arnaud Montebourg (photo),
avocat, secrétaire à la rénovation au Parti socialiste, député
de la 6ème circonscription de Saône-et-Loire,
président du Conseil
général de Saône-et-Loire, a
déclaré, vendredi 19 novembre 2010, à la
télévision d'Etat France 2, "être
candidat aux primaires du PS en vue de
lélection présidentielle de 2012".
"Il y a 2 sortes de candidats, les candidats
de gestion, les candidats de transformation, je
crois être le seul dans la deuxième catégorie
pour l'instant", a précisé le premier
candidat socialiste pour 2012. Arnaud Montebourg,
conscient de la "désagrégation de la Vème
République mais aussi les pratiques scandaleuses
qui vont avec", a écrit en 2002 le livre
"La machine à trahir". Il
aura été le seul homme politique français à
demander publiquement la démission du président
"corrompu" Jacques Chirac. Après le
Congrès de Dijon de 2003, il a été le
cofondateur avec Vincent Peillon du courant
politique le NPS (Nouveau Parti Socialiste),
militant pour une "6ème République".
Démissionnaire, il anime le réseau national
"Rénover, maintenant". Arnaud Montebourg avait
été suspendu de sa fonction de porte-parole de
l'équipe de campagne de Ségolène Royal pour
les élections présidentielles de 2007. Le 18
janvier 2007, il est suspendu et interdit de
médias pendant 1 mois sur demande expresse du
co-directeur de campagne François
Rebsamen, alors numéro 2 du PS. Arnaud
Montebourg avait déclaré le 17 janvier 2007,
dans l'émission "Le Grand Journal de la
chaîne privée et cryptée Canal+" :
"Le seul défaut de la candidate socialiste
à la présidentielle est son compagnon François Hollande".
Cette même année, Arnaud Montebourg avait
accusé Nicolas Sarkozy de "préparer l'institutionnalisation
d'une sécurité sociale à plusieurs vitesses". En
septembre 2010, Arnaud Montebourg s'attaque à la
"toute puissance" de la première
chaîne de télévision, TF1, déjà qualifiée
en 2002, par le député socialiste Julien Dray,
de "TFN", allusion à une télévision
de droite favorisant la montée du Front national
et de son leader, Jean-Marie Le Pen, arrivé
second au premier tour de la présidentielle de 2002, en
éliminant le candidat socialiste, Lionel Jospin. Arnaud Montebourg accuse TF1 d'être
"la télé de la droite, la télévision des
idées qui détruisent la France, la télévision
de l'individualisme, la télévision du fric, du
matraquage sur la sécurité". Au nom des
responsables et éditorialistes de TF1 et de LCI,
Etienne Mougeotte, Dominique Wolton, Emmanuel
Berretta, François Jost, Daniel Psenny, le
Président directeur-général de la chaîne
privée, Nonce Paolini, demande des excuses sur
ses "propos inadmissibles" au député.
En guise de réponse, Arnaud Montebourg refuse,
et confirme par un courrier très argumenté, que
"TF1 est une "chaîne de tradition
délinquante par rapport à ses obligations"
inscrites dans son cahier des charges et les
amendes reçues. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France
FRANCE - LIBERTE
D'EXPRESSION -
Licenciement pour faute grave confirmé pour 3
salariés ayant critiqué leur entreprise sur
FaceBook : Le tribunal des Prud'hommes
de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), a jugé
"fondé" le licenciement pour
"faute grave" de 3 salariés de la
société de conseil et d'ingénierie SSII Alten, qui
avaient utilisé le réseau social Facebook pour
dénigrer l'entreprise qualifiée de "club
des néfastes". Les dirigeants de la
société Alten ont licencié les 3 salariés
pour "faute grave", considérant leurs
propos comme un "dénigrement de
l'entreprise" et une "incitation à la
rébellion". Les salariés estimaient que
l'échange entre les salariés avait un
caractère strictement "privé".
L'employeur a fait valoir qu'il n'avait pas
"violé la vie privée de ses
salariés" dès lors que les injures ont
été échangées "sur un site social
ouvert" au public. "Les pages
mentionnant les propos incriminés constituent un
moyen de preuve licite du caractère bien-fondé
du licenciement", ont estimé les juges du
conseil des Prud'hommes. C'est une
"incitation à la rébellion", avait
accusé la SSII Alten. Maître Grégory Saint
Michel, avocat de 2 salariés, a annoncé faire
appel devant la Chambre social de la Cour dappel de Paris. Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
FRANCE - VIOLATION
DE SEPULTURE -
PLAINTE A DIJON - François Rebsamen mis en cause
par une famille d'ancien combattant : En
sa qualité de premier magistrat de la ville de
Dijon, François Rebsamen, sénateur-maire et
président du Grand Dijon, est visé par une
nouvelle plainte fondée sur l'article 225-17 du
Nouveau Code Pénal, pour "violation de
sépulture". L'atteinte au "respect dû
aux morts" a eu lieu en juin 2010, au
cimetière de Péjoces à Dijon, créé en 1885
sur 30 hectares, l'un des plus grands de France.
Sur la tombe de facture très modeste de cet ancien combattant de Monte Cassino, la croix de bois ornementée de la
Vierge Marie, de fabrication artisanale
et familiale, pourtant solidement implantée, a
été arrachée, démontée et une partie
déposée sur une tombe voisine. Lors de
"travaux d'embellissement" effectués
par une "association locale" sans
l'accord de la famille, la tombe s'est retrouvée
anonyme, sans nom, sans plaque du souvenir.
L'épouse du défunt ancien combattant, 81 ans,
opérée du coeur, est très choquée. Plus
grave, la tombe semble avoir été relevée comme
le soupçonne la famille. "C'est faux",
répond le conservateur du cimetière. "Ce
qui est étrange, c'est la modification du dôme
en terre de la tombe, son relief s'étant
étrangement aplani entre le dépôt de la
plainte et la Toussaint 2010", déclare le
petit-fils, photo à l'appui, Franck
Médina. Si le but des "travaux" était
l'embellissement, comment expliquer la présence
d'herbes folles enracinées autour de la
sépulture dont la terre a été retournée ? Et,
où sont les restes mortuaires ?
"Conformément à la loi, il n'est pas
nécessaire de prouver l'intention coupable pour
un préjudice moral qui porte gravement atteinte
au respect dû aux morts, de surcroît, un ancien
combattant", assure le chroniqueur judiciaire Pascal Mourot. L'article
225-17 du Nouveau Code Pénal, en vigueur depuis
le 21 décembre 2008, prévoit 1 an
d'emprisonnement et 15 000 euros d'amende, la
peine étant portée à 2 ans et 30 000 euros
d'amende lorsque l'infraction a été
accompagnée d'atteinte à l'intégrité du
cadavre, ce que doit encore démontrer l'enquête
de police, menée par le capitaine Vauris. A
Dijon, ville dévoyée à toutes les
spéculations, où plusieurs organisations de
défense des droits de l'homme accusent le maire,
François Rebsamen, d'avoir "vendu son
âme", même les morts ne peuvent reposer en
paix. Blogger, webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
FRANCE - DIPLOMATIE -
CENSURE - Le général
Michel Aoun accuse Israël d'avoir assassiné
Hariri pour faciliter limplantation des
Palestiniens : Impossible de trouver sur
Internet un seul média français rapportant
cette accusation du général libanais Michel
Aoun, prononcée lors de sa visite officielle en
France du dimanche 14 au mardi 16 novembre 2010.
Cette déclaration a été faite lors d'une
rencontre avec l'Association de la presse
diplomatique à Paris, mardi 16
novembre 2010 : "Israël a assassiné le 14
février 2005 le président Rafic Hariri afin de
déstabiliser la situation au Liban et créer une
situation nouvelle qui faciliterait
l'implantation des Palestiniens". Elle
était précédée d'une sérieuse interrogation
du général libanais en visite officielle.
S'agissant du TSL le Tribunal spécial pour le
Liban, Michel Aoun a déclaré : "Pourquoi
Israël est-il resté en dehors de l'enquête
alors qu'il est le seul pays à disposer d'une
unité, le Mossad,
spécialisée dans les assassinats politiques
?" Comme précisé dans l'édition du
quotidien international francophone "Fil-info-France"
daté du mardi 16 novembre 2010, Michel
Aoun, a rencontré lundi 15 novembre 2010 le
Président de la République, Nicolas Sarkozy. Il a
également été reçu par Bernard Accoyer,
président de l'Assemblée nationale et par Gérard Larcher,
président du Sénat. Michel Aoun
estime que la résolution 1559 de l'ONU constitue
"une ingérence étrangère dans les
affaires du Liban", affirmant que "le
Conseil de sécurité n'est jamais intervenu dans
l'intérêt du Liban à différentes occasions au
cours desquelles il aurait dû le faire à
l'ombre des agressions qui visaient le
pays". Plus de détails sur le site
francophone "L'Orient-Le Jour". Blogger,
webmaster : Conditions d'utilisations
Fil-info-France ?
Retour
France
Retour
France novembre 2010
Retour
sommaire
|
-
QUOTIDIEN
INDEPENDANT
( ! ) Liens en bleu
CONDITIONS
D'UTILISATION
-
|