Des
promesses non tenues de François
Hollande sur la finance à Emmanuel
Macron !
1 - Lors du premier
grand meeting au Bourget,
le dimanche 22 janvier 2012, François
Hollande
(photo) candidat
du Parti socialiste à la présidentielle
de mai 2012, déclare que son véritable
adversaire, c'est le monde de la finance
: "Sous nos yeux, en vingt ans, la
finance a pris le contrôle de
l'économie, de la société et même de
nos vies" (sic).
François
Hollande, candidat
socialiste à la présidentielle de mai
2012, a déclaré devant plus de 20 000
partisans lors de son premier
grand meeting au Bourget,
le dimanche 22 janvier 2012 : "Mais
avant d'évoquer mon projet, je vais vous
confier une chose. Dans cette bataille
qui s'engage, je vais vous dire qui est
mon adversaire, mon véritable
adversaire. Il n'a pas de nom, pas de
visage, pas de parti, il ne présentera
jamais sa candidature, il ne sera donc
pas élu, et pourtant il gouverne. Cet
adversaire, c'est le monde de la finance.
Sous nos yeux, en vingt ans, la finance a
pris le contrôle de l'économie, de la
société et même de nos vies"
(sic). NDLR. Voir en vidéo, ci-dessous,
les 6 promesses non tenues sur la finance
par François Hollande, élu le 15 mai
2012, président de la République
française. Source : Discours
intégral de François Hollande au
premier grand meeting au Bourget,
dimanche 22 janvier 2012 ; Blogger,
webmaster : Copyright et
conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France,
quotidien international pourquoi ?
2 - Mais dans une
interview accordée au quotidien
britannique The
Guardian,
le 13 février 2012, François Hollande
déclare que "la gauche a gouverné
pendant 15 ans, pendant lesquels elle a
libéralisé l'économie et ouvert les
marchés à la finance et à la
privatisation. Il n'y a pas de crainte à
avoir" (sic).
3 - Et dans cette
même interview, François Hollande
déclare : "Aujourdhui, il
ny a plus de communistes en
France", traduction de "Today
there are no Communists in France".
Oubliant les 132 000 adhérents du Parti
communiste français,
ses 10 000 élus et ses milliers de
sympathisants, François Hollande, candidat socialiste
à l'élection présidentielle de mai
2012, a déclaré lundi
13 février 2012 au quotidien britannique
"The Guardian"
: "Today there are no Communists in
France", traduire,
"Aujourdhui, il ny a
plus de communistes en France".
Pierre Laurent, secrétaire national du
PCF, a déclaré "si François
Hollande dit cela pour donner des gages
aux marchés financiers, cest peine
perdue. Car les financiers dégradent
même la France de Sarkozy".
"La gauche a été au pouvoir
pendant 15 ans, au cours desquels nous
avons libéralisé léconomie et
ouvert les marchés à la finance et aux
privatisations. Il ny a rien à
craindre", a déclaré François
Hollande. "Cela a le mérite d'être
clair, les électeurs de gauche
apprécieront. François Hollande
dénonce comme son principal adversaire
le monde de la finance mais ses
génuflexions devant la City font du mal
à la gauche", a rétorqué Olivier
Dartigolles, porte parole du PCF et
co-directeur de campagne de Jean-Luc
Mélenchon. Source : Fil-info-France
édition du 15 février 2012 ;
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conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France,
quotidien international pourquoi ?
4 - Les 6 promesses
non tenues de François Hollande sur la
finance (en vidéo) :
5 - François
Hollande nomme à Bercy, le 26 août
2014, ministre de l'Economie, de
l'Industrie et du Numérique, Emmanuel
Macron, ancien banquier, associé-gérant
de la banque d'affaire Rothschild.
Emmanuel Macron
(suite) : Fil-info-France samedi
18 octobre 2014 N° 3986/25382 FRANCE
-FIL
INFO PROFESSIONS - Emmanuel Macron,
ministre de l'Economie, confond défense
des usagers et corporatisme, selon la
CNPL, Chambre Nationale des Professions
Libérales : Suite aux
dernières déclarations d'Emmanuel
Macron, ministre de
l'Economie, la Chambre Nationale
des Professions Libérales (
CNPL ), présidée par Daniel-Julien
Noël, exprime "son vif
mécontentement concernant le volet du
projet de loi pour l'activité qui les
concerne". Début de citation ( CNPL
) : "Daniel-Julien Noël, président
de la CNPL, dénonce une fois de plus :
« l'absence d'un véritable dialogue de
la part du gouvernement et l'intention
délibérée de faire des professions
libérales de faciles boucs émissaires
afin de pallier l'absence de réelles
réformes et ainsi faire oublier les
récentes reculades ; occultant par
ailleurs la défense des usagers
protégés par les réglementations
existantes. » Quand au terme de «
corporatisme », il rappelle
douloureusement les excès de son
prédécesseur. Pour D-J Noël : « Il
n'y a pas de changement ni dans le cap,
ni dans la méthode ». La CNPL appelle
tous ses membres à la plus vive
réaction et réclame de toute urgence la
tenue de la « Commission Ministérielle
des Professions Libérales », seule
instance capable de réunir l'ensemble
des acteurs et ouvrir un dialogue
constructif avant la présentation de ce
projet de loi pour l'activité". Fin
de citation. NDLR. Le prédécesseur
d'Emmanuel Macron est Arnaud Montebourg,
ministre de l'Economie, du Redressement
productif et du Numérique. "De nombreuses
professions sont en situation de monopole et
captent par leur position des revenus à
la population pour des services payés
trop chers qui entament le pouvoir
d'achat des ménages", avait
expliqué en juillet 2014, Arnaud
Montebourg lors
d'une conférence de presse reprise par
le quotidien Fil-info-France
daté du mardi 15 juillet 2014.
Plus de détails : Arnaud Montebourg
veut imposer la croissance et restituer 6
milliards d'euros aux Français ;
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conditions d'utilisation du fil info ; Fil-info-France,
quotidien international pourquoi ?
Défenseur de Jean-Noël Guérini, l'ancien
administrateur du DEXIA - CLF, François
Rebsamen,
(20 000 euros de bonus à Noël), a été
nommé ministre du Travail, de l'Emploi,
de la Formation professionnelle
et du Dialogue social.
FIL INFO FEMMES :L'ex-maîtresse
de DSK parle de
ses amours, de son avortement et de son
suicide...
LIVRES :La
Républiquedu
fric
Le 6 septembre 1793, l'an II de la
République française, la Convention
nationale décrète que " tout
fonctionnaire public sera tenu de rendre
compte de sa fortune, et que tous ceux
qui ne pourront pas en justifier
l'augmentation par des voies licites, en
seront privés et punis ". Les
Français d'aujourd'hui accepteraient-ils
une loi aussi draconienne ? Mais
approuvent-ils pour autant notre
République du fric et ses murs
corrompues main basse sur les marchés
publics, blanchiment d'argent sur la
Côte d'Azur, magistrats bafoués et
criminalité organisée...
Connaissent-ils vraiment les dessous de
l'affaire Elf, où politique, fonds
secrets, sexe, armement, détournements
en tout genre se mélangent allégrement
? Savent-ils que le financement des
partis politiques est truqué, que les
" petits porteurs " ont vu leur
épargne dilapidée par certaines banques
et que le lobby militaro-industriel
continue de les ruiner ? Ont-ils
conscience du fonctionnement démentiel
de nos chambres de commerce qui pousse un
peu plus dans la tombe les entreprises en
péril...
Rappel des
droits ( textes ) fondamentaux :
A -"Tout
individu a droit à la liberté d'opinion
et d'expression, ce qui implique le droit
de ne pas être inquiété pour ses
opinions et celui de chercher, de
recevoir et de répandre, sans
considération de frontière, les
informations et les idées par quelque
moyen d'expression que ce soit" - Article 19 de la Déclaration
universelle des droits de l'homme
Déclaration internationale des droits de
l'homme, adoptée par l'Assemblée
générale de l'ONU à Paris, le 10
décembre 1948.
B -
"Toute personne a droit à la
liberté d'expression. Ce droit comprend
la liberté d'opinion et la liberté de
recevoir ou de communiquer des
informations ou des idées sans qu'il
puisse y avoir ingérence d'autorités
publiques et sans considération de
frontières." - Article 11-1 de la "Charte des
droits fondamentaux de l'Union
européenne".
2000/C 364/01. Nice, le 7 décembre 2000. C -
"La libre communication des pensées
et des opinions est un des droits les
plus précieux de l'Homme : tout Citoyen
peut donc parler, écrire, imprimer
librement, sauf à répondre de l'abus de
cette liberté dans les cas déterminés
par la Loi."
- Article 11 de la Déclaration
des Droits de l'homme et du citoyen du 26
août 1789.